D'après un article paru dans Le Figaro le 23 mai, monsieur Obama veut améliorer l'accueil des touristes étrangers qui débarquent aux États-Unis. Eh bien, tant mieux, parce que c'est effectivement pénible quand on a de nombreuses heures de vol dans les pattes, de devoir rester debout, pour faire la queue dans un endroit qui manque d'air, alors qu'on a tant envie d'aller respirer dehors ! Passe encore d'attendre, mais une fois devant le fonctionnaire, on se demande toujours si notre tête lui reviendra ou pas.... Donc, monsieur le Président "souhaite réduire le temps d'attente aux contrôles des passeports à l'arrivée : «Je veux que des 70 millions de touristes venus l'année dernière, nous passions à 100 millions chaque année d'ici au début de la prochaine décennie», a-t-il lancé, jeudi, lors d'un déplacement dans un célèbre lieu du tourisme, le Temple de la renommée («Hall of fame») du baseball, à Cooperstown, dans l'État de New York"
Déjà, quelques procédures ont été mises en place pour minimiser les temps d'attente sans diminuer la sécurité, et monsieur Obama était satisfait des premiers résultats obtenus : « Si les gens passent moins de temps dans les aéroports, ils reviendront plus volontiers. Et chez eux, ils diront à leurs amis que les États-Unis les ont bien reçus » a-t-il dit. C'est vrai que cet accueil froid et souvent inquiétant, quand il ne semble pas franchement hostile, donne une étrange image d'un pays qui n'est pas du tout comme ça dès qu'on a franchi les guichets de la police des frontières ; une image totalement fausse tant l'accueil des habitants, des hôteliers, des rangers des parcs nationaux, des commerçants est au contraire chaleureux et sympathique.
Dès janvier 2012, Barack Obama avait fixé l'objectif de faire des États-Unis la première destination touristique mondiale, une place détenue par la France.... Tiens d'ailleurs, comment, à Roissy par exemple, reçoit-on les touristes étrangers aux postes frontière de l'aéroport ? Strictement aucune idée, et pour cause ! Déjà qu'arriver dans cet univers kafkaïen et mal foutu qu'est Roissy est une rude épreuve, même pour des français, si en plus on stresse les touristes pas plutôt descendus d'avion, ce serait un comble !
On va voir si le président des États-Unis a été écouté, et comment, dans quelques heures maintenant, on sera reçu à l'entrée dans ce pays où l'on a toujours tant de plaisir à aller !
Déjà, quelques procédures ont été mises en place pour minimiser les temps d'attente sans diminuer la sécurité, et monsieur Obama était satisfait des premiers résultats obtenus : « Si les gens passent moins de temps dans les aéroports, ils reviendront plus volontiers. Et chez eux, ils diront à leurs amis que les États-Unis les ont bien reçus » a-t-il dit. C'est vrai que cet accueil froid et souvent inquiétant, quand il ne semble pas franchement hostile, donne une étrange image d'un pays qui n'est pas du tout comme ça dès qu'on a franchi les guichets de la police des frontières ; une image totalement fausse tant l'accueil des habitants, des hôteliers, des rangers des parcs nationaux, des commerçants est au contraire chaleureux et sympathique.
Dès janvier 2012, Barack Obama avait fixé l'objectif de faire des États-Unis la première destination touristique mondiale, une place détenue par la France.... Tiens d'ailleurs, comment, à Roissy par exemple, reçoit-on les touristes étrangers aux postes frontière de l'aéroport ? Strictement aucune idée, et pour cause ! Déjà qu'arriver dans cet univers kafkaïen et mal foutu qu'est Roissy est une rude épreuve, même pour des français, si en plus on stresse les touristes pas plutôt descendus d'avion, ce serait un comble !
On va voir si le président des États-Unis a été écouté, et comment, dans quelques heures maintenant, on sera reçu à l'entrée dans ce pays où l'on a toujours tant de plaisir à aller !