A la vue des images de l'ouragan qui a frappé le Texas, je me souviens... C'était en 2001, nous étions au Texas, le périple se terminait, et nous attendions à l'hôtel le lendemain pour prendre l'avion du retour en regardant tomber la pluie sur le parking attenant qui commençait à se remplir d'eau. On se dit que les Américains ne sont pas forts dans l'assainissement de traverse et dans l'évacuation des eaux pluviales. On commande deux pizzas par téléphone et on attend.
Comme le livreur tardait, on regarde la télé, et là..... Horreur ! Des autoroutes urbaines transformées en fleuves, des maisons dont n'émergeaient que les toits sur lequel les habitants était réfugiés, des gens hagards, des voitures qui disparaissaient sous les eaux... On comprend pourquoi le livreur était en retard !
Le lendemain matin, on apprend qu'il était tombé 70 centimètres d'eau pendant la nuit ! Effarant ! Notre hôtel n'était pas dans une zone inondée, mais nous avions une voiture à rendre au loueur, et un avion à prendre, sauf que l'aéroport était impraticable et injoignable... Coups de fil à Air France, aux amis qui avaient notre chien en garde, réservation d'une nuit supplémentaire à la réception de l'hôtel et... On attend que les choses s'améliorent, en visitant Houston, tandis qu'il passait encore des voitures ruisselantes d'eau sur des dépanneuses, et que le parking s'asséchait lentement.
D'accord, nous n'étions pas à plaindre, dans un hôtel confortable, avec un restaurant délicieux à proximité (*) alors que tant de gens n'avaient plus de maison ! Nous en avons profité pour visiter Houston, dont, à l'aller, nous n'avions vu que le Johnson Space Center (les plus anciens se souviennent de la salle de commande de la mission Apollo sur la lune, celle où les hommes y ont marché pour la première fois "ici la lune, à vous Houston", fascinant !), et avons bénéficié ainsi de 4 jours de vacances supplémentaires imprévus.
Mais tout de même, aux USA tout est grand, les parcs nationaux, les villes, les ouragans, les tornades (on se souvient du Magicien D'Oz et de ses premières images au Kansas), les températures (la Vallée de la Mort, record du monde de chaleur, 57°), sans oublier les tropical storms comme celui qui nous avions connu et qui vient encore de se produire.
J'ai piqué l'image d'illustration au Figaro, parce qu'à l'époque je n'avais pas d'APN, et que, de toutes façons, les images les plus étonnantes que j'avais vues étaient à la télé.
(*) Où nous dégustions d'inoubliables huîtres de Colombie Britannique ! Bien des années plus tard, nous en avons mangé à Vancouver, en Colombie Britannique justement, bien loin du Texas, mais, comme le souvenir amplifie tout, elles nous ont semblé moins bonnes !!
Comme le livreur tardait, on regarde la télé, et là..... Horreur ! Des autoroutes urbaines transformées en fleuves, des maisons dont n'émergeaient que les toits sur lequel les habitants était réfugiés, des gens hagards, des voitures qui disparaissaient sous les eaux... On comprend pourquoi le livreur était en retard !
Le lendemain matin, on apprend qu'il était tombé 70 centimètres d'eau pendant la nuit ! Effarant ! Notre hôtel n'était pas dans une zone inondée, mais nous avions une voiture à rendre au loueur, et un avion à prendre, sauf que l'aéroport était impraticable et injoignable... Coups de fil à Air France, aux amis qui avaient notre chien en garde, réservation d'une nuit supplémentaire à la réception de l'hôtel et... On attend que les choses s'améliorent, en visitant Houston, tandis qu'il passait encore des voitures ruisselantes d'eau sur des dépanneuses, et que le parking s'asséchait lentement.
D'accord, nous n'étions pas à plaindre, dans un hôtel confortable, avec un restaurant délicieux à proximité (*) alors que tant de gens n'avaient plus de maison ! Nous en avons profité pour visiter Houston, dont, à l'aller, nous n'avions vu que le Johnson Space Center (les plus anciens se souviennent de la salle de commande de la mission Apollo sur la lune, celle où les hommes y ont marché pour la première fois "ici la lune, à vous Houston", fascinant !), et avons bénéficié ainsi de 4 jours de vacances supplémentaires imprévus.
Mais tout de même, aux USA tout est grand, les parcs nationaux, les villes, les ouragans, les tornades (on se souvient du Magicien D'Oz et de ses premières images au Kansas), les températures (la Vallée de la Mort, record du monde de chaleur, 57°), sans oublier les tropical storms comme celui qui nous avions connu et qui vient encore de se produire.
J'ai piqué l'image d'illustration au Figaro, parce qu'à l'époque je n'avais pas d'APN, et que, de toutes façons, les images les plus étonnantes que j'avais vues étaient à la télé.
(*) Où nous dégustions d'inoubliables huîtres de Colombie Britannique ! Bien des années plus tard, nous en avons mangé à Vancouver, en Colombie Britannique justement, bien loin du Texas, mais, comme le souvenir amplifie tout, elles nous ont semblé moins bonnes !!