En ce beau matin d'hiver, vers 7h du matin, heure française, Facebook a été en panne pendant un peu plus d'une heure ! Panique générale ! l'interruption a été constatée dans plusieurs pays, dont les États-Unis, l'Australie et la France. Instagram a été aussi touché. Et voilà la communauté des joueurs désemparée, d'autant plus que quand c'est revenu à la normale, quelques dysfonctionnements persistaient dans les jeux, par exemple, plus de fenêtre de bonus pour certains, pour d'autres plus d'amis visibles, etc. Affolement total !! Comment allait-on pouvoir finir ses missions, achever les différentes quêtes, récupérer les gaufrettes données parcimonieusement par le yéti (*) ? Tout ça était terriblement préoccupant, le monde s'arrêtait de tourner en quelque sorte !!
Qu'a dit Facebook ? « Nos ingénieurs ont identifié la cause de la panne et le site est revenu en ligne rapidement ». Alors, piratage par un groupuscule ? Bête problème technique ? Va savoir ! Facebook ne donnera jamais d'explications, ce n'est pas leur intérêt d'avouer qu'ils peuvent être en panne comme n'importe quel site, ou qu'ils sont vulnérables, et les éditeurs de jeu qui croulent sous le nombre de joueurs se moquent bien de faire des mécontents et des frustrés.
C'est là qu'on voit l'addiction créée par Internet et tout ce qui y gravite, au moindre petit pépin (ça n'a duré qu'une petite heure quand même), on a l'impression que tout s'écroule. Une panne d'électricité due, par exemple, aux intempéries, est infiniment plus grave pour la vie quotidienne ; une longue coupure d'eau aussi (il n'y a plus de fontaines publiques de nos jours) ; quant à l'essence, si elle vient à manquer, pour toute raison imaginable, c'est la paralysie garantie.
En fait, nous vivons avec des béquilles technologiques, et sans elle, la vie s'arrête. Comment faisaient nos ancêtres ? Ils n'utilisaient pas d'électricité, ni d'essence (avant le XXe siècle tout du moins), ils allaient chercher l'eau à la pompe, et a fortiori, ils ne jouaient pas sur Internet !!!
Étaient-ils plus heureux que nous ? C'est un tout autre débat ! Quant à réaliser la vulnérabilité des fondements de cette nouvelle société virtuelle (bien pire qu'un poteau électrique tombé par la tempête), ça donne le vertige....
(*) Ouais, je sais, faut comprendre....
Qu'a dit Facebook ? « Nos ingénieurs ont identifié la cause de la panne et le site est revenu en ligne rapidement ». Alors, piratage par un groupuscule ? Bête problème technique ? Va savoir ! Facebook ne donnera jamais d'explications, ce n'est pas leur intérêt d'avouer qu'ils peuvent être en panne comme n'importe quel site, ou qu'ils sont vulnérables, et les éditeurs de jeu qui croulent sous le nombre de joueurs se moquent bien de faire des mécontents et des frustrés.
C'est là qu'on voit l'addiction créée par Internet et tout ce qui y gravite, au moindre petit pépin (ça n'a duré qu'une petite heure quand même), on a l'impression que tout s'écroule. Une panne d'électricité due, par exemple, aux intempéries, est infiniment plus grave pour la vie quotidienne ; une longue coupure d'eau aussi (il n'y a plus de fontaines publiques de nos jours) ; quant à l'essence, si elle vient à manquer, pour toute raison imaginable, c'est la paralysie garantie.
En fait, nous vivons avec des béquilles technologiques, et sans elle, la vie s'arrête. Comment faisaient nos ancêtres ? Ils n'utilisaient pas d'électricité, ni d'essence (avant le XXe siècle tout du moins), ils allaient chercher l'eau à la pompe, et a fortiori, ils ne jouaient pas sur Internet !!!
Étaient-ils plus heureux que nous ? C'est un tout autre débat ! Quant à réaliser la vulnérabilité des fondements de cette nouvelle société virtuelle (bien pire qu'un poteau électrique tombé par la tempête), ça donne le vertige....
(*) Ouais, je sais, faut comprendre....
1 commentaire:
Addiction quand tu nous tiens. Quand on a plus la possibilité de se promener sur la toile, on est totalement perdu.
La réalité virtuelle, une bonne manière d'oublier les soucis, tracas et horreur de notre monde.
Alors, quand on ne peux plus s'échapper, c'est la panique
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