27 janv. 2007

Salon Solutions Linux



Tous les ans, à cheval entre janvier et février, se tient au CNIT, à la Défense, le Salon Solutions Linux où il est question d'un univers informatique alternatif à celui que connaîssent beaucoup de gens.

Ce salon comporte deux zones fort distinctes, la partie professionnelle, avec de beaux stands, bien décorés, où de jolies hôtesses vous accueillent, et où des techniciens en costard-cravate sont à votre disposition pour vous renseigner sur des sujets hautement spécialisés, mais il y a aussi le "Village des Associations", et là, ce n'est pas du tout la même ambiance.

Dans cette zone, c'est beaucoup plus débridé, tous les acteurs-sympathisants-promoteurs du Libre se retrouvent, montent leurs stands avec les moyens du bord, entassent leurs affaires dans le désordre, discutent, se congratulent, s'embrassent, se retrouvent, il y a du bruit, de l'animation, ce qui n'empêche absolument pas les compétences et la disponibilité des participants pour renseigner les visiteurs.

Certaines associations mettent de l'animation, les gens se déguisent, traversent les allées pour attirer l'attention sur la cause qu'ils défendent à grand bruit ! D'autres sont plus discrètes, et tentent d'expliquer et de renseigner les visiteurs qui s'approchent de leur stand.

Il y a aussi des éditeurs de livres d'informatique, Eyrolles, O'Reilly, et des éditeurs de journaux, on peut y trouver tout ce qu'on cherche au point de vue publications techniques. Puis, on trouve des marchands de goodies (d'accessoires, comme on devrait dire en français), avec peluches, T-shirts, pins.. sans oublier les stylos à billes et autres bricoles publicitaires. L'année dernière, IBM organisait une loterie où l'on pouvait gagner un énorme pingouin en peluche de plus d'un mètre de haut, objet particulièrement pratique à transporter dans le métro ou le RER au retour !

Donc, pour l'ambiance bon enfant du Village des Associations, pour toutes les compétences techniques réunies, pour soutenir aussi l'excellente cause qu'est la notion de "Libre", il faut venir... J'y serai sur le stand Léa, mais sans doute aussi sur celui de Framasoft (voilà ce que c'est que d'avoir deux casquettes !), sauf si je suis partie boire un café à la cafeteria, ou que je traîne chez Eyrolles.... mais normalement, je n'abandonne pas mes petits camarades trop longtemps !

Les photos ont été prises l'année dernière, elles sont forcément libres de droit, puisque ce sont les miennes !!

24 janv. 2007

De profundis !

Cette fois, il faut bien se rendre à l'évidence, l'IRTC est mort ! Depuis l'été dernier, on constatait que ce site était en mauvaise santé, les retards à proposer les images au vote et à donner les résultats étaient de plus en plus grands, le websubmission ne fonctionnait plus, et on sentait que la fin était proche. Et là, le dernier espoir s'est envolé. Le dernier concours, qui avait pour sujet "Complexity", est terminé depuis le 31 Décembre 2006, et rien ne va plus.. "The November-December 2006 stills round deadline was passed by 22 days, 23 hours, 51 minutes, and 43 seconds at the time this page was loaded" et il ne s'est rien passé, pas d'avis de clôture des envois, pas d'envoi de formulaire de vote, donc, pas de résultat ! Le site, qui existe toujours, semble être entré dans une longue léthargie.

Voilà, mes molécules ne connaitront jamais la gloire, fut-elle éphémère ! J'y participais depuis 2003 tout de même, et y ai envoyé 24 images en tout.. ma meilleure place ayant été 5ème, avec 12,45 de moyenne, en juin 2005, et j'aimais bien aussi faire partie du jury.

Donc, à moins d'un miracle, d'une résurrection (le site emacsfr est bien en train de renaître, lui..), de nouvelles bonnes volonté, nous venons d'assister à la mort d'un des hauts lieux de la production POVienne, c'est bien dommage !

22 janv. 2007

Le Musée des instruments de musique de La Couture Boussey


Mais c'est où ça ? Diront les gens qui n'habitent pas le coin.. effectivement, La Couture Boussey est un petit village de l'Eure, où se trouvent des fabriques renommées d'instruments de musique qui exportent leur production de clarinettes et hautbois pour plus de 80% de leur production (actuellement la France importe des instruments "ordinaires" et exporte du "haut de gamme", c'est le cas de Selmer ou de Buffet-Crampon à Mantes-la-Jolie). A la Couture Boussey, cette activité a débuté avec un certain Monsieur Hotteterre, natif de La Couture, musicien du roi Louis XIV de son état... les premiers instruments fabriqués dans les ateliers locaux, étaient en buis (un bois dense et étanche, parfait pour que l'air y soit canalisé) abondant dans les forêts alentour.

Et ce village héberge un musée remarquablement intéressant. J'ai eu la chance de le visiter seule, une charmante guide érudite rien que pour moi, j'y ai passé deux heures en apprenant énormément de choses sur la fabrication des hautbois et des clarinettes, sur l'historique de ces instruments, et sur toute la précision nécessaire pour les confectionner. On est toujours fasciné par la complexité de ces objets, et par leur beauté aussi.

Je suis sûre que je vais écouter le concerto pour clarinette de Mozart d'une autre oreille !

20 janv. 2007

Password et pagaille

Dès qu'on fréquente un tant soit peu un ordinateur, et pire, qu'on passe son temps à se ballader dans la galaxie Internet, on se retrouve avec une cargaison d'identifiants et de mots de passe divers qui finissent pas encombrer les pauvres cases mémoire d'un cerveau vieillissant.

D'abord, il y a son identifiant et son password sur l'ordinateur, sous Linux (mais avec plusieurs utilisateurs sous XP, c'est presque pareil), et quand on en fréquente plusieurs, avec des passwords différents, ça se complique : l'autre machine à la maison, le serveur du Club, la machine du travail... puis, il y a le mot de passe de messagerie pour relever son courrier, quand on se refuse à le laisser mémoriser par la machine (le meilleur moyen de l'oublier et d'être tout désemparé quand, hors de chez soi, on veut relever son courrier sur le webmail), et quand on a plusieurs boîtes aux lettres avec des passwords différents, ça se complique aussi.

Mais il y a aussi les identifiants et mots de passe des blogs, quand on en gère plusieurs, ceux des forums auxquels on participe, celui de wikipedia, des ventes en ligne... et je dois en oublier !

Bon, il y a des doublons, le même mot de passe pour deux choses, et/ou le même identifiant, mais même si ça réduit le nombre de "mots" dont il faut se souvenir, faut-il encore bien les "marier" l'un à l'autre. Si on a un id dupont avec pwd toto, et un autre id durand avec pwd tata, faut pas mettre dupont avec tata !! On peut aussi les laisser mémoriser par les sites visités, mais c'est un peu contraire à tous les principes de sécurité.

Alors, on les écrit dans le Palm, ou sur des bouts de papier (c'est moyen aussi pour la sécurité...), ou alors, on met la même chose strictement partout... Vous, vous faites comment ?

Parce que, si on ajoute à tout ça :
- le digicode de la maison, celui du portail qui n'est pas le même :-(
- le code secret de la carte de crédit
- le code pin du téléphone
- le code de la serrure de la valise
- le code d'accès sfr, sncf, filbanque, et autres....

On a le cerveau qui explose !

17 janv. 2007

Un jargon d'internaute

Toute communauté a un jargon. Le jargon est "Un parler du type sociolectal propre aux représentants d'une profession ou d'une activité" et sociolectal, pour les ignares dans mon genre qui ne connaissaient pas le sens de ce mot signifie : "En linguistique, un sociolecte est le parler d'un groupe social, d'une classe sociale, ou de toute catégorie se distinguant par une culture particulière". Donc, il existe plusieurs jargons, certains sont professionnels, celui des juristes, des médecins, et avec la communication sur Internet est né un autre jargon, particulièrement utilisé en messagerie instantanée et sur IRC. Là se retrouvent des gens qui prennent des habitudes d'écriture (il s'agit de communications en direct, mais de communications écrites, ce n'est pas du téléphone), lesquelles, par mimétisme, sont adoptées par les nouveaux arrivants, ce qui fait que tout le monde se comprend, en fin de compte.

Attention, il ne s'agit pas de langage SMS, kke je fé la, pkoi et autres abréviations existent aussi, mais ne sont pas forcément appréciées (en dehors des chans de djeunz !) mais la communication écrite, forcément concise, qui ne reflète pas les nuances du langage oral utilise, en plus du vocabulaire usuel, quelques expressions plus significatives. En voici un échantillon :

- atta : pour attends.. je te cherche un truc, je réfléchis...
- dsl : désolé, peut aussi s'écrire avec un smiley :-(
- bjr : bonjour, mais on peut dire lo pour hello, lu pour salut ou bonjour tout simplement ou encore bjr tlm mais c'est moins apprécié
- bn : bonne nuit, on dit aussi nenuit
- arf : onomatopée signifiant qu'on est contrarié, déçu, se dit aussi erf
- arghh : ou grrr indique qu'on est rudement en colère ! Ex : arghh j'ai foiré mon install ubuntu
- hu hu : ou ha ha ou hi hi ou mouah ha ha, signifie qu'on rigole franchement. Peut se traduire aussi par lol (lot of laughs) par mdr (mort de rire) ptdr (pété de rire) ou par le smiley :-D
- je re : ou jre signifie qu'on quitte temporairement le salon, mais qu'on compte revenir, donc, quand on revient, on ne dit pas bjr mais re évidemment !
- mici : pour merci
- nan : pour non - ces deux derniers ressemblent à la prononciation orale
- oki : au lieu d'ok, un des rares exemples de jargon plus long que l'original
- osef : on s'en fout (pas longtemps que je le connais celui-là)
- tkt : t'inquiètes
- vi : ou vi vi pour oui
- +1 : signifie qu'on est tout à fait d'accord avec ce qui vient de se dire, une forme d'incrémentation !
- a tte : à tout à l'heure, peut être remplacé par a+ @+ ou tout simplement par +++
- geta : plus rare, signifie Google est ton ami.. s'adresse à quelqu'un qui pose une question avant d'avoir cherché tout seul une réponse. On peut dire aussi, tu n'as qu'à googler.

Et il y en a d'autres ! Sachant que tout groupe humain se fabrique une sorte d'auto-langage, soit pour se cacher des autres (ce qui n'est pas le cas ici), soit pour se forger une sorte d'identité par un dialecte commun, les cyber bulles peuplées des pratiquants des chans IRC ou des messageries instantanées ont fabriqué le leur.

Les smileys en font partie aussi, et là le choix est vaste... Vous pouvez même en inventer, tiens en voilà un : (*)~(*) il veut dire quoi ? Cherchez...

14 janv. 2007

IE7 Grrrrrrr.........

Internet Explorer, le cauchemard des webmestres ! Ce diable de navigateur a deux caractéristiques inconciliables, celle d'être le moins conforme aux standards du Web, et celle d'être le plus utilisé. Donc, si vous faites un travail précis, bien léché, avec des feuilles de style tout à fait conformes aux recommandations du w3c, vous avez toutes les "chances" que IE les interprête à sa façon... tandis que Firefox, Konqueror, Safari, etc.. les comprendront aisément. Alors, que faut-il faire ? Coder "salement" son html et ses css pour convenir à Môssieur IE ? Ou ruser ?
On pourrait évidemment décider qu'on s'en fout, et que tout le monde n'a qu'à passer à Firefox, mais alors, la majorité des visiteurs, ceux qui ignorent qu'il existe d'autres mondes que celui que leur propose leur machine par défaut, verront des pages moins belles, voire illisibles dans certains cas. Donc, on fait avec, en grognant...
Puis, arriva Internet Explorer Septième du nom, précédé d'une réputation de convivialité, beauté, ergonomie, même que, vous ne savez pas, on peut ouvrir plusieurs onglets dans la même page !! Euh.. Firefox et Mozilla avant lui, font ça depuis longtemps.. ricanaient les autres, les ceusses qui ont bien compris qu'utiliser un navigateur moderne est tout de même mieux et plus "secure", comme on dit en engliche. En plus, il reconnaît la transparence des .png ! Oui, oui... Grande nouveauté, parce que jusqu'à IE6, quand vous insériez un .png, il était tout entouré de gris alors qu'il aurait du être transparent. Par contre, il digère mal certains .gif... on ne peut pas tout avoir ni trop lui demander. Pour le reste, les borders en css par exemple, c'est pas encore tout à fait ça.. allez, ça viendra, dans IE10 sans doute ! Quand Firefox version x en sera à fonctionner télépathiquement !

11 janv. 2007

Visite du GANIL à Caen

(Grand Accélérateur National d'Ions Lourds)
D'abord, un grand merci à René Brou, qui a permis cette visite détaillée, et à ses deux collègues qui ont accompagné les visiteurs en leur fournissant toutes les explications qu'ils souhaitaient.
Une visite impressionnante au milieu de ces gigantesques machines dont le but est de capter les secrets de l'infiniment petit. Quelle complexité ! Depuis la machine elle-même, dont les détails de fonctionnement vous sont clairement expliqués sur le site du GANIL , jusqu'aux salles d'expériences où l'informatique (Linux-Fedora) est omniprésente tant pour le pilotage et le réglage des différents processus, que pour l'analyse et la sauvegarde des données.
Les installations du GANIL reçoivent aussi des chercheurs étrangers, une maison d'hôtes est à leur disposition, et emploie 200 personnes pour son fonctionnement et sa maintenance.

Quelques photos :
De haut en bas :
- La salle de contrôle
- Le trajet du flux depuis la source et l'extérieur d'un des cyclotrons
- Les murs de neutrons





10 janv. 2007

Une journée bien remplie



Tant qu'à faire que d'aller à Paris du fond de ma province, faut rentabiliser son temps !

A la Cité des Sciences, il y a beaucoup de choses à voir et à faire, certes, mais il y a aussi la Géode, seule dans son genre depuis la fermeture de son homologue à la Défense. Quand on a un emploi du temps pas trop serré, il est préférable de faire des réservations d'avance, ce qui permet de choisir le ou les films qu'on veut voir aux heures qui conviennent. Sur place, on récupère les billets et il n'y a plus qu'à s'installer à la meilleure place : au milieu, juste au-dessus du trou central où se trouvent les ordinateurs de contrôle (conseil d'un employé de la Cité des Sciences que j'ai immédiatement suivi). Le premier film retraçait l'épopée de Spirit et Opportunity sur Mars, avec les images impressionnantes que la Nasa avait montrées à cette époque. Et le second, sur la descente du Nil bleu, depuis l'Ethiopie jusqu'à Alexandrie, avec ses rapides, ses chutes, et les paysages étranges traversés.

On sort de là un peu "sonnés" tant on est immergé dans l'image et le son.. mais la traversée dans sa longueur du Parc de la Villette remet les idées et le cerveau en place ! La Cité de la Musique ? Un bâtiment moderne, d'architecture un peu.. contournée (faut déjà trouver l'entrée), dans lequel se trouve un étonnant musée des instruments de musique fort riche. On y découvre des instruments rares, des cistres, des pochettes (minuscules violons), d'énormes archi-luths, et l'impayable octobasse dont actuellement une seule personne au monde sait jouer ! Pour tous les détails sur ces instruments, comme il était interdit de prendre des photos, référez-vous à Wikipedia ! On y voit aussi de merveilleux clavecins, des piano-forte, des clavicordes, et les doigts démangent... de les essayer ! Donc, sur plusieurs niveaux, beaucoup de choses à découvrir, en regrettant toutefois qu'on ne puisse pas entendre le son de ces instruments...

De la Porte de Pantin à Denfert-Rochereau, il y a... beaucoup de stations de métro, certes, mais ça permet aussi de récupérer ! On termine par la conférence mensuelle de l'Institut d'Astrophysique de Paris où Madame Frances Westall parle avec un délicieux accent anglais (elle est sud-africaine) de la recherche de l'origine de la vie, déplorant, en particulier, d'être trop "vieille" pour espérer aller sur Mars (tiens, j'en connais une autre..)

Donc, la boucle est bouclée : on commence la journée sur Mars, et on la termine aussi sur Mars...


A noter deux détails amusants : sur les images du film de la Géode, quand on voit la salle de contrôle de la Nasa, sur les écrans de certains ordinateurs, on voyait... le panel d'XFCE !! Et, à la billeterie de la Cité de la Musique, la pauvre employée était aux prises avec son ordinateur, planté, pour une sombre cause de carte graphique que Windows ne reconnaissait plus... Non, je n'en tire pas la moindre conclusion !!!

5 janv. 2007

Escapade à Dijon

Pourquoi Dijon ? A l'origine, pour visiter une remarquable exposition intitulée "Visions du déluge" au Musée Magnin . Très belle et très riche exposition, très riche musée aussi, rempli d'oeuvres fort intéressantes, dans un cadre magnifique. Mais il y a aussi le Musée des Beaux-Arts , installé dans une aile du palais Ducal, et là, il faudrait plusieurs jours pour tout découvrir et admirer ! La salle des gardes est remarquable, avec les tombeaux de Philippe le Hardi et de Jean sans Peur, dont les pleurants en albâtre sont si expressifs, et trois retables exceptionnels devant lesquels on pourrait rester de nombreuses heures à observer tous les détails.

Le Palais Ducal, la cathédrale St Bénigne et son étonnante crypte, l'église St Michel, Notre-Dame, les quartiers anciens avec leurs maisons à colombages et leurs splendides hôtels particuliers, sans oublier le pain d'épice, la moutarde, la crême de cassis et... les vins de Bourgogne évidemment.

Donc, Dijon est une ville à découvrir, tout près de Paris par le TGV, et qui mériterait plus qu'une "escapade" !


1 janv. 2007

Les cartes de voeux

Autrefois, enfin, depuis l'invention de l'imprimerie et de la poste tout du moins, on envoyait des cartes de voeux, entre le 15 décembre et la fin janvier. Coutume immuable à laquelle il n'était pas de bon ton de déroger, la tata n'aurait pas du tout apprécié de ne pas avoir sa carte, il fallait répondre, et la "bonne éducation" de l'époque prétendait que c'était aux plus jeunes d'envoyer leurs voeux en premier aux aînés ! L'âge aidant, on répondait plus qu'on n'envoyait, mais tout de même, il fallait aller acheter des cartes, les rédiger, les mettre sous enveloppe, trouver un timbre, aller à la poste...

Petit à petit, les cartes disparaîssaient au profit du téléphone, plus facile, plus rapide, même s'il n'était pas vraiment utilisable entre ceux qui habitaient différents fuseaux horaires, mais le facteur avait moins de travail !

Et puis vinrent les nouvelles technologies... Les possesseurs de téléphones portables utilisèrent SMS, MMS, et autres voeux en vidéo et en visiophonie, et d'autres (les mêmes souvent) se servirent du mail, bien entendu, facile, rapide, pas cher, se jouant des heures et des distances, envoyé de n'importe où pour s'en aller n'importe où dans le monde, sans oublier les différents sites proposant l'envoi de cartes de voeux gratuitement à une ou plusieurs personnes, trois clics, et c'est parti !

Celle que je vous envoie à vous tous, qui avez la gentillesse de lire ces pages et de les commenter, vient de L'Internaute un site dédié à ce genre d'envoi. Donc, bonne et belle année Séverine, Olivier, Vincent-Xavier, Bodha, Antoine et les autres, et merci de votre fidélité et de votre amitié.