Dans un billet précédent, je vous racontais que j'avais eu la surprise de recevoir un livre intitulé Le règne de la barbarie, premier tome d'une saga d'héroïc fantasy, offert par l'auteur. Eh bien le second tome m'a été envoyé récemment. Même si je ne l'ai pas encore lu, mais ça ne saurait tarder, je voudrais faire un peu de publicité à ces auteurs (Aubert et Cavali) qui, en dehors de leurs qualités d'écriture et d'imagination, savent si bien utiliser les moyens modernes d'information et de diffusion de leur oeuvre.
Donc, voici le lien qui mène à leur SITE , et deux vidéos que vous pourrez voir sur Youtube, histoire de vous mettre dans l'ambiance de cette histoire.
Vidéo 1
Vidéo 2
Si vous aimez la fantasy, si vous avez gardé votre âme d'enfant, ou d'adolescent à la rigueur, ces ouvrages devraient vous plaire, d'autant plus que, contrairement à bon nombre de traductions, ils sont remarquablement écrits.
30 nov. 2008
28 nov. 2008
Les ors de la République
Quand on représente le maire de son village au congrès annuel des Maires de France, on rencontre des tas de gens, des maires, bien sûr, venus des quatre coins de l'hexagone.. et de plus loin aussi, des ministres, Jean-Louis Borloo, Michèle Alliot-Marie, Michel Barnier, entre autres, et un président de la république aussi ! Le tout dans la foule, plus de 10000 personnes qui se pressaient entre l'auditorium et l'exposition de la Porte de Versailles, et en se coltinant les kilos de papiers, livres, et documentations distribués.
Mardi soir, c'était le maire de la plus grande ville de France qui invitait ses chers confrères dans les salons de l'hôtel de ville de Paris, ce qui donnait ainsi l'occasion à tous les provinciaux, de visiter ces lieux somptueux. Je n'y ai pas manqué, évidemment, et j'ai, comme tous les autres, monté les magnifiques escaliers, avant de déguster le champagne offert (les canapés étaient servis avec parcimonie...), après avoir admiré la décoration des lieux.
Et le congrès s'est teminé par un discours aussi vivant que musclé du Président de la République, dont les mains étaient tellement expressives que ma photo en a été toute floue !!
Mardi soir, c'était le maire de la plus grande ville de France qui invitait ses chers confrères dans les salons de l'hôtel de ville de Paris, ce qui donnait ainsi l'occasion à tous les provinciaux, de visiter ces lieux somptueux. Je n'y ai pas manqué, évidemment, et j'ai, comme tous les autres, monté les magnifiques escaliers, avant de déguster le champagne offert (les canapés étaient servis avec parcimonie...), après avoir admiré la décoration des lieux.
Et le congrès s'est teminé par un discours aussi vivant que musclé du Président de la République, dont les mains étaient tellement expressives que ma photo en a été toute floue !!
17 nov. 2008
Canular !
Parmi les canulars trouvés sur Wikipédia, il y en a de stupides, mais il y en a aussi de superbes ! En voici un du jour. J'ai évidemment supprimé ce nouvel article, mais non sans le récupérer, parce qu'il est trop joli... C'est un copier/coller, sans la moindre correction, et sans avoir pris la peine de demander s'il y avait des droits d'auteur !!
"Tommy Crosoft né en 1945, au États-Unis. Son est père Billy Crosoft et sa mère est Jessy Turner. Son invention est le logiciel Mi-Crosotf qu'il appela ainsi en l'honneur de son père, mort lors de ces travaux. Tommy Crosoft ne cesse de mettre à jour la technologie de son logiciel.Sa phrase célèbre : Un petit pas pour la puce un grand pas pour l'ordinateur.
Les produits de monsieur Crosoft sont ceux les plus vendus au monde. On retrouve parmi ces produits les fameux logiciels de windowz, les claviers d'ordinateurs, des souris, des webcams et autres.
Depuis 1998, Mack Apaule tente de rivaliser avec son plus grand concurant, Tommy Crosoft M. Apaule a vu ses produits devenir de plus en plus populaire, car, ils étaient plus diversifiés. On pense aux portables, aux Hi-Peaude, au Hi-Fonne, et autre. Malgré tout, Tommy Crosoft continue à mettre à jour son fameux logiciel, qui gagne de jour en jour le coeur des fanatiques de l'informatiques"
"Tommy Crosoft né en 1945, au États-Unis. Son est père Billy Crosoft et sa mère est Jessy Turner. Son invention est le logiciel Mi-Crosotf qu'il appela ainsi en l'honneur de son père, mort lors de ces travaux. Tommy Crosoft ne cesse de mettre à jour la technologie de son logiciel.Sa phrase célèbre : Un petit pas pour la puce un grand pas pour l'ordinateur.
Les produits de monsieur Crosoft sont ceux les plus vendus au monde. On retrouve parmi ces produits les fameux logiciels de windowz, les claviers d'ordinateurs, des souris, des webcams et autres.
Depuis 1998, Mack Apaule tente de rivaliser avec son plus grand concurant, Tommy Crosoft M. Apaule a vu ses produits devenir de plus en plus populaire, car, ils étaient plus diversifiés. On pense aux portables, aux Hi-Peaude, au Hi-Fonne, et autre. Malgré tout, Tommy Crosoft continue à mettre à jour son fameux logiciel, qui gagne de jour en jour le coeur des fanatiques de l'informatiques"
14 nov. 2008
Un journal fait de bric et de broc
Mandée par mes collègues du Conseil Municipal pour la confection du Journal Communal sous prétexte que je le faisais il y a 20 ans (ouais, sur l'Atari, avec Publishing Partner Master..), je me doutais que ça n'allait pas être une tâche évidente et facile.
D'abord, il faut récupérer les articles auprès des différents rédacteurs ; et si certains rendent leur copie rapidement, d'autres ont besoin d'être sollicités de nombreuses fois avant de fournir leur production. Et là, les premières complications arrivent. Si, autrefois, les ordinateurs étant rares, la plupart des articles arrivant donc écrits à la main sur un bout de papier (et 30 ans de décryptage d'ordonances médicales m'ont donné une certaine pratique du déchiffrage des écritures diverses), maintenant, tout le monde a son Word (enfin, celui que le petit fils a installé..) et se targue de savoir s'en servir. J'avais demandé à ce que l'on m'envoie le fichier .doc, et j'en ai reçu quelques uns, avec une somptueuse mise en page, puces, titres en wordart, alinéas étranges, polices exotiques, le tout faisant que la remise à plat du texte copié/collé était souvent plus longue que la resaisie ! D'autres, n'ayant pas trop compris (je dois être une bien piètre pédagogue) qu'un journal de 30 pages n'était pas une collection de feuilles à photocopier, m'ont donné l'article imprimé avec ses photos, sur un papier. Et scanner une impression de photo issue d'une imprimante ordinaire... euh... ça ne donne pas un résultat parfait !! En fin de compte, les articles qui m'ont donné le moins de mal furent ceux qui sont arrivés, comme autrefois, écrits à la main, avec les tirages photo sur papier fournis à part.
Une fois tous les articles récupérés, et ce n'est qu'à partir de là qu'on peut concevoir la mise en page et l'organisation générale du journal, c'était à moi de jouer.. et ce n'était pas joué ! Connaissant mal l'outil que j'utilisais (Neoffice en l'occurrence), n'utilisant que très occasionnellement un traitement de texte depuis bon nombre d'années, je patouillais sévère, raisonnant en termes d'objets comme avec un logiciel de PAO, et non en terme de texte qui coule d'une page à l'autre comme c'est le cas avec un traitement de texte, j'ai dit un maximum de gros mots devant mon écran, en me pensant qu'avec Emacs et LaTeX, même si ce dernier n'est pas vraiment l'idéal pour ce type de travail, j'aurais eu moins de mal ! Mais travail collaboratif oblige, et Neoffice (qui est l'Open Office du Mac au passage) sauvegarde en .doc, ce qui permettait à n'importe qui de reprendre le travail ultérieurement.
Bon, on va quand même essayer d'arriver au bout de la tâche, et surtout, essayer, l'année prochaine, de s'y prendre autrement : déjà, mieux expliquer aux différents rédacteurs ce que je souhaite (fichier avec le texte écrit au kilomètre, sans mise en page, ou document manuscrit ; photos sous forme de fichier .jpg ou d'épreuve papier à scanner), et ensuite, choisir un logiciel mieux adapté.. encore que, avec tout ça, j'ai fait quelques progrès sur l'utilisation d'Open Office, les sauts manuels de page, la numération alternée, les manipulations de cadres de texte... comme quoi, à chaque chose, malheur est bon !
D'abord, il faut récupérer les articles auprès des différents rédacteurs ; et si certains rendent leur copie rapidement, d'autres ont besoin d'être sollicités de nombreuses fois avant de fournir leur production. Et là, les premières complications arrivent. Si, autrefois, les ordinateurs étant rares, la plupart des articles arrivant donc écrits à la main sur un bout de papier (et 30 ans de décryptage d'ordonances médicales m'ont donné une certaine pratique du déchiffrage des écritures diverses), maintenant, tout le monde a son Word (enfin, celui que le petit fils a installé..) et se targue de savoir s'en servir. J'avais demandé à ce que l'on m'envoie le fichier .doc, et j'en ai reçu quelques uns, avec une somptueuse mise en page, puces, titres en wordart, alinéas étranges, polices exotiques, le tout faisant que la remise à plat du texte copié/collé était souvent plus longue que la resaisie ! D'autres, n'ayant pas trop compris (je dois être une bien piètre pédagogue) qu'un journal de 30 pages n'était pas une collection de feuilles à photocopier, m'ont donné l'article imprimé avec ses photos, sur un papier. Et scanner une impression de photo issue d'une imprimante ordinaire... euh... ça ne donne pas un résultat parfait !! En fin de compte, les articles qui m'ont donné le moins de mal furent ceux qui sont arrivés, comme autrefois, écrits à la main, avec les tirages photo sur papier fournis à part.
Une fois tous les articles récupérés, et ce n'est qu'à partir de là qu'on peut concevoir la mise en page et l'organisation générale du journal, c'était à moi de jouer.. et ce n'était pas joué ! Connaissant mal l'outil que j'utilisais (Neoffice en l'occurrence), n'utilisant que très occasionnellement un traitement de texte depuis bon nombre d'années, je patouillais sévère, raisonnant en termes d'objets comme avec un logiciel de PAO, et non en terme de texte qui coule d'une page à l'autre comme c'est le cas avec un traitement de texte, j'ai dit un maximum de gros mots devant mon écran, en me pensant qu'avec Emacs et LaTeX, même si ce dernier n'est pas vraiment l'idéal pour ce type de travail, j'aurais eu moins de mal ! Mais travail collaboratif oblige, et Neoffice (qui est l'Open Office du Mac au passage) sauvegarde en .doc, ce qui permettait à n'importe qui de reprendre le travail ultérieurement.
Bon, on va quand même essayer d'arriver au bout de la tâche, et surtout, essayer, l'année prochaine, de s'y prendre autrement : déjà, mieux expliquer aux différents rédacteurs ce que je souhaite (fichier avec le texte écrit au kilomètre, sans mise en page, ou document manuscrit ; photos sous forme de fichier .jpg ou d'épreuve papier à scanner), et ensuite, choisir un logiciel mieux adapté.. encore que, avec tout ça, j'ai fait quelques progrès sur l'utilisation d'Open Office, les sauts manuels de page, la numération alternée, les manipulations de cadres de texte... comme quoi, à chaque chose, malheur est bon !
6 nov. 2008
Les achats d'aéroport
Non, je ne veux pas parler des boutiques duty free, où l'on trouve alcools, cigarettes, parfums, etc... ça c'est banal mais de toutes ces boutiques devant lesquelles on traîne en attendant l'heure de l'embarquement. Certes, elles sont là pour ça, justement, pour tenter le voyageur désoeuvré, alors, on se laisse tenter, d'abord parce qu'à force de circuler dans les rayons, c'est une conséquence inéluctable, ensuite, parce qu'on a toujours de la monnaie locale à écluser, enfin, parce qu'on a ainsi un peu l'impression de ne pas tout à fait partir....
Il y a dans certains aéroports, des boutiques extraordinaires, je pense en particulier à celle de Johannesburg, qui est un véritable regroupement de tout ce que l'on peut trouver dans toutes les boutiques de souvenirs du pays ; et comme le Rand n'est pas une monnaie convertible, tout le monde se rue dedans pour se débarasser des dernières pièces et billets, qui sinon, seraient inutilisables.
Seulement, à ce stade du voyage, les bagages (dans lesquels il y a déjà pas mal de souvenirs..) sont déjà enregistrés, et tout ce qu'on achète, on ne peut plus le glisser dans les valises, faut se le coltiner à la main.. donc, ça limite le volume des achats à ce qui est accepté en bagages cabine, mais ça peut toutefois être aussi étrange qu'encombrant !
J'ai ainsi rapporté un gros bouquet de protéas d'Afrique du Sud (qui, bien conditionnées, ont supporté allègrement les nombreuses heures de vol), un orignal d'Anchorage, en peluche dont la tête dépassait de mon sac, et, en moins encombrant, un bout de canne à sucre de la Réunion ! Sans parler d'un sac en forme de pingouin en provenance.... de Lisbonne !
Et c'est ainsi que la maison s'encombre petit à petit d'une foule d'objets divers, dont chacun a une histoire, et est rattaché à un souvenir, et dont le plus gros inconvénient est... de donner envie de repartir !!
Il y a dans certains aéroports, des boutiques extraordinaires, je pense en particulier à celle de Johannesburg, qui est un véritable regroupement de tout ce que l'on peut trouver dans toutes les boutiques de souvenirs du pays ; et comme le Rand n'est pas une monnaie convertible, tout le monde se rue dedans pour se débarasser des dernières pièces et billets, qui sinon, seraient inutilisables.
Seulement, à ce stade du voyage, les bagages (dans lesquels il y a déjà pas mal de souvenirs..) sont déjà enregistrés, et tout ce qu'on achète, on ne peut plus le glisser dans les valises, faut se le coltiner à la main.. donc, ça limite le volume des achats à ce qui est accepté en bagages cabine, mais ça peut toutefois être aussi étrange qu'encombrant !
J'ai ainsi rapporté un gros bouquet de protéas d'Afrique du Sud (qui, bien conditionnées, ont supporté allègrement les nombreuses heures de vol), un orignal d'Anchorage, en peluche dont la tête dépassait de mon sac, et, en moins encombrant, un bout de canne à sucre de la Réunion ! Sans parler d'un sac en forme de pingouin en provenance.... de Lisbonne !
Et c'est ainsi que la maison s'encombre petit à petit d'une foule d'objets divers, dont chacun a une histoire, et est rattaché à un souvenir, et dont le plus gros inconvénient est... de donner envie de repartir !!
4 nov. 2008
Chercher du travail
Ayant quitté le monde du travail depuis un peu plus de deux ans maintenant, et n'ayant jamais eu réellement à chercher du travail puisque j'exerçais un métier en pleine pénurie, je plains ceux qui, dans d'autres domaines que la santé, ont à le faire. S'il m'arrive de parcourir les annonces, par curiosité, je suis toujours interloquée du vocabulaire employé, auquel je ne comprends strictement rien. Voici quelques exemples qui m'ont laissée... pantoise !
- Vous élaborez les livrables de spécifications fonctionnelles....
- ... afin de valider votre adéquation potentielle...
- Grand groupe français, nous recherchons un Key Account Manager... ?
- Vous établissez et mettez à jour des métriques sur l'avancement des étapes...
Et en français, ça donne quoi ?
Je passe sous silence le fait qu'il soit exigé au moins 5 ans d'expérience, quand ce n'est pas 10 (faut débuter dans la carrière en même temps que l'on entre au lycée ?) sans doute est-ce le temps qu'il faut pour comprendre ce langage ésotérique ! Quant à "connaître le logiciel Internet", là, c'est sans doute la faute à Google Translate !!
En tous cas, il y a des jours où on est bien content d'être vieux !
- Vous élaborez les livrables de spécifications fonctionnelles....
- ... afin de valider votre adéquation potentielle...
- Grand groupe français, nous recherchons un Key Account Manager... ?
- Vous établissez et mettez à jour des métriques sur l'avancement des étapes...
Et en français, ça donne quoi ?
Je passe sous silence le fait qu'il soit exigé au moins 5 ans d'expérience, quand ce n'est pas 10 (faut débuter dans la carrière en même temps que l'on entre au lycée ?) sans doute est-ce le temps qu'il faut pour comprendre ce langage ésotérique ! Quant à "connaître le logiciel Internet", là, c'est sans doute la faute à Google Translate !!
En tous cas, il y a des jours où on est bien content d'être vieux !
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