30 oct. 2008

Une idée comme ça

Sur nos écrans d'ordinateur, figure toujours sur le bureau une corbeille (poubelle, trash, as you like) dans laquelle on jette les fichiers que l'on veut supprimer, et qui y arrivent avec un joli bruit de papier froissé. La corbeille, de vide qu'elle était, est alors remplie d'une image de bouts de papiers, comme tout le monde le sait.

Oui mais, que vous y mettiez un petit fichier de quelques octets, ou un gros truc de plusieurs mega, l'image est la même, toujours une corbeille remplie de papiers froissés au même niveau de remplissage. Eh bien, ce n'est pas logique. Elle devrait se remplir de plus en plus, en fonction de la quantité de données supprimées, et même aller jusqu'à déborder, comme c'est parfois le cas des vraies poubelles de bureau ! On saurait ainsi si cette poubelle est pleine ou archi-pleine, et s'il convient de la vider ou pas encore.

Ça ne sert à rien ! Ça bouffe des ressources ! Comme s'il n'y avait pas assez de gadgets comme ça de nos jours ! Oui, oui, je suis d'accord, mais ce serait marrant, non ?

28 oct. 2008

Elue !

Voilà, ça a commencé comme ça : pendant l'été, n'ayant plus de documentations intéressantes sur saints et églises, j'ai commencé à regarder le fonctionnement de la maintenance sur Wikipédia. Ma première réaction a été l'ébahissement devant l'ampleur de la tâche, que j'étais bien loin de soupçonner en ma qualité de contributrice sur un seul (ou presque) sujet. J'ai aussi commencé à fréquenter le chan #wikipedia-fr et de lire ce qu'il s'y disait, en y participant assez peu. Puis, vint mon anniversaire, qui m'a donc été souhaité sur ma page de discussion par plusieurs participants de l'encyclopédie, lesquels en ont profité pour me conseiller de poser ma candidature en tant qu'administrateur. Première réaction : surprise, je n'y pensais pas le moins du monde. Seconde réaction : mais c'est totalement impossible, si dans le fond, je pouvais être capable de reconnaître un vandalisme, d'avertir le fautif, et de détecter les articles les plus promotionnels, dans la forme, par contre, je manquais sérieusement de compétences techniques, déjà que pour initier une page à supprimer, ou une autre soupçonnée de violation de copyright, il me fallait autant de temps que d'onglets ouverts pour ne pas me prendre les pieds dans la syntaxe... donc, j'ai remercié et ai réfléchi... longuement... jusqu'à la fin octobre où là, j'ai vu que deux de mes petits camarades de chans se présentaient. Alors, j'ai décidé de les suivre, et de faire la même démarche, en me disant que la maintenance m'en serait facilitée. Encore fallait-il être élue....

Donc, dimanche matin 12 octobre, après avoir rédigé ma profession de foi, et tourné dix fois mes doigts sur le clavier, j'ai lancé la (lourde) procédure de candidature, présentée pour 15 jours à l'appréciation de tout contributeur ayant au moins 50 contributions. Il n'y avait plus qu'à attendre, sachant qu'on peut voter pour, contre, ou encore réticent/neutre (lesquels ne sont comptabilisés qu'en cas de doute... ouais, c'est pas simple..). Et là, seconde surprise, les votes "pour" arrivaient régulièrement chaque jour, de gens que je connaissais, mais aussi de certaines personnes avec lesquelles j'avais eu quelques "mots" à une époque, alors que mes deux jeunes condisciples se récupéraient des questions tordues, et des mentions "contre" ou "attendre"..(*)

La clôture du scrutin était lundi 27. Mais ensuite, il faut attendre la délibération des bureaucrates (c'est leur nom) qui font le comptage des pour et des contre, et discutent entre eux en cas de litige. Je ne me pressais donc pas d'aller aux nouvelles, mes deux collègues, qui avaient postulé avant moi, attendaient leurs résultats depuis deux jours. Et c'est en ouvrant Firefox vers 13h30 que j'ai vu que j'étais élue depuis midi ! Avec 88 voix pour, et 0 voix contre (1 réticence faible, et 3 neutres). Du coup, j'ai passé la plus grande partie de l'après-midi à remercier ceux qui me félicitaient si gentiment !! Mais aussi à imprimer les pages d'aide concernant ces nouvelles fonctions, parce que maintenant, j'ai tout plein de boutons nouveaux dans ma fenêtre d'édition, et faut encore que je sache m'en servir à bon escient.

Bon, alors, en 2008, élection au Conseil Municipal à laquelle je ne m'attendais pas, puis l'élection en tant qu'administrateur sur Wikipédia, qui m'a d'autant plus fait plaisir que je n'y pensais nullement avant, dites, vous voulez VRAIMENT que je postule pour être présidente de la République ? Dommage, il n'y a pas d'élection cette année :-D

(*) Un seul des deux a été élu.

27 oct. 2008

De la dépendance...

Non, pas à la drogue, au tabac ou à l'alcool, ça, ce sont des problèmes graves, stigmatisés et combattus, mais de dépendances bien plus insidieuses parce que quotidiennes.

Ce matin, je voulais tout bêtement faire réchauffer mon café du petit déjeuner quand, dans un schplong de mauvaise augure, le micro-onde a refusé tout service et s'est éteint sans préavis. On accuse la prise de courant, on le rebranche ailleurs, et re-schplong ! Et cette fois, les trois-quarts de la maison n'avaient plus de courant.... On débranche définitivement le fautif, menacé vigoureusement d'une fin de vie imminente à la déchetterie, et on change les fusibles. Au passage, on se dit qu'il aurait pu choisir un autre moment qu'un dimanche matin pour rendre l'âme, parce qu'il faut attendre mardi maintenant pour le remplacer.

Oui mais.. pour faire réchauffer le café ? Ben.. faut reprendre la casserole, surveiller qu'il ne "bouille" pas, laver la casserole ensuite..... et pour décongéler le pain ? Penser à le sortir une heure avant... et pour réchauffer les restes ? Allumer le four électrique (plus long et moins économique en énergie). En un mot, l'absence de micro-onde rend les détails de la vie plus compliqués, et on pourrait se demander comment on faisait... avant ?

Et s'il n'y avait que ça.. sans parler de l'eau courante et de l'électricité que ma génération a toujours connues, vous imaginez vivre sans téléphone et surtout sans Internet ? S'envoyer des lettres par la poste, et les recevoir 8 jours après ? Sortir, quand on le trouve, un vieux bout de papier jamais à jour pour connaître les horaires de train ? Risquer le lumbago pour extirper Universalis du bas de la bibliothèque pour chercher un détail encyclopédique manquant, et j'en passe... Par ailleurs, qui, ayant oublié son téléphone portable alors qu'il circulait en voiture de nuit, ne s'est pas demandé ce qu'il ferait en cas de panne ? Alors qu'il y a quelques années de ça, la question ne se serait même pas posée..

Dépendance, quand je vous dis dépendance...

24 oct. 2008

De l'usage de l'outil informatique

Pour la fabrication du Journal Communal, et en vue de sa mise en page, j'avais demandé que l'on m'envoie les articles au format .doc, .txt, ou .rtf, j'acceptais même le .docx... et qu'ai-je reçu ? Pour plus de la moitié des aimables rédacteurs, des feuilles dactylographiées, arrivées toutes droites de Word ! Avec chacune sa police, son wordart favori, voire ses miniatures de photos... Parce que si on sait se servir d'un traitement de texte, on ne doit pas savoir que celui-ci génère des fichiers, que l'on peut envoyer par mail.

J'ai essayé alors de faire de la pédagogie, expliquant qu'un Journal n'était pas une collection hétéroclite de photocopies agraphées, mais devait répondre à une mise en page réfléchie avec une charte graphique cohérente ; et que ce que je donnais à la reprographie était un fichier .pdf et pas une pile de bouts de papiers... Si certains ont immédiatement saisi ce qu'il fallait faire et se sont empressés de m'envoyer le .doc par retour, d'autres ont eu bien du mal à saisir que scanner une photo sur une page sortie d'une imprimante jet d'encre n'allait pas donner un résultat bien fameux.

D'ailleurs, de quoi est-ce que je me plains ? J'ai réclamé des articles, et on m'en a apporté, ce qui n'est déjà pas si mal.. Bon, faut que j'en resaisisse à la main (je sais, il y a l'OCR), et d'ailleurs, tout le monde sait que... c'est l'ordinateur qui fait le reste... alors, vraiment, ça s'appelle râler pour des broutilles et avoir bien sale caractère !!

20 oct. 2008

Histoires de transports

Dans le billet précédent, je vous parlais de Lyon et de la visite de la ville. Quand on y arrive par le TGV, moyen fort confortable et fort rapide d'aller d'un point à un autre en France (et un peu plus loin aussi), ensuite, en l'absence de voiture, dans une si grande ville, il faut utiliser les transports en commun. Et là, il faut reconnaître que les transports lyonnais sont nombreux et variés. En voici quelques exemples : le tramway, le métro, et le funiculaire, engin indispensable pour escalader la colline de Fourvière quand on n'a plus des jambes de vingt ans. Il y a aussi des trolleys et des autobus, le tout fonctionnant avec le même ticket, quels que soient l'outil emprunté et la distance parcourue, ce qui facilite la vie de l'homme du nord qui arrive ici.

Le funiculaire vers Fourvière

Le métro de la ligne B, à la station Charpennes

Le tramway T1, à la gare Lyon Part Dieu

Par contre, si le TGV emmène ses passagers en moins de deux heures de Paris à Lyon, encore faut-il rejoindre Paris depuis sa lointaine campagne, et là, c'est loin d'être évident : une voiture indispensable pour rejoindre la gare de Vernon, un train pas toujours très exact ni très confortable pour arriver dans la pauvre gare St Lazare (où il est interdit d'avoir faim, soif, ou envie de faire pipi après 21h). Ensuite, le Météor (ligne 14), qui a mis la gare de Lyon à 10 minutes de saint Lazare, ce qui est un vrai progrès, et enfin le TGV, sans oublier les concordances d'horaires qui imposent, selon les heures, de longues attentes, ce qui fait qu'au final, il faut plus de temps pour faire 90 kms, que pour en faire 300 de plus !

En revenant de Lyon

Aller aux Journées du Logiciel Libre, c'est bien et fort intéressant, mais en profiter pour visiter une des plus grandes villes de France, c'est encore mieux. Certes, il faudrait beaucoup plus qu'une journée, mais voici toutefois quelques aspects de cette métropole fort ancienne, où le beau temps, en cette fin d'octobre, était parfaitement au rendez-vous.

Lyon vu depuis N-D de Fourvière

Les quais de la Saône

Les ruines du théâtre romain

La primatiale Saint Jean

Les daims du parc de la Tête d'Or

14 oct. 2008

Il neige sur Anchorage

Et à San Antonio, ils sont tous en bras de chemise en train de se balader devant Fort Alamo ! Voilà une des magies de notre monde technologique, pouvoir aller virtuellement rendre visite aux endroits que l'on aime, quelle que soit la distance qui nous sépare.

Donc, à San Antonio, il fait très beau, comme d'habitude, un peu trop d'ailleurs, j'ai le souvenir d'une température particulièrement élevée en ce lieu, qui obligeait, à intervalles réguliers, à se réfugier dans le premier endroit climatisé rencontré.

Et la première neige est tombée sur le sud de l'Alaska (lequel sud est quand même plutôt au nord).

Je surveille quelques webcams des USA, dont ces deux-là, mais comme dans quelques mois je compte bien retourner à Anchorage, donc, il y en a une que je regarde encore plus souvent... mais on attendra qu'il y ait là-bas 20h de jour et un grand ciel bleu !

12h 11 à Anchorage (Alaska)

15h 14 en ce mardi 14 octobre à San Antonio (Texas)

9 oct. 2008

Les formats de fichier

A l'heure où les fichiers se promènent d'une machine à l'autre sur Internet, et qu'il est si facile de s'envoyer un texte, une photo, voire une musique, bien plus facile que de s'envoyer un bout de papier (ou un fax) qu'il faut ensuite retaper pour l'insérer, par exemple, dans un autre texte, il y a encore bien du chemin à parcourir pour que ces transmissions soient aisées pour tous.

En effet, on constate que celui qui utilise un système d'exploitation donné, et un logiciel particulier, a tendance à penser que tout le monde fait pareil (il existe autre chose ? Ah bon.. vous croyez ?), et envoie à ses relations amicales ou professionnelles des fichiers illisibles pour celui qui les reçoit.

Qui n'a jamais reçu un .docx venant d'un nouveau Windowsien sous Vista qui vient d'acheter son ordinateur et a acquis en même temps (non non, je n'ai pas dit piraté ou installé par le petit-fils...) la toute nouvelle version de la suite Office ? Et qui, bien sûr, n'a pas pu le lire, s'il en était encore à la version précédente, à savoir Office 2003. Qui n'a jamais reçu une image dans le format propriétaire de l'application qui l'a généré, donc, illisible par toute autre ?

Dans ce cas, on rouspète, et on redemande aux gens un format plus... portable ! Souvent hélas à la grande stupefaction de l'émetteur qui ne comprend pas pourquoi lui, il peut le lire, et pas vous, et qui, hélas encore, ne sait pas forcément enregistrer son document dans un autre format.

Par exemple, j'ai reçu ce matin un fichier .mdi.. déjà, j'ignorais totalement l'existence de ce format. Après recherches, j'ai compris que ça provenait de Publisher, mais que c'était à Publisher, en gros, ce qu'un .pps était à PowerPoint, un format visualisable, mais non éditable, et que pour le visualiser, il fallait télécharger une sorte de visionneuse qui ne fait pas partie de la suite Office d'origine, et qui, a fortiori, ne fonctionne que sous Windows. Donc, exit les MacUsers et les Linuxiens, mais exit aussi ceux qui ont Windows ET Publisher (les .mdi ne peuvent pas être ouverts directement par cette application, oui, j'ai essayé..). En admettant qu'on puisse "voir" ce fichier, il sera de toutes façons impossible de l'insérer dans une autre application, donc, inutilisable en travail collaboratif.

Voilà une des premières choses que devraient apprendre les débutants en informatique, ce qu'est un format de fichier, avec quelle application on lit les dits fichiers, et réaliser que si on veut transmettre quelque chose, il faut d'abord s'assurer que le "receveur" pourra le lire.

Vive les formats standards, .jpg, .txt, .rtf, générés et lus par tout logiciel sous tout OS, et bravo aux logiciels libres comme Open Office, qui lit parfaitement les .docx (ce qui n'est pas le cas de Word 2003), et Gimp, qui accepte les .psd de PhotoShop, alors que ce dernier méprise les .xcf de Gimp !

8 oct. 2008

Sont-y pas belles mes pommes ?

Je vous aurais bien offert aussi des noisettes, mais ce sont les écureuils du jardin qui s'en occupent ! Quant aux pommes, ce sont plutôt les loirs et les lérots qui en font leurs délices. Faut dire que la wildlife fait ce qu'elle veut dans mon jardin, entre la chouette qui trouve qu'elle est fort bien installée sous l'avancée du toit et que ses crottes font un bel ornement sur l'appui de fenêtre, sans parler des Kuwiiit violents qu'elle pousse en pleine nuit quand elle chasse.. les piverts qui s'indignent que je fasse du bruit en osant ouvrir une fenêtre alors qu'ils sont bien tranquillement en train de picorer les fourmis dans l'herbe, et les lapins qui s'installent sur la terrasse pour brouter, il y a toute une vie animale alentour ! Enfin, tant que ce ne sont pas des vaches....

5 oct. 2008

Brrrrrrrr

Mais c'est quoi c'temps ma bonne dame ? Plus on nous parle de réchauffement climatique, plus il fait froid dans nos latitudes dites tempérées. Il y a quelques jours, un matin, vers 8h, il faisait 3° au thermomètre devant ma porte. Et aujourd'hui, tous les éléments s'étaient déchaînés : tempête de vent permanente, crachin ou averses de pluie glaciale, et températures dignes de Chicago au mois d'avril !

La Foire à Tout d'Houlbec en a souffert, un tiers seulement des exposants habituels s'était dérangé, et sur le peu qu'il restait, beaucoup remballaient à midi, vaincus par les intempéries. Les visiteurs ne s'attardaient pas non plus, de toutes façons, quand la marchandise est protégée par des polyanes opaques, il est difficile de chiner. Quant aux organisateurs des saucisses-frites-buvette, ils se réchauffaient les doigts au-dessus des braséros, estimant que, pour une fois, c'étaient eux qui avaient la meilleure place !

Faut remettre en marche les chauffages, allumer les lumières de bonne heure tant le ciel est sombre, sortir les charentaises et les pulls, vérifier la solidité des baleines des parapluies. Oui, mais on est en Normandie, au sud de la Loire, ça doit aller mieux... que nenni ! C'est à peine moins pire, quelques averses en moins, quelques degrés en plus, un ciel voilé au lieu d'un ciel lourdement nuageux, mais globalement, ce n'est pas si différent que ça. D'ailleurs, vous avez vu le site de Météo France ? Ça fait comme des gouttes d'eau sur l'écran... zut alors, si ça passe même par le modem, où s'qu'on va !!

1 oct. 2008

Panique aux USA !

Hier, dans l'après-midi, panique générale de la communauté des wikipédiens, plus rien ne fonctionnait sur le site de l'encyclopédie, pas moyen d'accéder à une page, plus de liste de suivi, enfin, la panne complète quoi... Désarroi des contributeurs et des consulteurs, les premiers réduits au chômage technique, les second devant chercher ailleurs ce qu'ils ont l'habitude de trouver très rapidement sur les pages.

Sur le chan irc #wikipedia-fr, ce fut l'affluence : si d'habitude, il y a entre 60 et 70 personnes connectées simultanément, là, on voyait arriver du monde sans arrêt, le salon se retrouvant bondé avec pas loin de 100 personnes ensemble, toutes demandant des nouvelles, s'inquiétant de savoir si ça venait d'eux ou d'ailleurs. En fait, toutes les tentatives d'accès aux pages ramenaient vers une page de en:wikipedia, avec mention d'une erreur.

L'un d'entre eux, plus compétent que les autres, a pu avoir accès à des explications techniques qu'il a données ensuite à la communauté. En fait, c'était une erreur humaine... je cite Darkoneko qui a fourni les explications :
" les projets Wikimedia utilisent un système spécifique afin de rediriger tout le trafic arrivant sur des adresses secondaires vers le bon serveur ( wikipedia.com vers wikipedia.org), mais aussi les liens de type interwiki ou interprojets [...] il y a quelques heures, l’un des dev s’est planté en faisant une maintenance sur la configuration du système de redirections...".

Deux heures après, les choses sont petit à petit rentrées dans l'ordre, mais l'accès est resté sérieusement ralenti un certain temps, étant donné qu'il a fallu vider le système de cache et surtout attendre qu'il se remplisse, pour que les proxys puissent à nouveau jouer leur rôle de tampon accélérateur (ouais, ce n'est pas très technique comme vocabulaire ça...).

Le soir, tout allait bien de nouveau, ce n'était pas une bombe terroriste, ni les effets pervers d'un trou noir, d'un ouragan en Floride, ni les conséquences de la crise financière aux USA, ce n'était qu'un vulgaire problème d'interface chaise-clavier comme on en connaît tous, sauf que là, ce fut l'émotion générale... quelle addiction tout de même !