31 mai 2010

Un nouvel enfant

J'ai le plaisir de vous annoncer une naissance : celle de mon nouveau blog, qui fait suite à mon ancien site de lecture.

En effet, ce dernier prenait de l'âge : créé en octobre 1997, il avait été relooké en 2004 pour la dernière fois, et son apparence commençait à dater un peu. De plus, il était entièrement fait à la main, avec mon éditeur de texte favori, en html et css, les différents fichiers étant aussi uploadés manuellement chez Free à chaque mise à jour.

Certes, j'aurais sans doute pu en améliorer la présentation, mais il m'aurait fallu plonger dans les bouquins pour me remettre en mémoire les feuilles de style et autres arcanes de programmation de sites web, et... ça me portait rudement peine, surtout depuis qu'il existe d'autres possibilités plus modernes et fort séduisantes.

Pour des notules de lecture rédigées au fur et à mesure des livres lus, un moteur de blog faisait tout à fait l'affaire, il suffisait que je puisse uploader des images aisément (pour ajouter les scans des premières de couverture), et qu'il y ait moyen de classer en catégories. Comme c'était très basique comme besoin, n'importe quel CMS serait suffisant, alors Blogger ? Oui, mais ce serait plus amusant d'essayer autre chose.. et voilà ce que c'est que de zyeuter ce que font les petits camarades, et d'avoir envie d'en faire autant, donc, ce sera Wordpress. Mais la version en ligne, pas celle où il faut installer des trucs chez un hébergeur, là, ça dépassait mon seuil d'incompétence et je voulais plus m'amuser que me prendre la tête à comprendre comment fonctionnait une base de données et tout ce qui va autour (trois ans sur Mac OS rend informatiquement flemmard).

Quelques clics, et c'était parti ! Un thème simple dont on change l'image d'en-tête, quelques scans et quelques textes pour commencer, ceux que je renâclais à mettre sur l'ancien site, et c'était fait ! Ensuite, on farfouille dans les différents paramétrages pour insérer des liens, des listes déroulantes pour les catégories, des titres plus personnels que ceux fournis par défaut, un favicon, et ça prend tournure. Bon, d'accord, je suis encore loin de tout maîtriser, mais si c'est vaste et complet, ça ne me semble pas insurmontable.

Juste un petit bémol, je sens que très vite, je vais oublier jusqu'aux rudiments d'html/css et autres features, parce que quand on ne pratique plus... mais sans doute était-ce une autre époque !

Ah oui, au fait, j'oublie le principal, le lien pour faire connaissance avec cette nouveauté : voilà voilà, c'est ICI . Tiens, je sais encore écrire une url en html... jusqu'à quand ?

29 mai 2010

Livre, Ipad, Kindle et Cie

Avec l'émergence des liseuses électroniques, et tout le buzz fait autour de l'Ipad, certaines voix s'élèvent pour déplorer la mort, à plus ou moins long terme, du livre papier, est-ce vraiment nouveau ?

En fait, les supports de textes ont bien évolué depuis la tablette d'argile, les rouleaux de parchemins, les moines copistes, les incunables, l'imprimerie, le livre de poche ! Et à chaque révolution, une partie de la société a regretté la mort du système précédent estimant qu'une frange de civilisation venait de s'écrouler.

Il y a soixante ans que je vis au milieu des livres, que je ne peux pas vivre sans livres, qu'il y en a partout autour de moi, que je fréquente les bibliothèques publiques, que je ne peux pas résister en plus à l'achat de bouquins, je sais donc que ça prend beaucoup de place et que tout ça pèse un certain poids. Celui qui est revenu de la Médiathèque Municipale en trimballant plusieurs kilos de livres dans son sac me comprendra !

Justement, l'énorme avantage que je vois aux nouveaux supports de lecture est le nombre d'ouvrages que l'on peut emporter avec soi dans quelques grammes de plastique, comme quand on a avec soi une vingtaine de CD de musique dans son Ipod. Pouvoir partir en vacances avec sa bibliothèque, et emporter avec soi tout ce que l'on souhaite lire sur place sans avoir à coltiner des valises pleines ou payer un surcoût de bagage n'est pas négligeable comme confort, non ?

Et même en dehors de tout déplacement.. j'ai eu grand plaisir à lire récemment un gros bouquin, une compilation de nouvelles de science-fiction tout à fait délectables. Plaisir, certes indéniable, mais cet ouvrage, pourtant simplement broché, pesait un kilo et demi (bien plus que l'eee donc...) et nécessitait les deux mains pour le tenir ouvert sans le casser. Inutile de dire que ce n'est pas un livre à lire dans le métro !

Toutefois, un beau livre, bien imprimé, avec un beau papier (j'ai quelques ouvrages de La Pléiade que je regarde toujours avec amour), ajoute au plaisir de la lecture, le plaisir de les toucher ; pas sûr que le support électronique, même le mieux fait techniquement, puisse procurer les mêmes sensations.

En fait, qu'est-ce qui est le plus important dans tout ça, le fond ou la forme ? Je veux dire la lecture ou le support avec lequel on lit ? Il me semble que c'est la première, non ? Alors si les nouveaux objets permettent à de nouveaux lecteurs de découvrir le plaisir de lire et l'enrichissement que ça procure, ce sera une révolution largement bénéfique ! Les autres, les déjà mordus, pourront justement alterner, en fonction de leur activité ou du type d'ouvrage, ayant ainsi encore plus de possibilités d'apprendre de nouvelles choses ou de s'évader vers d'autres mondes.

28 mai 2010

Quand l'agriculture ressemble à de l'art

Ça donne ce lac bleu au milieu de la verdure, d'une couleur aussi belle qu'inhabituelle ! D'ailleurs, des extra-terrestres ont été intrigués, regardez l'ovni à droite....


Tandis qu'en bordure de champ......

- Le coquelicot : Mais qu'est-ce que je fais là moi ? J'ai encore du me tromper de champ
- Les fleurs de lin : Oh, quelle couleur vulgaire, vraiment, tu dépares notre bel ensemble
- Les pâquerettes : Eh vous autres, vous ne voyez pas qu'on prépare le 14 juillet ?? D'ailleurs, on vous trouve un peu pâles, faudrait améliorer ça, hein ?

26 mai 2010

Twitter c'est vraiment sympa !

Ma courte incursion sur Facebook ne m'avait pas vraiment convaincue de l'utilité de ce truc (en ce qui me concerne, bien sûr), j'avais en plus trouvé ça assez compliqué, et fort intrusif. Par contre, Twitter, c'est très amusant. Déjà, l'interface est toute simple, il n'y a rien à comprendre, tout est évident. Ensuite, il faut choisir les personnes ou organismes que l'on veut suivre, et là, ça dépend des sources d'intérêt de chacun, ça va du grand quotidien pour les nouvelles, à la météo locale, en passant par le site d'endroits que l'on aime, l'éventail est vaste, même si, selon les choix, certains sont en anglais. Pour les particuliers, il vaut mieux faire partie d'un groupe de copains pour que les échanges soient plus personnalisés donc plus intéressants. Bien entendu, on accepte ou non de suivre quelqu'un, et on peut changer d'avis quand on veut, heureusement.

Donc, après avoir soigneusement peaufiné le fond d'écran de sa page d'accueil personnelle, il n'y a plus qu'à attendre.... de voir tomber les messages.

Ça, c'est pour la partie réception, et la cadence de tweets dépend du nombre d'abonnements, et du nombre de messages envoyés par les personnes/organismes que l'on suit. Certains liens envoient vers de belles images, d'autres sont des informations concernant une activité particulière, d'autres enfin peuvent être des messages personnels entre gens qui se connaissent. Personnels mais non privés, les messages privés existent, mais c'est autre chose. Disons que c'est comme sur IRC, on cause en public dans un salon, mais si on a quelque chose de privé à dire à quelqu'un, on peut le faire à-côté.

Pour la partie envoi, on dispose de 140 caractères pour son message, ce qui n'est pas forcément évident pour quelqu'un qui parle un français normal et qui a tendance à la logorrhée... Mais surtout, que dire ? Au début, on ne sait pas, on se contente d'écouter les autres, et puis, petit à petit, ça vient, et on se met aussi à partager des idées, à envoyer des liens (*) vers des sites qui plaisent et à répondre à ceux qui vous parlent.

Voilà comment on rejoint une sorte de réseau où les informations s'échangent des uns vers les autres à toute allure, où les flux s'entrecroisent et rebondissent en direct live, c'est très vivant et fort distrayant.

(*) au passage, si on veut transmettre une url un peu trop longue, alors qu'on ne dispose que de 140 caractères, il y a bien sûr des sites qui permettent de les raccourcir, mais aussi un gadget/widget bien pratique pour le faire directement, par un simple copier/coller. Sur Mac, il porte le joli nom de petits liens, mais ça doit sans doute aussi exister sur PC.

(**) L'image n'a rien à voir avec le sujet de ce billet, c'était juste une variation gimpienne sur quelques fleurs récemment photographiées.

24 mai 2010

Admiration virtuelle et plaisir rare

Loin des paysages vertigineux, des villes que l'on visite dans Google Street, voilà une des richesses de l'art mondial remarquablement présentée (mouvements fluides, interface évidente, etc.. Bravo le Vatican !!). Arrivée là à partir d'un lien externe trouvé sur Wikipédia (comme quoi les liens externes, ce n'est pas toujours le mal absolu...) j'y suis restée un bon moment, d'autant plus que la musique, parfaitement adaptée aux lieux visités, accentue le plaisir de se promener lentement, sans même avoir à se dévisser le cou, au milieu de tous ces chefs d'oeuvre que l'on ne se lasse pas d'admirer... en attendant d'aller les voir en vrai ?

Alors, n'hésitez pas à visiter la Chapelle Sixtine tranquillement, sans touristes.

Et, si vous voulez par ailleurs écouter la musique la plus célèbre qui fut jouée en cet endroit, voilà une interprétation qui n'est pas mal du tout, sinon, en tapant Miserere allegri dans la barre de recherche de Google, on en trouve bien d'autres.

Quel plaisir rare et jubilatoire !

21 mai 2010

A l'attention des gentils commentateurs

J'ai du activer la modération sur ces pages, à cause d'un contributeur de Wikipédia qui, furieux d'avoir été bloqué pour non respect des règles de fonctionnement de l'encyclopédie, s'est répandu en menaces diverses, dont des poursuites judiciaires à mon encontre, sous le couvert de commentaires de différents billets. Donc, si vous ne voyez pas apparaître votre message immédiatement, c'est que je suis obligée de surveiller ce qui est écrit ici avant d'en autoriser la publication. Oui, je sais, c'est triste et donne une image affligeante de l'humanité...

Harcèlement téléphonique

Il ne se passe pas de jours sans qu'au téléphone, une voix à l'accent indéterminé, n'appelle pour dire : « Bonjour madame... (nom écorché), nous sommes partenaires d'EDF (ou nous menons une campagne sur les économies d'énergie, ou similaire) et... » A ce stade, je raccroche en disant à la personne que, quelle que soit sa proposition, elle ne m'intéresse pas. Je m'efforce de ne pas engueuler les pauvres employés du call center dont le boulot n'est pas très gratifiant, mais j'avoue que quand c'est le troisième de la journée, mon ton n'est sans doute pas très aimable !

Ah, les fameux panneaux photovoltaïques que tant d'entreprises tentent de vous faire installer, grâce auxquels on pourra vendre de l'électricité à EDF et ainsi faire à la fois des économies dans ses finances et dans sa consommation d'énergie ! Je n'ai aucune opinion technique sur ce processus, je constate juste que c'est fort inesthique (mais les éoliennes aussi... l'écologie énergétique serait-elle synonyme d'enlaidissement des paysages ?), mais surtout, ce processus de sensibilisation de l'usager et de vente me semble aller totalement à l'encontre de la promotion de ce produit. Pire, ce genre de harcèlement aurait l'effet contraire à savoir un refus immédiat de ce genre d'équipement du à l'overdose de propositions !

L'idée d'installer des panneaux photovoltaïques sur son toit est peut-être une bonne idée (pas chez moi en tous cas !) et les employés externalisés et certainement mal payés des call centers ne méritent pas d'être insultés, mais que ces pratiques commerciales sont pénibles !

18 mai 2010

Les couleurs du printemps


Du bleu, du blanc, du rose, du mauve, tous les vers, du jaune... à chaque heure ça change !

16 mai 2010

Des perles de Mai

La dernière moisson des jolies perles wikipédiennes

Les sols fertils d'Égypte sont très propisse au poussage des cactus bleux.

Ah ! Je connaissais le lotus bleu, mais pas le cactus !

le mont blans est une montagne tres grand et tes beau mais surtout tres blanc

surtout en hiver ?

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Là, il faut lire à haute voix pour comprendre, ce n'est pas du langage sms, c'est... phonétique !

- arépaure a la ou les avion arrive ou parte
- Lacole a jamais ! sa fais debandé

j'ai du lire plusieurs fois cette dernière phrase avant de la comprendre !

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Et là, ce n'est pas une perle issue des contributeurs débutants (en âge et en orthographe), mais c'est tiré d'une conversation sérieuse sur IRC. Tiens j'imagine d'autres débutants (en informatique ceux-là) qui entendraient cette phrase !!

[...] embedder les fonts avec gnuplot lorsqu'on output du pdf

Merci à Daindwarf de sa contribution involontaire.

14 mai 2010

Quand les journalistes sportifs....

... expliquent l'anatomie et la pathologie, ça donne ce monument d'anthologie :

« xxx a pris un coup sur le talon, ou plus exactement sur le nerf qui irradie le talon. Et cela a eu pour effet de lui endormir le talon, au point de ne plus le sentir sous lui. » (*)

Ah le nerf du talon ! Et ce pauvre talon tout irradié !! Ce joueur n'est sans doute pas près d'oublier cette sinistre aventure. Enfin, il va mieux, qu'il a dit son entraîneur, maintenant, faudrait pas qu'il se froisse le nerf du genou !

Peut-être faudrait-il que les rédacteurs de l'Equipe, d'où est tirée cette citation, aient, durant leur formation professionnelle, quelques notions d'anatomie, ce serait moins drôle, mais plus sérieux. Ce n'est pas leur métier ? Ah mais alors, pourquoi qu'ils en causent alors ? Est-ce que je me mêle de raconter comment machin a fait un nanavant dans la surface de réparation, en se cognant avec sa raquette ?

(*) L'Equipe - jeudi 13 mars - page 3

12 mai 2010

En visite chez les voisins

L'action conjuguée de la lune rousse et des saints de glace, qui luttaient avec une belle efficacité contre le réchauffement climatique ont fait qu'il valait mieux mettre la petite laine et ne pas oublier le parapluie, mais, pour visiter le Musée de la dentelle d'Alençon, la basilique, la maison natale de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, Notre-Dame de Montligeon, ou la cathédrale de Sées, on n'avait pas besoin de grand soleil pour découvrir ce coin de France qui ne manque ni de richesses, ni de charme discret.

Ci-joint quelques vitraux de la cathédrale de Sées (évêché en quatre lettres comme le savent tous les cruciverbistes).


6 mai 2010

Le comble du masochisme...

... C'est de se prendre en photo avec la webcam de son ordinateur, et d'utiliser Gimp pour faire disparaître rides, bajoues, tâches et boutons. Et de comparer le résultat de la retouche sur l'écran, avec l'original dans la glace...

Déjà, on comprend mieux que les stars, sur les couvertures des journaux, à âge égal paraîssent "toujours" plus jeunes que nous, il y a tout de même une justice, mais surtout, on se dit que Gimp, eh bien c'est autrement plus efficace que toutes les crêmes anti-âge du monde et les régimes minceur !

Dommage que ce ne soit que virtuel.......

4 mai 2010

Les entrailles d'un instrument


Profitant de la maintenance effectuée sur un instrument qui m'est familier, j'ai jeté un oeil à l'intérieur de la machinerie des grandes orgues, et, c'est impressionnant ! Une forêt de tuyaux, de toutes les tailles, de toutes les formes, certains datant du XVIIIe siècle il paraît, des vis, des lanières de cuir, d'autres tuyaux apportant de l'air aux premiers, des ressorts, des tiges de bois et de fer qui actionnent des objets bizarres, sans parler des mots employés par le technicien, tirasse, nazard, boursette, anches.... on n'a pas idée de tout ce qui s'actionne derrière quand on tire un registre et qu'on appuie sur une touche du clavier ! Pire que de taper un A sur le clavier de son ordinateur ! Plus mécanique en tous cas.


On imagine la complexité d'orgues bien plus grandes, comme celles des cathédrales ou des vastes édifices comme Saint Eustache à Paris qui possède 8000 tuyaux, 5 claviers, un pédalier, 101 jeux....


On imagine aussi tout le passé d'un instrument, qu'il s'agisse de l'orgue de Saint Aubin, ou de ses gigantesques grands frères, toutes les modifications qui y ont été apportées, les changements dans les registres, l'ajout ou le retrait de claviers, l'adjonction de fonctionnalités supplémentaires, les sinistres qui ont du être réparés, et on se sent tout petit quand on utilise un tel outil, et qu'on fait résonner trompettes et prestant à la sortie de l'office du dimanche...

2 mai 2010

Exploration des trucs z'à la mode, suite

Facebook, ce n'est pas drôle, et l'expérience entreprise il y a quelques jours ne pas tellement donné envie de continuer et d'aller plus loin. Cette notion d'amis ne me plaît guère, ou alors, j'ai une autre idée (certainement désuète) de ce qu'est l'amitié. Donc, on va voir ailleurs, direction Twitter. Ah mais c'est que c'est nettement plus amusant ici... un nom, une adresse mail, une page, quelques renseignements non obligatoires, on uploade une image pour se représenter, une autre pour avoir un beau fond d'écran, et voilà !

Bon, mais maintenant, on en fait quoi de ce micro-blogging, de ce journalisme citoyen, pour parler comme les gens qui causent bien ? Eh bien, on suit les autres pour commencer. Quels autres d'ailleurs ? Des gens qu'on connaît, si on en connaît, mais aussi des organismes comme un journal pour les nouvelles, un voyagiste ou un éditeur de livres de voyages, selon ses sources d'intérêt, on pioche dans ce qui est proposé, on tâtonne dans ses choix, on essaye pour voir, c'est aussi simple de s'abonner que de se désabonner, et on attend. Très vite, des informations nouvelles apparaîssent sur sa page, on clique ou pas, selon l'envie, c'est exactement comme un flux RSS rafraîchi en permanence, ou un flot d'infos en continu.

Justement, est-ce indispensable ? Est-ce que ça ne fait pas double emploi avec d'autres outils disponibles ? La consultation de portails de news, ses propres flux, une banale gestion de favoris, la fréquentation de différents salons de discussion où déjà s'échangent pas mal de nouvelles entre gens qui se connaissent (plus ou moins selon la taille du canal) ? Eh bien, ce n'est pas en moins de 24h d'utilisation que j'ai une réponse !!

Et si on twittait ? Oui, mais pour dire quoi ? Pour transmettre un lien intéressant ? Pour dire un truc qui vous passe par la tête ? Dans le premier cas, ça peut le faire, dans le second... pas trop ! Annoncer de grandes nouvelles ? Dans ma campagne, elles sont rares, et puis... entre ce blog, Wikipédia en surveillance et en discussions (voire en création..), les chans IRC, mes propres sites et celui de la commune à maintenir, les blogs des amis que je visite, ne vais-je pas risquer de virer no life ?