De se remettre à POVer quand on n'y a pas touché depuis deux mois ! Déjà, il faut se re-familiariser avec l'interface... où diable a-t-il été planquer mon output lui ? Je lui avais pourtant expliqué.. (ouais, il m'a fallu un bon moment pour comprendre... que c'était évidemment de ma faute), ou encore, un tore, c'est quoi déjà la syntaxe ? Voyons, le grand rayon, le petit... zut, c'était pas ça, à moi les pages d'aide d'Olivier, et comment c'est-y déjà qu'on fait une boucle ? Ah, ça plante, ça ne doit pas être ça.. et encore.. où diable ai-je mis cet include qui m'aiderait bien, là.. sur un CD, sur une autre machine ? Ah le voilà ! Et puis, petit à petit, les choses reviennent, on retrouve ses petits, les arbres sont plantés, les chemins se dessinent, les objets se mettent en place, les textures s'améliorent (crackle, granite ou agate ??), les temps de rendu s'allongent, et tous les automatismes reprennent leur place les uns après les autres.
Au fond, POV, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas, ça se rouille seulement.
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1 commentaire:
Bah, c'est bien vrai ! V'là ce que c'est de faire autre chose que des images :-) On oublie. Heureusement que de nombreuses prothèses mnésiques trainent sur internet. Sans elles se serait le cauchemard
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