29 sept. 2006

Pays de la démesure !




Démesure des immenses hôtels casinos de Las Vegas (ici, le Luxor), démesure des paysages magnifiques, gigantesques et exceptionnels du Grand Canyon du Colorado, démesure de ces routes rectilignes de l'Ouest qui s'en vont à l'infini...

22 sept. 2006

Deux facettes de Boston

Des reflets dans la façade en verre deu John Hancock building.



Une rue de North End.

21 sept. 2006

Deux photos ?



Tant qu'on peut utiliser une connexion facile, on en profite ! La première photo a été prise dans l'avion (d'où le reflet du hublot) à l'atterrissage. Heureusement que le pilote ne s'est pas posé trop tôt... on passe vraiment au ras des maisons. Et l'autre, c'est Washington soi même, sur son cheval, au milieu d'un bien beau jardin.

En direct de Boston, Massachusetts

Eh bien, c'est un parcours du combattant pour prendre un avion de nos jours, surtout à destination des USA. Donc, on arrive au terminal E et on repère les comptoirs Delta, qui sont les mêmes que ceux d'Air France. Premier arrêt, premier agent : il vérifie qu'on est au bon endroit et qu'on est bien inscrits sur le vol qu'on veut prendre.
Second agent : la sécurité. Il rappelle ce qu'il ne faut pas transporter, vérifie, épluche les billets et les passeports, nous remet les formulaires de l'immigration et nous dirige vers l'enregistrement des bagages où une troisième employé, fort sympathique, envoie les valises à Boston et nous donne les cartes d'embarquement.
Le quatrième employé, une dame boulotte et toute affolée devant l'affluence des passagers, essaye de canaliser tout le monde vers les zones de contrôle, pour éviter les étranglements et les files d'attente. Là, on quitte chaussures, ceintures et vestes, on pose les bagages à main sur le tapis roulant, on passe sous le portique, puis on est palpé de haut en bas. Ceci fait, on récupère chaussures et ceintures et on s'approche d'un... cinquième employé qui ouvre les sacs que nous gardons avec nous, en vérifie le contenu, passe à l'intérieur un drôle de truc ainsi que sur nos mains et nos montres (il paraît que c'est pour détecter des explosifs), nous dit que tout est OK et on part... en direction de la porte d'embarquement 80. Mais c'est qu'elle n'est pas là du tout, elle est à l'autre bout de l'aéroport. Il faut prendre un bus spécial, et après un assez long circuit en zig zag dans des entrepôts et autres bâtiments en béton, on arrive dans un endroit clair, agréable. On a le temps de traîner dans les duty free et de boire un café, avant d'arriver à la porte 82 (oui, ça avait changé entre temps), et d'embarquer !
L'avion était loin d'être plein, on avait largement la place de s'étaler, de changer d'endroit, de circuler, ce qui est rudement confortable. On tire la langue pour s'appliquer à remplir le formulaire vert, sans rature, sans hésitation, sans se tromper de case, et on se demande si on va passer ce dernier contrôle. Nos précédentes expériences nous donnant quelques doutes, surtout dans le contexte actuel.
Arrivée à Boston, pas d'autre arrivée que notre Airbus, donc peu de monde. Un employé vérifie que nous avons bien nos fameux cartons verts, on attend qu'une place se libère, et on arrive devant le fonctionnaire. Il était gentil, aimable, et avait même un certain humour, ce qui est stupéfiant pour quelqu'un qui travaille dans ce secteur. Tout allait bien, nos papiers étaient bien remplis, nos empreintes digitales convenaient, et, comme nous rangions le tout, il nous a même dit "au revoir", dans son meilleur français ! Jamais vu ça...
Après toutes ces péripéties de voyage, toutes bien terminées, il me semble qu'une caesar salade serait la bienvenue.. !

19 sept. 2006

Derniers préparatifs

Valise presque bouclée avec dedans les ohjets dangereux comme le coupe ongle, le dentifrice, et le briquet. La sacoche de Slimtux hébergeant en plus de sa connectique et de celle de l'appareil photo (et du téléphone... voir post précédent), les papiers importants : passeport, permis de conduire, carte visa, ainsi qu'un bouquin et un carnet pour le journal de voyage.

Comment ? Un papier et un crayon pour écrire alors qu'on transporte un ordinateur avec un Emacs minutieusement configuré ? Une hérésie ? Non, le fruit d'une expérience. Au Portugal, j'avais transféré des photos sur la partition Windows (pour ne pas encombrer la partie Linux du disque), dans ce sous-répertoire, il y avait aussi le texte du journal de bord. Au milieu du séjour, j'ai gravé un CD, et ai voulu libérer de la place en effaçant les photos... qui sont parties à la corbeille avec le journal de bord, corbeille consciencieusement vidée, parce que je suis ordonnée !! Le papier-crayon, certes on peut le perdre, mais sinon, il y a peu de chances que ça aille à la corbeille. En plus, ouvrir un portable dans un avion, c'est bien encombrant, compte-tenu de l'exiguité des places... Sur les lignes nord américaines, il n'est pas possible de voyager en classe affaires, et on ne peut pas toujours aller en Afrique du Sud (ah les buisiness class de South African Airways, quel extraordinaire rapport qualité-prix) ou à la Réunion avec Air Austral et sa classe confort.

Donc tout est OK ? Eh bien, ce me semble, donc "Go west gentleman" comme on disait autrefois aux pionniers qui exploraient le Nouveau Monde. On va essayer de faire surgir des tréfonds de la mémoire les mots anglais indispensables à une communication basique avec les autochtones. Tiens au passage, je me souviens d'un petit garçon, au Texas, qui nous demandait d'où nous venions, quand nous lui avons dit que nous venions de France, il nous a regardés et nous a demandé : "dites, c'est grand la France ?"... oui, à peu près comme le Texas ! Une autre fois, dans le sud de la Californie, un pompiste qui nous avait posé la même question, nous a dit, avec un sourire, qu'il était déjà allé en France, il y avait déjà longtemps.. Je lui ai dit (en voyant son âge apparent) qu'il ne devait pas s'agir d'un voyage touristique. "Vous savez, avec le temps, les mauvais souvenirs s'en vont, et il ne reste que les bons", m'avait-il répondu avec philosophie.

A dans trois semaines environ, à moins que je ne croise un hot-spot Wi-Fi, ou une connexion ethernet à laquelle je puisse brancher le laptop ou que je puisse utiliser (ce que j'ai déjà fait) les ordinateurs mis à disposition gratuitement dans certains hôtels, mais alors là, faut se battre avec un clavier qwerty ce qui n'est pas le plus commode pour écrire le français !

See you soon :-)

15 sept. 2006

Un départ en vacances

Il y a des gens normaux qui partent en vacances dans une de nos belles régions de France, en mettant leurs valises dans la voiture ou dans le TGV, sans se poser de questions. Et puis il y a les autres, qui ne rêvent que du Nouveau Monde, et décident de rallier les déserts arizoniens où les Navajos et autres Hopis sont bien plus accueillants que les employés des aéroports et les fonctionnaires de l'Immigration Américaine. Mais avant de rejoindre ces sympathiques autochtones, faut passer l'obtacle des seconds, et ce n'est pas une mince affaire.

Si, autrefois, même quand on avait la mauvaise idée d'aller visiter New-York en même temps que se déroulait la guerre du Golfe (1996), on avait encore la possibilité d'emporter avec soi, dans l'avion, un minimum de choses comme un briquet (eh oui, on pouvait fumer dans les avions à cette époque), une bouteille d'eau, un flacon de médicament, un tube de rouge à lèvres... maintenant, c'est terminé tout ça ! Dans le sac en cabine, pas de liquide ou de pâte, donc, pas de crême, de bâton de rouge, de gouttes pour les oreilles... Eh bien, on s'en passera, pour quelques heures, ce n'est pas mortel. Et les appareils électroniques dont nous avons plein nos sacs actuellement ? Pas de problèmes pour eux, on peut transporter ordinateur, appareil photo numérique, téléphone, PDA. Ouf ! C'est déjà ça.

Donc, emballons nos chers gadgets et toute leur connectique ; Là aussi, c'est tout un travail, parce que si l'appareil photo est minuscule, sa station d'accueil (et de rechargement des batteries) est un peu plus grande, et il ne faut pas oublier le câble d'alimentation, et le câble usb pour le transfert des photos... sur l'ordinateur, lequel ne saurait se déplacer sans son alim et ses câbles plus ou moins rigides. Si on rajoute le câble du téléphone, et éventuellement la station d'accueil/rechargement du Palm, on arrive à transporter un vrai nid de serpents de connectique en tous genre.

Parce qu'on a besoin de tout ça ? Parce qu'on ne saurait plus s'éloigner de ses bases sans trimballer tous ces impedimenta modernes ? Parce qu'on ne sait plus comment vivre sans un ordinateur et ce qui tourne autour ? Ben... euh... bah... c'est que... enfin... Oui, on peut, on pourrait... oui, on doit, on devrait...

(à suivre)

12 sept. 2006

Le château de Vascoeuil




Le département de l'Eure, même s'il n'est pas un des plus connus de France, recèle un grand nombre de richesses, en paysages, architectures ou arts. Sans doute beaucoup de gens connaissent les formidables ruines de Château Gaillard aux Andelys, ou le mystérieux donjon de Gisors, mais connaissez-vous le château de Vascoeuil ? Situé dans le verte vallée de l'Andelle, c'est une demeure du XVème siècle minutieusement et magnifiquement restaurée récemment, qui accueille tous les ans des expositions d'art, superbement mises en valeur dans ces murs anciens. On a pu y voir aussi bien Vasarely que Léonor Fini ou même Dali. En ce moment, et pour peu de jours encore, y sont exposés des bijoux, sculptures et tapisseries de Braque.

Cette demeure a hébergé longtemps l'écrivain historien Michelet qui aimait à s'isoler dans la tour, dans un petit cabinet de travail d'où il avait une vue circulaire sur tout le parc. Parce qu'il y a aussi un parc, orné de sculptures modernes qui surprennent et fascinent au détour des allées ombragées ou du jardin à la française.

Le château de Vascoeuil, c'est plus qu'un musée, c'est une entité exceptionnelle, parce que le contenant est aussi beau et intéressant que le contenu, toujours varié et de grande qualité.

Alors, si vous passez par là, n'hésitez pas à venir vous promener par là, à admirer les ruisseaux et cascades, le musée Michelet, les grands arbres du parc, le splendide pigeonnier en briques, et aussi, l'exposition en cours... Dont vous pourrez voir quelques photos au début de cet article.

10 sept. 2006

Je suis petit mais je fais tout !

Nous utilisons dans notre vie quotidienne un grand nombre d'outils électoniques perfectionnés qui vont du téléphone au PDA (Palm et similaires) en passant pas le lecteur mp3 et le traducteur de poche. Et tous font beaucoup de choses, trop ?
Observons un téléphone portable : sa principale fonction est de... téléphoner, évidemment et accessoirement d'avoir à disposition un répertoire téléphonique, bien utile. Mais la plupart des appareils actuels font beaucoup plus que ça : ils prennent des photos, permettent d'écouter de la musique, d'éventuellement regarder la télé, de recevoir des mails, de surfer sur certains sites, d'utiliser la visiophonie, sans parler de leurs fonctions d'agenda, de calendrier, de réveil, ou de jeux ! Le tout dans quelques grammes de plastique et de composants électroniques. C'est bien ? Oui et non... parce qu'une grande majorité d'utilisateurs n'a pas besoin de tout ça, et que l'arrivée à la maison d'un tel engin demande une bonne après-midi de lecture de la notice (quand celle-ci est claire, sinon beaucoup plus) seulement pour utiliser quelques fonctions de base. Le reste ? On n'n a pas besoin (ou on n'a pas l'abonnement pour, dans l'exemple du téléphone). Mais pour trouver les options souhaitées, il faut souvent digérer tout le reste.

Qui peut le plus peut le moins me direz-vous ! Certes, mais ensuite on s'étonne que certaine personnes, moins curieuses ou moins branchées nouvelles technologies que d'autres, renâclent à utiliser ces trucs si compliqués... aggravant ainsi la fameuse fracture numérique ! Un autre exemple : je viens d'acquérir une traductrice de poche français-anglais (et vice-versa of course) engin bien utile lors de voyages en pays anglophone, bien moins lourd et plus pratique qu'un vulgaire dictionnaire papier. J'en avais déjà une, qui arrivait en fin de vie, elle ne faisait "que" traduire les mots... quelle misère ! La nouvelle, à peine plus volumineuse en plus fournit des jeux (de lettres), des phrases usuelles dans les deux langues, tout ceci étant parfait, mais aussi une calculatrice, un convertisseur de monnaies, le jour et l'heure... dans plusieurs villes du monde !

Est-ce vraiment utile et pratique de considérer que, puisque la miniaturisation des composants le permet au moindre coût, il faille que nos outils fassent tout et plus encore, alors que nous n'en utiliseront qu'un faible pourcentage (ce pourquoi on les a achetés) ? Ça ressemble tout à fait à la machine à laver qui a 25 programmes dont on ne se servira que de deux ou trois, ou à un logiciel de bureautique dont l'usager classique n'utilisera en pratique quotidienne que 10% des fonctionnalités, mais qui nécéssitera un ordinateur puissant pour gérer toutes ces ressources inutiles...

5 sept. 2006

MegaPov, suite, mais pas fin !

Pour tous ceux qui ont eu la patience de suivre mes démêlés plus ou moins orageux avec MegaPov, voilà où en sont les différents essais, études et expérimentations : Clothray, pas vraiment souple ni très simple à adapter, mais qui peut faire de jolies choses quand on maîtrise, ce qui viendra, ne désespérons pas ! Les Glows, pas trop dur, avec les claires explications de Fabien Mosen sur son site. La macro fur, à part pour faire des ours en peluche ne me semble pas bien utile, restait motion_blur, pour donner une impression d'animation à un objet. Oui, mais là, je n'avais que la documentation officielle, particulièrement absconse où il n'y a pas le moindre exemple concrêt et simple. Quand on lit ça :

global_settings
{
motion_blur SAMPLES, SHUTTER-TIME
}

et qu'en guise d'explications, on vous dit que "SAMPLES is the number of time-frames that will be sampled. More samples will give smoother results, but will take longer to render." sans vous donner le moindre ordre d'idée du nombre en question.... on se dit qu'un exemple eût été le bienvenu...

Pour la mise en oeuvre du fameux motion_blur, là, il y a un exemple, miracle !

motion_blur
{
sphere { 0, 1 material { My_material rotate x*clock}}
translate x*clock
}

oui, mais quid de clock ? Voilà la réponse : "Here the clock keyword within the material will trigger a rotational blurring of this material and the clock keyword within the motion_blur block will trigger a motion blur in the translation of the sphere." Et on lui donne quelle valeur à cette clock ? 8, 25, 1 ? Certes, on peut faire des essais, mais ça peut être long, là aussi, un exemple, une fourchette de valeur auraient été les bienvenus.

D'accord, je ne suis pas douée et n'ai guère l'esprit vif, mais par contre, j'ai de bons copains compétents. Un appel sur le chan #povray-fr : allo Seb, tu fais comment toi le motion_blur ? Euh, fastoche... qu'il me répond, et quelques secondes après il m'envoyait un script simple, évident, largement commenté, et.. j'ai compris ! Comme quoi, quand on trouve les bons mots, on arrive à bout du cerveau le plus rétif.

Donc, voilà le résultat de ces premières études, toujours sur le thème du fantôme : du clothray à plusieurs endroits, un glow dans la lampe à pétrole, une balle avec motion_blur, et aussi, mais là, ça n'a plus rien à voir avec MegaPov, une verrière provenant d'une macro obligeamment offerte par mon ami Matthieu (Pepeto), qui m'a donnée plein d'autres idées de scènes... qu'il en soit publiquement remercié !

Donc, avec tous ces matériaux récemment étudiés, je vais pouvoir avoir de nouveaux outils pour réaliser le prochain topic de l'IRTC : "absence" ! Donc, suite au prochain numéro ! Histoire de savoir si le fantôme vivra une nouvelle aventure !

2 sept. 2006

Incompétence, inepties et lieux communs

Dans le dernier numéro d'un célèbre magazine hebdomadaire, il y a un article intitulé "Pas d'ordinateur dans la chambre avant 15 ans", qui recueille des propos d'une psychologue clinicienne, dont je tairai le nom, laquelle veut donner de bons conseils aux parents d'enfants et d'adolescents qui passent beaucoup de temps devant leur ordinateur et surtout devant Internet. Les dangers ? Ceux que tout le monde connaît, ou croit connaître, les sites pédophiles et pornographiques.. passons... mais un autre grand danger est bien sûr MSN. Certes, utiliser des produits Microsoft expose toujours à un péril, mais si on utilise Gaim ??? Et le "chat" alors, quelle horreur pour nos pauvres petits... un endroit où "ils peuvent se libérer de la tyrannie des apparences, effacer la dimension corporelle... Un adulte mal intentionné pourrait parfaitement infiltrer un chat en faisant croire qu'il a 14 ans..." oh là.. va falloir faire attention sur #framasoft, parce que nous rencontrons souvent un "chatteur" qui vient d'avoir 14 ans (salut Simonpca !), il pourrait bien pervertir les autres, les anciens ados de 40, 50, 60 ans qui fréquentent ce chan !

Mais ce n'est pas tout, cette docte personne stigmatise aussi les blogs où les adolescents "... doivent préserver leur intimité et leur pudeur contre les regards des autres...", puisqu'il s'agit d'une "vitrine où l'on se donne en spectacle, une mise en scène plutôt exhibitionniste...". Mon Dieu, que de poncifs ! De lieux communs éculés, répétés depuis qu'Internet est devenu grand public, et que de sottises aussi ! Comme si les adolescents n'avaient pas depuis toujours devant les yeux (et sur leur écran de télé aussi) d'autres tentations qui existaient depuis bien avant Internet... et encore je passe sur la réflexion aussi désobligeante que fausse sur Wikipedia. Rien sur le téléchargement illégal, sans doute que la dame ignore l'existence de cette effroyable infraction...

Et cette manie d'associer messagerie instantanée - chat - blogs à l'adolescence, comme si les adultes n'utilisaient jamais ces outils !! Encore le syndrome de l'adulte qui ne comprend rien à l'informatique alors que mon petit, lui, vous savez... En dehors des seniors (dont je fais partie) du chan framasoft évoqués tout à l'heure, j'ai un exemple tout proche de deux adultes tout à fait capables de dialoguer par mail, tout en discutant sur plusieurs forums différents, et le tout simultanément, quand encore, ils ne se retrouvent pas sur le chan #povray-fr.. Quel exemple pour notre belle jeunesse ! Quelle honte ! Quelle déchéance ! Où s'qu'on va ma pov'dame !

Donc, les ados ne devraient pas avoir d'ordinateur dans leur chambre avant 15 ans qu'elle a dit la dame. C'est ben vrai ça, il vaut mieux qu'ils aient la télé, comme ça ils pourront à loisir regarder "qui veut gagner des millions ?", ou un succédané de "Dallas", c'est tout de même plus sain pour leur équilibre mental, non ?

Eh bien, ce n'était pas du tout le sujet que je voulais aborder ce soir, mais ce genre d'article dés-informatif me fait toujours bondir et réagir...