28 nov. 2015

La dinde était toujours vivante (*)

Il était une fois une dinde..... Qui a fait couler beaucoup d'encre, ou plutôt beaucoup d'octets. En effet, dans le jeu SuperCity, il y a eu une mission intitulée Thanksgiving, dans laquelle, il fallait effectuer quatre quêtes et les terminer en 4 jours pour obtenir un superbe parc d'automne, lequel devait ensuite rapporter des billets. Voilà le challenge proposé. Mais, si la plupart des quêtes étaient tout à fait faisables dans le temps imparti, il suffisait d'être patient et de jouer souvent, il y en avait une particulièrement ardue, puisque les bâtiments sur lesquels il fallait cliquer pour obtenir une dinde mettaient plusieurs heures à se remplir, et surtout, parce que l'arrivée du volatile était tout à fait aléatoire. On pouvait cliquer toute la journée sans rien recevoir alors que le temps imparti diminuait drastiquement.

Alors ça a été l'affolement pour les joueurs, ceux qui l'avaient pavoisaient et l'annonçaient à leurs amis avec de grands YESssss ! ou YoupIIII ! Et les autres, qui ne l'avaient toujours pas, se rongeaient les sangs, au bord de la crise de nerfs voire du suicide, délaissant toutes les tâches quotidiennes pour se ruer sur leur ordinateur et cliquer frénétiquement. Certains donnaient des tuyaux, pas vraiment efficaces, d'autres encourageaient les joueurs malchanceux, il y avait une activité débordante et fébrile. Certains sortaient leur carte bancaire d'autant plus que l'éditeur, malin, faisait "justement" une promotion pour l'achat de billets, d'autres s'y refusaient vertement et regardaient d'un œil torve le compteur du temps qui leur restait.

Quelques uns l'ont eue dans la première journée de la mission, d'autres un peu plus tard, d'autres enfin ont fini par l'avoir, mais n'avaient pas les moyens de terminer les autres quêtes, ce qui faisait évidemment enrager ceux qui avaient tout fini sauf ça, enfin, c'était la panique générale. Du coup, on ne voyait plus de photos des petits enfants, du chat ou du chien, ou encore du plat que l'on allait déguster, il ne s'agissait plus que de cette diablesse de dinde qui ressemblait beaucoup à l'Arlésienne !

Petit à petit le nombre de possesseurs de la fameuse dinde augmentait, parallèlement à la frustration de ceux qui ne l'avaient pas encore. Certains le prenaient avec philosophie, indiquant qu'après tout ce n'était qu'un jeu parmi tant d'autres, d'autres rouspétaient en disant que, puisque c'était comme ça, ils ne joueraient plus.

A l'aube du dernier jour, alors que ceux qui "l'avaient" commençaient avec délectation à récupérer les premiers billets, les abandonnés de la dinde remâchaient leur frustration avec un œil sur la pendule, et l'autre sur leur écran, vouant les concepteurs sadiques aux gémonies, rageant de louper la mission (et les cadeaux qui vont avec) pour un vulgaire volatile.

Ainsi va la vie des communautés de joueurs sur Facebook, donc, suite au prochain numéro !


(*) Allusion à un sketch de Robert Lamoureux, dans les années cinquante : la chasse au canard

27 nov. 2015

En vrac


L'Histoire est un perpétuel recommencement... (Hélas...)

Les massacres de la Saint Barthélémy (à partir du 24 août 1572) perpétrés pour des raisons religieuses et politiques, ont fait 3000 morts à Paris et de 5 à 10.000 dans toute la France. Et pourtant, ils n'avaient que des épées, poignards et arquebuses....

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 Ça se passe dans un des pays les plus modernes du monde...

Dans l’État de Vermont, beaucoup de maisons possèdent une curiosité architecturale : des fenêtres inclinées. En réalité, elles ont été construites pour garder les sorcières hors des maisons. En effet, avec des fenêtres inclinées, elles ne pouvaient pas y entrer quand elles volaient dans les airs, à cheval sur leurs balais.

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 Moi y en a bien parlé la France

* moi aussi je fait beaucoup de faut en écriture sa ne me pause auqu'un problème on écrit comme le mot se prononce

* Moi je suis handicap et je ne le fait pas espère putin

* vous vous avez un coeur un servo vous m'avez pas juje
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De l'eau sur Mars ? En tous cas une bien belle image

24 nov. 2015

Blogger ou Wordpress ?


Quand on a envie d'avoir un blog, pour son plaisir personnel plus que pour viser une audience internationale, si l'on n'a pas le courage de se plonger dans les arcanes de la programmation, ou que ça dépasse nettement son seuil d'incompétence, on peut aisément utiliser des moteurs gratuits, ils ne manquent pas : du plus simple au plus sophistiqué, de celui dédié plus particulièrement aux images, au plus généraliste, on a largement le choix.

Quand j'ai voulu refondre mon site de lecture , parce que j'avais perdu l'envie de me casser la tête avec l'html et les css, et n'avais pas non plus envie de me perdre dans les dédales de Joomla et similaires, j'ai voulu essayer WordPress, parce que j'avais déjà un blog sur Blogger, et que je voulais voir la différence. J'ai utilisé bien évidemment la version en ligne, pas celle que l'on doit installer et pour laquelle il faut trouver un hébergeur, et.... Eh bien, ça irait si.... Ils ne changeaient pas l'interface administrateur sans arrêt. Pour peu que l'on reste un mois ou à peine plus sans mettre à jour ses pages, on ne s'y retrouve plus. On ne sait plus d'une fois sur l'autre comment rajouter un article, ni gérer les images. Avant, il y avait un truc bien pratique, pour justement mettre les images à la taille qu'on voulait... Supprimé ! Maintenant, ça se fait en cliquant sur l'image, et en choisissant plus gros ou plus petit... Avant il y avait un tout bête bouton publier, maintenant, il a disparu et on cherche où est son équivalent.

On finit quand même par s'adapter, et, avec l'habitude, on arrive même à apprécier sauf que... Le mois suivant, il y aura encore autre chose de changé, ce qui fait qu'on passe son temps à se familiariser avec la nouvelle interface !

Avec Blogger, rien de tout ça, tel que c'était à l'ouverture de ce blog, tel c'est maintenant, ça n'évolue pas. D'aucuns diront que ce n'est vraiment pas un progrès, mais c'est en tous cas une facilité, même si je reconnais que c'est très basique, très limité, qu'il faut parfois utiliser les vieux souvenirs d'HTML, et que les plus exigeants, les plus compétents hausseront les épaules en disant que vraiment, c'est ringard et trop simpliste. Mais justement, quand on a passé des années à tenter de comprendre quelques bribes de php, à potasser les CSS, à utiliser un client FTP pour mettre à jour ses pages, à se creuser la tête pour trouver pourquoi ce truc ne marche pas comme on veut, eh bien, ça repose d'entrer dans ses pantoufles et de mettre à jour en un copier/coller et en deux clics !

Régression mentale ou sagesse ?? 

14 nov. 2015

Contrôles aux frontières


On parle beaucoup hélas en ce moment du contrôle aux frontières. Or, quand on voyage, on ne peut pas ne pas remarquer un certain nombre d'incohérences concernant la sécurité dans le transport aérien. Un portique va sonner à cause d'une simple barrette à cheveux, mais un briquet oublié dans un sac passera aisément au scanner. Un petit aéroport régional qui n'assure que des vols intérieurs d'un pays d'Afrique exige une fouille des bagages des passagers, et un passage au détecteur à main (je ne sais pas comment ça s'appelle ni d'ailleurs ce que c'est sensé détecter) de tout le monde, y compris du personnel qui va et vient. Par contre, un vol tout aussi intérieur en Argentine laisse passer tout le monde à toute allure aux mêmes portiques. J'ai vu des clous sur un jean faire sonner l'engin, dans un aéroport, mais pas dans un autre...

Quant aux contrôles des passeports, j'ose espérer que les fonctionnaires connaissent les noms des individus douteux, parce que sinon, on pourrait avoir quelques doutes sur le passage des voyageurs, et même avoir la désagréable impression qu'un individu honnête est plus "épluché" que certains qui le sont moins...

Quant au transport ferroviaire, on voit mal comment on pourrait contrôler les milliers de gens qui transitent quotidiennement par les grandes gares parisiennes par exemple, sans créer des embouteillages gigantesques et ferments d'émeutes d'usagers exaspérés. Les trains internationaux ? Je n'ai que l'expérience du Lyria qui mène à Genève, où l'on tendait son passeport à un fonctionnaire suisse qui ne le regardait même pas, et pourtant, la Suisse n'est pas dans l'espace Schengen ! Et je n'ai pas le souvenir qu'il y ait eu le moindre contrôle dans le Thalys qui allait à Bruxelles.

Tout ça fait un peu incohérent, un peu aléatoire, un peu tributaire du matériel, de l'intérêt ou de la fatigue des contrôleurs, et ce n'est pas vraiment rassurant.

Sans doute que les contrôles aux frontières sont bien plus rigides et exigeants en Corée du Nord, mais qui a envie d'y entrer ??

L'image d'illustration représente le mouvement de solidarité des membres d'un grand réseau social qui consistait à mettre un drapeau français en surimpression de son avatar, mouvement largement suivi, y compris par les Belges, les Suisses, les Québécois, etc. 

13 novembre 2015


Solidarité internationale

13 nov. 2015

Un essai.... Non transformé !


Ah les GPS ! Certains ne jurent que par ça, paraît que ça permet d'aller partout sans se perdre, qu'on n'a plus besoin d'avoir tout un lot de cartes routières en papier, qui se déchirent ou refusent de se replier, enfin que c'est le progrès ! Je veux bien, mais comme je ne fais que des trajets autour de chez moi, je n'en avais jamais eu besoin, puisque dès que je vais un peu plus loin, je prends le train.

Mais justement, lors d'un voyage récent, un GPS était fourni, avec les cartes d'Afrique du Sud où j'étais. Cette fois, j'avais compris, contrairement au voyage précédent (*) qu'il fallait le charger avant de partir, sur le port USB de l'ordinateur. Une fois arrivée sur place, j'ai voulu m'en servir, évidemment, la curiosité pour les objets nouveaux... Déjà, je n'ai pas tout compris du premier coup pour le fixer quelque part dans la voiture, mais ce n'est pas grave, il y avait la place de l'installer ailleurs que sur le pare-brise. Et ensuite, j'ai écouté attentivement ce que me disait le monsieur dans l'objet pour me diriger.

Faut comprendre, quand on n'a pas l'habitude, ce que signifie "tenez la droite et tournez à gauche", ou encore sa prononciation à la Jacques Bodoin (**) des mots anglais, Sea Point étant devenu séapoint.... On s'y fait, et on l'écoute : "tournez à droite....." on s'exécute, il ne dit plus rien, alors qu'on circule sur une route déserte et tortueuse au milieu des eucalyptus. A un moment, il se réveille : "dans 400 mètres, tournez à droite". Je ralentis, scrute le bord droit de la route, et..... Rien ! Il s'énerve et recommence : "dans 400 mètres, tournez à droite"... Pas la moindre route à droite, même pas un chemin de terre, alors ? "Faites demi-tour dès que possible".. Ah bon, j'aurais loupé la route ? Je fais demi-tour, et entends : "Dans 400 mètres, tournez à gauche". Il est logique, mais... Toujours pas la moindre route à gauche, juste l'entrée d'une propriété privée dont le portail était d'ailleurs fermé. Et il insiste : "Faites demi-tour dès que possible". Cette fois, ça suffit, je lui coupe le sifflet d'un appui rageur sur le bouton marche-arrêt, et reviens sur mes pas pour regagner la route côtière que je n'aurais jamais du quitter. Oui, on est arrivé exactement où on voulait... Sans lui !

Une autre fois, même si on connaissait le parcours, on lui a demandé de nous y conduire, juste pour voir. Ben, on a vu... Si on l'avait écouté, on faisait 50 kilomètres de plus, en traversant une ville où on ne voulait pas aller !

Je reconnais que mon manque de pratique de cet outil n'a sans doute pas arrangé les choses, que l'Afrique, ce n'est pas l'Europe et que la cartographie n'est sans doute pas aussi précise (***), que peut-être cette marque de GPS n'est pas la plus performante, qu'il ne faut pas juger de l'intérêt sur si peu d'exemples, mais quand même.... Disons que ça ne donne pas envie d'abandonner de sitôt les bonnes vieilles cartes Michelin !



(*) C'était aux États-Unis, mais là, les indications routières sont claires, il n'y a jamais d'ambiguité, et on n'a jamais eu le moindre problème pour aller d'un point à un autre, donc, pas besoin de GPS, seulement de quelques cartes, faciles à trouver.

(**) voir ce vieux sketch qui ne peut parler qu'aux plus de 60 ans 

(***) Il y a 15 ans, en Afrique du Sud, il fallait avoir au moins 3 cartes pour en faire la synthèse. Par exemple, les villages Noirs n'y figuraient pas toujours, et les panneaux indicateurs étaient aléatoires. Maintenant, ce n'est plus le cas, heureusement, ça s'est grandement amélioré. Même que, sans GPS, on ne se perd plus !!

10 nov. 2015

Il était une fois.....



... Un groupe de mémés qui aimaient bien se retrouver sur Facebook pour jouer ensemble. Dès potron minet, elles étaient toutes là, devant leur écran, pour récolter pièces et autres objets dans leurs jeux, pour répondre aux demandes des autres, pour se réjouir de leur progression, pour réclamer des ingrédients qui leur manquaient.

Elles en profitent pour se souhaiter une bonne journée, pour donner des nouvelles des petits enfants, pour montrer ce qu'entre deux parties elles préparaient à manger, ou encore pour poster une photo du ciel prise de leur balcon afin de discuter du temps qu'il fait chez elles.

Elles disent du mal du Gouvernement, Belge, Français ou Québecois, même combat, et se régalent aussi d'engueuler virtuellement les concepteurs de leur jeu préféré parce qu'il y a des bugs ou qu'il ne fait pas ce qu'elles veulent.

Elles rigolent bien ensemble, s'envoient des blagues, échangent des plaisanteries sur leurs maris ou sur leurs chats, ou se refilent des astuces sur les jeux.

Elles n'oublient pas de souhaiter bon courage à celles qui travaillent encore, surtout le lundi matin, parce qu'il y a quand même quelques personnes qui ont moins de 65 ans, et quelques messieurs aussi pas forcément tout neufs non plus !

Certes, ce ne sont pas des geeks, faire une copie d'écran sous Windows ou mettre à jour Adobe Flash Player ne leur semble pas évident, mais il y en a toujours une, plus aguerrie ou plus habituée qui les dépanne. En tous cas, elles se sont approprié ce nouveau moyen de communication avec jubilation !

C'est pas tout ça mais faut que j'y retourne, voir si Marcelle a réussi à encaisser toutes ses boutiques de mode et si Monique a besoin de clous pour sa barque de pêche ! 

5 nov. 2015

Roissy-Charles de Gaulle - Terminal 2E


Il est fort joli et bien vaste le Terminal 2E de Roissy, maintenant qu'il est à nouveau solide, on y circule à l'aise et il y a même, à son extrémité, des fauteuils relax dans lesquels ils faut faire attention à ne pas s'endormir. Mais ceci, c'est quand on part, quand on revient, c'est une autre histoire...

Après une longue nuit passée dans l'avion, alors qu'on est encore un peu abruti, on commence par faire une sacré gymnastique ! Une fois sorti du tube de débarquement, on enfile un interminable couloir, ponctué ça et là de tapis roulant en état de marche (ou pas..) sensés faciliter cette pénible mise en jambes. Puis, au bout du couloir on prend une volée d'escaliers mécaniques, suivis d'un autre couloir, et on arrive sur le quai du train qui fait la navette entre les terminaux, parce qu'il faut aller récupérer les bagages à quelques kilomètres de là. On s'y entasse comme dans le métro aux heures d'affluence, on passe une station, et on s'arrête à l'autre. Là, on descend, encore un couloir, et le hall des tourniquets à bagages est au bas du dernier escalier roulant.

Une fois arrivés à la dernière étape, on cherche son tourniquet, celui qui correspond au vol que l'on vient d'effectuer, et... On attend.... Faut dire que quand un Airbus A 380 arrive, ça fait tout de suite plus de 500 personnes qui débarquent en même temps, sans compter les autres avions, donc, il y a du monde qui se bouscule ! Et là, on regarde les valises qui tournent sur un immense tapis roulant qui serpente tel un manège de fête foraine. Et on attend.... De voir enfin passer son bagage que l'on s'empresse de sortir de là. Ouf ! On peut alors regagner la sortie, pour respirer un peu d'air, retrouver ceux qui vous attendent éventuellement, ou tout simplement pour aller faire un tour aux toilettes !

On réalise alors qu'entre le moment où l'avion a atterri, et celui où on est enfin à l'extérieur de l'aéroport, il s'est écoulé nettement plus d'une heure, entre la sortie de l'appareil, la marche à pieds dans les couloirs, le passage à la douane/immigration/frontière, l'accès aux tourniquets et l'attente de ses bagages. Et ceci dans le meilleur des cas, si on n'était pas tout au fond de l'avion, si la queue devant l'entrée du pays n'était pas trop longue, si les bagages ne sont pas arrivés dans les derniers, parce sinon, ça peut faire nettement plus.

Certes, ce n'est pas typique de Roissy, c'est hélas la même chose dans les grands aéroports internationaux en plus ou moins bien organisé, Heathrow, O'Hare, etc.. Pourrait-on améliorer ? Peut-être en généralisant les tapis roulants pour faciliter la marche dans les si longs couloirs, en ouvrant plus de postes de douane pour le contrôle des passeports, surtout à l'arrivée des gros porteurs ? Mais c'est si compliqué le fonctionnement d'un grand aéroport !


3 nov. 2015

De retour....


... D'un voyage dans l'autre hémisphère, là où en ce moment, le printemps s'avance fermement, tout en bas de l'Afrique, dans un pays qui est toujours aussi attachant et varié. De la si belle ville du Cap, jusqu'à l'immense Johannesburg qui s'étend à perte de vue, en passant par la savane et sa faune, il y a tant de choses à voir, à découvrir, à comprendre, à apprécier, qu'on peut y retourner plusieurs fois sans se lasser.

Certes, il y a une mode de vie différent, une certaine indolence africaine, on y roule à gauche, ce qui ne poserait pas vraiment de problèmes s'il ne fallait en plus faire attention aux vaches qui traversent tranquillement les routes nationales, ou autre bétail paissant au ras du bitume ! Mais on y mange très bien, les vins sont excellents, et les gens très accueillants et serviables, même quand on a du mal à se comprendre.

Malgré les énormes progrès des vingt dernières années, tout est loin d'y être rose. On ne peut pas visiter le musée de l'Apartheid, ou le township d'Alexandra à Johannesburg en restant indifférent, sans parler de la criminalité endémique de certains endroits qu'il vaut mieux éviter.

De toutes façons, il est toujours intéressant de voir ce qui se passe ailleurs, comment les gens vivent, où ils habitent et travaillent, ça permet de relativiser nos rouspétances quotidiennes !