
Des idées qui me passent par la tête, des choses vues, observées, enfin, de tout..

Petit exercice : récupérer une vidéo issue de Youtube, et la transférer sur l'Ipod, pour le fun, parce que ça n'a pas une réelle utilité, j'en conviens.
Autrefois, comme cadeau publicitaire, on donnait un porte-clé, ou un stylo, ou encore un pin's, maintenant, on récupère de partout des clés usb... Un abonnement à un journal ? Un gadget sur un salon ? Une prime pour un achat quelconque ? Voilà un super cadeau.. Du coup, on en a tout plein, des grandes, des petites, des rouges, des blanches, des en forme de tout (chien, bouteille, esquimau au chocolat, bûche, bijou avec strass, sushi, fruits divers, etc...) des de grande capacité, des de seulement 256 Mo, et bien entendu, on ne sait plus du tout ce qu'on a bien pu mettre dessus, quand encore on ne les perd pas au fond de son sac ou au fond d'un tiroir. Il est vrai que pour ne pas égarer de si petits objets, on a tendance à leur adjoindre un énorme porte-clé qui encombre, ou un long cordon qui s'emmêle partout.
Avec tous nos engins électroniques nomades, on est toujours à la recherche d'une source d'énergie pour les faire fonctionner de façon autonome. Ils ont des batteries, choses rétives qui ont la fâcheuse habitude de s'user et de se décharger à toute allure, malgré tout le soin que l'on prend d'elles. Il y a les partisans de l'économie : on coupe le wi-fi (et le bluetooth s'il y a lieu), on diminue la luminosité de l'écran, on n'utilise pas d'écran de veille mais plutôt, on active les économies d'énergie que l'on règle au maximum, et.... on s'enquiquine, parce qu'on n'y voit plus rien, parce qu'Internet est coupé, parce qu'il faut que le disque dur se relance, etc.. Pour une meilleure durée de la charge de la batterie à long terme, on prend soin de la décharger régulièrement, voire, pour certaines catégories, on l'ôte quand l'objet est sur secteur.. Mais quoi qu'on fasse, quel que soit le soin qu'on prenne de nos batteries, elles finissent toujours par vieillir, et tiennent de moins en moins longtemps la charge.
C'est l'histoire d'un quidam qui, affolé, lance sur un forum un appel désespéré, parce que le seul fait de chercher à graver un DVD plantait totalement sa machine, et qu'il ne pouvait donc pas finaliser un projet de la plus haute urgence.
Dans un billet précédent, j'avais osé dire qu'installer un programme sous Linux était bien compliqué.. ce qui me fut âprement reproché ! Eh bien, j'applique le vieil adage "errare humanum est, perseverare diabolicum" et fais amende honorable. Si effectivement la configuration du fameux sources.list n'est pas simple, surtout quand on est obligé d'utiliser un éditeur de texte inconnu, ensuite, une fois cette tâche préliminaire accomplie (et on ne le fait qu'une fois), le reste est limpide, lumineux, en résumé, aussi simple qu'avec Mac OS, c'est dire !!




... l'installation de programmes sous Linux ! Ce n'est pas un problème nouveau, je le rencontrais chaque fois que j'avais envie d'installer quelque chose à base de rpm sous Red-hat, et tous mes camarades Linuxiens de me dire qu'effectivement, sans gestionnaire de paquets, ce n'était guère pratique, que ce n'était pas la bonne façon de procéder, mais qu'il existait des outils qui rendaient la chose aisée. Ah bon ? Voyons voir ça... le eee est sous Xandros, Xandros est un debian-like, donc, faut utiliser apt-get, ou plutôt sudo apt-get. Elémentaire ? Euh... faut d'abord repérer le fichier sources.list, et le compléter : il y a des tutos pour ça, mais faut utiliser un terminal, et lancer un éditeur de texte parfaitement inconnu (nano en l'occurence). Bon, on copie-colle les lignes qu'il faut. Ensuite il faut faire sudo apt-get update... et là, il y a des choses mal reconnues, pour des raisons obscures de clé d'authentification. Bon, un second tuto, qui explique qu'il faut faire :