Les grands quotidiens nationaux proposent souvent à leurs lecteurs des collections d'ouvrages sur différents sujets. C'est le cas en ce moment du Figaro, qui offre une collection de 40 volumes reliés et fort bien présentés, traitant des grandes figures de la spiritualité chrétienne, de saint Thomas d'Aquin à mère Teresa en passant par saint Jean Chrysostome ou sainte Thérèse d'Avila.
Ces livres paraissent le jeudi et on les trouve chez le marchand de journaux local. On les trouvait, devrais-je dire, parce que ce n'est plus le cas maintenant. Jusqu'au 15ème volume, les livraisons étaient aléatoires, il fallait attendre un jour ou deux de plus, on finissait toutefois par les avoir. Mais là, la Maison de la Presse n'en reçoit plus du tout. Que faire pour terminer cette passionnante collection ? Les commander sur Internet par exemple ?
Oui, mais pas si simple... Parce que quand on arrive sur le Figarostore, et qu'on remplit le formulaire de commande, on récupère un message d'erreur sybillin, où je n'ai compris que "already exist". Ah bon, j'ai déjà un compte sur ce site moi ? Je téléphone au service client. Le monsieur fait des recherches et m'indique qu'effectivement, il y a déjà un compte avec l'adresse mail de mon mari, suite à un ancien abonnement à une revue rachetée depuis par le Figaro. Je passe donc ma commande au téléphone et comprends comment il faudra que je procède la semaine prochaine pour la suivante.
Plusieurs remarques :
Déjà, pourquoi ne puis-je pas me créer un compte personnel, un nouveau compte ? C'est ce que j'avais tenté de faire sans succès, mais avec la même adresse postale, évidemment. Mystère de la gestion de leur base de données.
Sachant qu'il est facile de trouver ce livre à la gare St Lazare par exemple, ou ailleurs à Paris, pourquoi n'est-il plus distribué dans ma province ? On nous rebat les oreilles avec le maintien du commerce de proximité pour dynamiser les centres des bourgs et éviter la fuite vers les grandes surfaces, encore faudrait-il les traiter comme ceux des villes, sinon, c'est de l'hypocrisie pure et simple. Parce que s'il faut faire 30 kms en voiture, si pas plus, pour aller récupérer un bouquin, ce n'est pas écologique, n'est-ce pas messieurs, vous qui prêchez la consommation locale ? Mais c'est vrai que ces gens-là n'habitent pas la campagne !
Je ne suis pas prête à recommencer une collection semblable, c'est trop le jeu de piste pour la suivre sur 40 volumes, et pourtant, celle-ci est de grande qualité, tant dans le fond que dans la forme, ce qui justifie les efforts déployés, même si on les déplore....
Ces livres paraissent le jeudi et on les trouve chez le marchand de journaux local. On les trouvait, devrais-je dire, parce que ce n'est plus le cas maintenant. Jusqu'au 15ème volume, les livraisons étaient aléatoires, il fallait attendre un jour ou deux de plus, on finissait toutefois par les avoir. Mais là, la Maison de la Presse n'en reçoit plus du tout. Que faire pour terminer cette passionnante collection ? Les commander sur Internet par exemple ?
Oui, mais pas si simple... Parce que quand on arrive sur le Figarostore, et qu'on remplit le formulaire de commande, on récupère un message d'erreur sybillin, où je n'ai compris que "already exist". Ah bon, j'ai déjà un compte sur ce site moi ? Je téléphone au service client. Le monsieur fait des recherches et m'indique qu'effectivement, il y a déjà un compte avec l'adresse mail de mon mari, suite à un ancien abonnement à une revue rachetée depuis par le Figaro. Je passe donc ma commande au téléphone et comprends comment il faudra que je procède la semaine prochaine pour la suivante.
Plusieurs remarques :
Déjà, pourquoi ne puis-je pas me créer un compte personnel, un nouveau compte ? C'est ce que j'avais tenté de faire sans succès, mais avec la même adresse postale, évidemment. Mystère de la gestion de leur base de données.
Sachant qu'il est facile de trouver ce livre à la gare St Lazare par exemple, ou ailleurs à Paris, pourquoi n'est-il plus distribué dans ma province ? On nous rebat les oreilles avec le maintien du commerce de proximité pour dynamiser les centres des bourgs et éviter la fuite vers les grandes surfaces, encore faudrait-il les traiter comme ceux des villes, sinon, c'est de l'hypocrisie pure et simple. Parce que s'il faut faire 30 kms en voiture, si pas plus, pour aller récupérer un bouquin, ce n'est pas écologique, n'est-ce pas messieurs, vous qui prêchez la consommation locale ? Mais c'est vrai que ces gens-là n'habitent pas la campagne !
Je ne suis pas prête à recommencer une collection semblable, c'est trop le jeu de piste pour la suivre sur 40 volumes, et pourtant, celle-ci est de grande qualité, tant dans le fond que dans la forme, ce qui justifie les efforts déployés, même si on les déplore....
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