26 avr. 2016

Bouger avec La Poste ?

Ah bon ? Il y aurait des gens qui se bougent à La Poste dans la France profonde ? On se prend à en douter.... Après 3 jours sans distribution de courrier, on finit par téléphoner à la plateforme de renseignements qui prend, avec une indifférence fort administrative, votre nom, prénom, adresse postale, adresse mail, téléphone et objet de votre réclamation et termine par un "on vous écrira"...

Déjà que le courrier arrive aux environs de 15h dans le meilleur des cas, et que l'été, pendant les vacances du personnel, la Poste annonce dans la presse comme si c'était tout à fait naturel que le courrier ne sera distribué que tous les trois ou quatre jours, là, on est en avril, il ne semble pas qu'il y ait de mouvements de grève, on voit circuler les véhicules jaunes dans les autres communes, alors pourquoi ne passent-ils plus ? Mystère..

Il est vrai que depuis l'arrivée d'Internet dans bon nombre de foyers, l'expansion du téléphone mobile et des SMS, l'avènement des transporteurs privés pour les colis, la quantité de courrier papier envoyé ou reçu a fortement diminué. Il reste quelques abonnements, des avis d'imposition et autres factures, des œuvres caritatives, tout se dématérialisant de plus en plus. Mais est-ce une raison pour ne plus assurer le service ? Ou alors, il faut le dire carrément, la Poste, c'est fini et les journaux, et autres envoyeurs se débrouilleront autrement, comme ils l'ont déjà fait en 1995,  après les longues grèves qui ont signé le début de l'agonie de ce vénérable service public.

Autrefois, dans les campagnes isolées, les facteurs, en plus de distribuer le courrier, rendaient des services aux personnes âgées qui pouvaient difficilement se déplacer au bourg le plus proche. Ils emportaient une ordonnance médicale chez le pharmacien et rapportaient les médicaments ; ils allaient même jusque chez le boucher pour acheter la viande commandée. Et ça leur a été interdit (même s'ils le faisaient quand même..). J'ai cru comprendre que, dans un souci humanitaire de maintien des seniors à leur domicile le plus longtemps possible, ce serait à nouveau autorisé ou tout du moins envisagé. Encore faudrait-il que l'organisation des tournées ne change pas en permanence ! Un type de rémunération pour ce genre de service pourrait être géré par les organismes d'aide à la personne, mais il est vrai que la Poste, c'est l'État et que dès que les technocrates gouvernementaux veulent mettre quelque chose sur pieds, c'est le plus souvent une usine à gaz inutilisable.

Pour l'instant, le facteur est passé tout à l'heure (vers 16h), on verra s'il passe demain ou pas !! Et je peux encore aller acheter mes médicaments et mon pain par mes propres moyens. 

25 avr. 2016

Oh la vilaine bestiole !

Un petit nouveau dans la famille des virus, ou plus précisément des rançongiciels, qui répond au doux nom de Locky (on dirait un nom de chien). Son rôle consiste à s'insérer dans l'ordinateur d'un quidam et de crypter ses fichiers afin qu'il ne puisse plus les relire et doive payer une somme rondelette pour les récupérer, sans garantie d'ailleurs, qu'une fois la somme réglée, il puisse relire les dits fichiers.

Et comment ça s'attrape ce truc ? Eh bien par inadvertance, habitude ou naïveté ! On reçoit par mail un récepissé d'achat sur Internet, ou une facture, ou un simple reçu de paiement. Il s'agit d'un apparemment fort innocent fichier .doc ou .pdf. On l'ouvre pour en prendre connaissance, et c'est la cata ! Il faut payer pour récupérer son bien, aux environs de 1500 euros, sans garantie.

Pour l'instant, malgré le travail des éditeurs d'anti-virus, le bougre n'a pas encore révélé toutes ses entrailles, donc, c'est en amont qu'il faut être vigilant. Déjà, ne pas pécher par ingénuité, en cliquant sur tout ce qui arrive sans la moindre vérification de la provenance, du type de fichier, ou des habitudes de l'expéditeur. Cliquer sur tout ce qui se présente sans discernement est toujours dangereux.

Ensuite, faire des sauvegardes de tout ce qui est important, sur un disque dur externe par exemple (s'il est installé en réseau, il peut être contaminé aussi), ou, pour des documents à archiver (photos, textes, etc.) sur des CD. Ceci étant valable même en dehors de toute atteinte virale, une panne irrémédiable de disque dur peut toujours arriver, un ordinateur hors d'usage aussi.

Et si un .pdf joint à un mail semble normal mais que l'on souhaite s'en assurer, il ne faut pas double cliquer dessus pour l'ouvrir directement avec Adobe Acrobat (ou Word pour un fichier .doc) mais utiliser plutôt la prévisualisation. Si le fichier est vide, si rien ne s'affiche, poubelle immédiatement.

Enfin, on peut aussi aller bricoler un truc imparable dans la base de registre de Windows, parce que, pour l'instant, il n'y a que les ordinateurs sous Windows qui sont vulnérables, Linux et MacOS sont épargnés..... On pourrait se poser la question du pourquoi mais ce serait un tout autre débat.

16 avr. 2016

Images insolites

Trois images ; deux d'entre elles ont été prises tout près de chez moi, la troisième beaucoup plus loin (et pas par moi !).

Non, ce n'est pas un incendie, juste les rayons de soleil lors de son coucher un soir où il ne pleuvait pas.

La surface de Mars, en fausses couleurs, mais si on ne voit pas d'emblée ce dont il s'agit, l'ensemble est fort artistique, n'est-ce pas ?

Vieille porte de la sacristie d'une vieille église qui a bien besoin d'être restaurée

14 avr. 2016

Que sont nos PCs devenus ?


Il paraît que la vente des PC est en berne, après l'année 2015 qui a été catastrophique pour les fabricants, l'année 2016 commence très mal avec un recul d'environ 10% des ventes, ce qui représente 7 millions d'ordinateurs de moins vendus en un an.

Quelles sont les raisons avancées par les analystes ? La hausse du dollar, la mise à jour gratuite de Windows 10 qui n'a pas demandé l'achat d'un nouvel équipement (*), le passage à la TNT HD en France qui a fait acheter un téléviseur plutôt qu'un ordinateur, et sans doute d'autres spécificités locales. Même Apple, qui jusqu'à présent parvenait à résister à la baisse générale, a vu ses ventes d'ordinateurs fléchir de 2,1%.

A qui la faute ? Au smartphone ! Qui permet de lire des documents et des vidéos, voire de jouer. Je veux bien, c'est vrai que c'est pratique d'avoir "internet dans sa poche", mais un écran de quelques pouces de diagonale, un clavier minuscule tout juste bon à envoyer des SMS, une autonomie très limitée, est-ce vraiment un progrès ? Au point d'abandonner un "vrai" ordinateur ?? Vous avez essayé de rédiger un document, de retoucher une photo, d'éditer Wikipédia, de faire votre déclaration de revenus, etc. sur votre smartphone ?? Quant aux jeux, à part Candy Crush Saga ou similaire, allez donc jouer à Supercity ou à Coral Isle, déjà que sur la tablette de 10 pouces c'est trop petit !!

Je ne dois pas avoir tout compris au sens de l'Histoire, parce que j'envisageais de changer ma tablette vieillissante pour un ordinateur ultra portable (Mac Book Air par exemple..) de poids et d'encombrement identiques qui me permettrait des saisies plus confortables que sur un clavier tactile, l'utilisation des logiciels auxquelles je suis habituée, et même la lecture de e-books au format e-pub pour lequel le Mac a un lecteur dédié plutôt bien fait. Quant aux jeux, n'en parlons pas, certains n'étant même pas conçus pour tablette, ce sera forcément nettement mieux. Enfin bon, pour l'instant, ce n'est qu'un projet, d'autant plus que ce genre d'objet ne servirait qu'en déplacement, puisque j'ai un confortable ordinateur de bureau à la maison.

Quant au smartphone, nonobstant le fait que la 3G est trop souvent balbutiante et faiblarde dans nos campagnes, et que, s'il faut se rapprocher d'une connexion wi-fi, tant vaut utiliser une tablette, tout de même plus ergonomique, je ne vois pas trop en quoi ça peut remplacer un ordinateur. Sans doute est-ce une question de génération. Quand on a découvert l'informatique sur un écran cathodique monochrome scintillant de 15 pouces, il y a plus de trente ans maintenant, on apprécie le confort actuel, même si ça ne tient pas dans la poche !

Sûr que lui ne tenait pas dans la poche !


(*) Quand on voit les soucis qu'ont les usagers qui ont installé cette version gratuite en lieu et place de leur Windows 7 ou 8 on comprend qu'ils n'ont quand même pas eu l'outrecuidance de faire payer ce truc !!!

10 avr. 2016

La grande saga des lessives


Si autrefois, on allait au lavoir avec son gros cube de savon de Marseille, avec les machines à laver de plus en plus répandues dans les foyers, on a acheté de la lessive. 

Au début, elle était en poudre, vendue en petits paquets, ou en gros baril de cinq kilos. On se souvient du cadeau Bonux, et du sketch de Coluche sur la dame qui refusait de donner son baril d'Ariel contre deux d'une autre marque. C'était lourd (pas le sketch, le baril..), et fort encombrant. Un lessivier plus futé que les autres a transformé le baril cylindrique en parallélépipède bien plus facile à ranger quelque part. Mais ça restait quand même difficile à déplacer à cause du poids.

Puis vinrent les lessives liquides, ah Vizir et sa fameuse Vizirette ! Les grands modèles étaient eux aussi lourds et encombrants, aussi bien à mettre sur le tapis de la caisse du supermarché, que depuis le caddie jusqu'au coffre de la voiture.

Un beau jour, un canadien a réfléchi et a créé de la lessive en feuilles : une petite feuille mince de produit à mettre dans la machine, un sachet tout léger d'une trentaine de feuilles, pas de phosphates, de parabène ou de colorants, c'était rudement pratique. Fini le gros baril encombrant, la bouteille plastique pesant plusieurs kilos à manipuler, juste un petit détail, il ne fallait pas oublier de soigneusement refermer le contenant, pour éviter l'humidification des feuilles dans une buanderie qui est, par définition, toujours en milieu humide.

Et maintenant, on peut acheter des petits berlingots de lessive concentrée, que l'on dépose au milieu du linge dans le tambour de la machine. Ils sont présentés dans des boîtes en plastique étanches, ou, pour les plus soucieux d'écologie, dans des petites poches en plastique recyclables. Pas lourd, pas encombrant, très pratique, peut-être faut-il tout de même faire attention à ce que les jeunes enfants ne prennent pas ça pour des friandises !

Que seront les prochaines évolutions de ce produit si courant ? Comment, comment, c'est un sujet sans aucun intérêt ? Tout juste bon pour des ménagères sans cervelle ? Et pourtant, faudrait aussi évoquer les assouplissants, Soupline, Cajoline et similaire, et ne pas oublier le Lénor pour les lainages, un véritable Soap Opera tout ça ! 

8 avr. 2016

On n'arrête pas le progrès !

Devant subir un examen médical je me rends dans la clinique préconisée par le médecin qui l'avait demandé pour prendre rendez-vous. Déjà, il n'y a "que" deux mois d'attente.... Le jour J, je m'y rends en taxi, puisqu'il était recommandé de ne surtout pas conduire soi-même au retour (*). Convoquée à midi, il m'était demandé d'arriver un quart d'heure plus tôt. J'arrive, par sécurité à 11h30. Et là, j'attends, j'attends, j'attends... Que mon tour arrive. Les médecins s'occupant à la fois des consultations externes, des examens des malades hospitalisés, et des urgences, il est évident qu'ils n'ont pas quinze bras.

Ah enfin, à 14h, on m'appelle ! Une fois l'examen passé, on me dit qu'il faut rester une demi-heure couchée, et on m'installe sur un brancard dans un couloir où stationnaient déjà pas mal de gens, bonjour la pudeur et la confidentialité... Je proteste que je vais très bien, qu'on m'attend, et finis par négocier avec le médecin pour ne rester que 5 minutes.

Affaires récupérées, tenue décente remise, je me rends à l'accueil pour récupérer ma carte vitale et mon dossier à remettre à mon médecin traitant. Ah mais non, faut attendre... Une demi-heure au moins que le compte-rendu soit rédigé ! Je proteste à nouveau en disant que je reviendrai le chercher, cette fois avec ma propre voiture, ce qui me coûtera quand même moins cher. La secrétaire qui devait trouver que j'étais vraiment une cliente chiante, me donne mon dossier sans le compte-rendu, me rend ma carte vitale, et je peux enfin rentrer chez moi. Quatre heures tout de même que j'étais là.....

Le lendemain matin, je regarde le dossier remis. En plus du CD qui contenait toutes les images de l'intervention il s'y trouvait une url, un identifiant et un mot de passe pour récupérer sur Internet le compte-rendu que je devais aller chercher. Et en trois clics, j'imprime le papier qui me manquait ! 30 kilomètres de voiture en moins ! On n'arrête pas le progrès....

M'enfin quand même, plusieurs mois d'attente pour un examen, plusieurs heures d'attente pour le passer, une lourde procédure pour constituer les dossiers administratifs ou les fiches de circulation, des personnels de santé surmenés (**), il y a quand même quelque chose qui ne va pas bien dans ce domaine, et on se demande ce qui se passerait en cas de maladie grave ou d'urgence impérative, disons que ce n'est pas très rassurant !

Eh non, hélas, je n'ai pas de solution aux interminables attentes dans les services hospitaliers : faire une réservation sur Internet, comme pour un musée et ses billets coupe-file ne servirait sans doute pas à grand chose et serait, comme on dit en politiquement correct, discriminatoire... Avoir plus de médecins ? Mais encore faut-il les trouver, les généralistes à la campagnes sont rares, et dans les hôpitaux il faut bien souvent faire appel à des praticiens (médecins et paramédicaux) venus des quatre coins du monde... Réorganiser les cliniques et autres centres hospitaliers pour bien séparer les heures de consultations externes des soins aux malades internes ? Mais on en revient au problème de manque de praticiens et surtout à l'argent, nerf de la guerre, celui qui manquera toujours.

Tous problèmes qui ne sont pas de mon ressort, ni en tant qu'ancien praticien de santé, ni en tant qu'usager des services hospitaliers, on ne peut que subir, de quelque côté que l'on soit de la barrière.

(*) Non remboursé le taxi, puisqu'il n'y avait pas de prescription de transport, tout le monde sait qu'on peut aller à pieds ou en bicyclette partout, n'est-ce pas ce que nous disent les écologistes qui n'ont jamais quitté Paris ?
(**) Je sais, j'en ai fait partie pendant 40 ans...

6 avr. 2016

Lyon

Nonobstant les incidents de parcours contés dans le post précédent, la ville de Lyon, malgré le temps gris et une certaine fraîcheur, est toujours aussi séduisante. On découvre à chaque visite de nouveaux endroits, on y retrouve les lieux que l'on connaît déjà, et on y mange si bien... Trop oui, mais entre la salade lyonnaise, les quenelles, tout le reste, sans oublier le Viognier bien frais ou le Beaujolais qui va avec puisque tout le monde sait que "Lyon est une ville arrosée par trois grands fleuves : le Rhône, la Saône et le beaujolais" !

Quelques images de divers lieux, plus ou moins en nuances de gris en ce week-end fort peu ensoleillé.

Le confluent du Rhône et de la Saône

Le musée des Confluences à l'architecture audacieuse, au milieu d'un quartier en pleine rénovation, émaillé de chantiers, de grues et d'espaces en cours d'aménagement. A gauche, l'autoroute du Soleil qui traverse une partie de la ville.
 
Les quais du Rhône entre le pont Wilson et le pont de la Guillotière

5 avr. 2016

Incidents de parcours

Aller à Lyon n'est pas a priori une aventure exceptionnelle, et ne nécessite pas des talents de baroudeurs aguerris, d'autant plus que Lyon est à moins de 2h de Paris par le TGV. Oui, mais, quand on habite à la campagne, il faut déjà se rendre à Paris, et un jour de grève des transports, ce n'est pas évident, TER et autres Intercités étant les premiers touchés. Un ami chauffeur de taxi qui avait un client à récupérer dans la capitale propose de nous déposer à la gare de Lyon. Parfait, sauf que sur l'Autoroute de l'Ouest, un grave accident survenu dans la forêt de Marly nous fait perdre une demi-heure dans l'embouteillage qui a suivi. Pas de problèmes, on avait de l'avance..

Ah, une bonne nouvelle, le TGV n'est pas supprimé, part à l'heure, et arrive de même.

Par contre, à Lyon, le tramway T1 qui est pourtant le moyen le plus rapide et le plus pratique de rallier notre hôtel, ne fonctionne pas pour cause de grève. Il a fallu retrouver la bouche de métro, s'enfourner dans un wagon bondé, changer à Saxe-Gambetta en tractant les valises, et.. Ouf, on est arrivé !

Retour quelques jours plus tard, avec quelques kilos supplémentaires dus à l'excellente gastronomie locale, TGV qui part et arrive à l'heure à Paris, tout va bien, il n'y a plus qu'à rejoindre la gare St Lazare par la ligne 14, trajet court, en dix minutes on y est... Habituellement... Mais là, à la station Châtelet, la rame s'arrête. Une voix venant d'on ne sait où annonce qu'un problème technique est survenu et que le trafic est perturbé sur toute la ligne. Certains usagers sortent des voitures, mais on annonce ensuite qu'un colis suspect a interrompu le trafic de la ligne 3... La voix répète que "suite à un problème technique le trafic est perturbé..." et dans la foulée annonce que le trafic reprend normalement. Effectivement, on arrive à la gare St Lazare.

Le train de Rouen n'était pas encore affiché, mais comme il n'y avait qu'un seul train vide à quai côté grandes lignes, les voyageurs s'approchent du quai 18 où il se trouvait, et là... Une première annonce : "La personne qui a oublié son sac à dos sur le quai 18 est priée de venir le récupérer immédiatement". Puis une seconde, quelques minutes plus tard, puis une troisième.. On voit passer des employés du Chemin de Fer, des policiers, et on entend : "Suite à la découverte d'un sac à dos abandonné, l'affichage du quai de départ sera mis en place tardivement". Et on se dit que si le sac en question contient une bombe, avec tous les gens agglutinés devant le quai 18, il va y avoir un certain nombre de morts, puisqu'il n'y a eu aucune annonce d'évacuation ni d'éloignement... Effectivement, l'objet oublié ne devait pas être dangereux puisqu'un employé a finalement autorisé l'accès au fameux quai 18, où tous les voyageurs se sont précipités pour monter dans le train avant que l'annonce officielle soit faite.

Il ne restait plus qu'à arriver à destination, et à prendre un taxi pour rentrer à la maison. Mais enfin, on n'a pas besoin d'aller bien loin, ni de partir au bout du monde pour connaître quelques incidents de parcours ! Parce qu'entre les colis suspects, les problèmes techniques, les grèves, les pannes diverses, tout déplacement, aussi modeste soit-il, reste une aventure...