Quand on atteint un certain âge, on se dit qu'on a fait le plus gros, et que ce qui reste à faire n'est pas forcément le plus agréable ! On se dit aussi qu'il va falloir songer à regagner les lieux civilisés parce que pour vivre à la campagne, il faut conduire sa voiture, et qu'il arrivera un moment où ça risque d'être impossible.
Mais quand on vit dans la même maison depuis cinquante ans, on a accumulé beaucoup de choses dont il va falloir se défaire. Déjà, voir ce qui a de la valeur ou pas, mais la valeur peut être plus sentimentale que monétaire : la pendule comtoise de la grand mère, le piano, des choses bien encombrantes dont on n'est pas sûr du tout qu'elles intéresseront les héritiers. Toute une série d'objets divers rapportés du monde entier, ou chinés dans des brocantes, qu'on a l'habitude de voir toujours à la même place, des collections de plus ou moins grande valeur amoureusement enrichies, et j'en passe.
Tiens, imaginons qu'il faille partir en n'emportant qu'une seule valise, qu'y mettre dedans ? Pas les centaines de livres qui se disputent les étagères, c'est trop lourd ; pas les vêtements qui encombrent les armoires, ça se renouvelle facilement ; pas la vaisselle ou le linge de maison, surtout si on n'a plus personne à recevoir ; des objets, des bibelots que l'on aime bien ou qui rappellent des souvenirs ? Oui, certainement, quelques uns, mais le tri sera difficile... Quoi encore ? La valise n'est pas pleine ! Les récits de voyages et les albums photo qui vont avec, ça, c'est sûr, même si... Non è nessun maggior dolor che ricordarsi del tempo passato nella miseria...
Enfin, il y a quand même un objet dont il est totalement impossible de se passer, où que l'on soit, c'est l'ordinateur ! Le compagnon de tous les instants, l'ami fidèle qui répond toujours présent (oui, sauf en cas de coupure de courant, of course), celui avec lequel on visite le monde entier, on discute avec de lointains amis, on joue, on écrit, on se cultive, on observe tout ce qui se passe sur la Terre, et même sur Mars pour peu que l'on soit abonné aux tweets de la Nasa.
Donc, on peut se détacher relativement facilement de certains biens matériels, sauf d'un seul !
Mais quand on vit dans la même maison depuis cinquante ans, on a accumulé beaucoup de choses dont il va falloir se défaire. Déjà, voir ce qui a de la valeur ou pas, mais la valeur peut être plus sentimentale que monétaire : la pendule comtoise de la grand mère, le piano, des choses bien encombrantes dont on n'est pas sûr du tout qu'elles intéresseront les héritiers. Toute une série d'objets divers rapportés du monde entier, ou chinés dans des brocantes, qu'on a l'habitude de voir toujours à la même place, des collections de plus ou moins grande valeur amoureusement enrichies, et j'en passe.
Tiens, imaginons qu'il faille partir en n'emportant qu'une seule valise, qu'y mettre dedans ? Pas les centaines de livres qui se disputent les étagères, c'est trop lourd ; pas les vêtements qui encombrent les armoires, ça se renouvelle facilement ; pas la vaisselle ou le linge de maison, surtout si on n'a plus personne à recevoir ; des objets, des bibelots que l'on aime bien ou qui rappellent des souvenirs ? Oui, certainement, quelques uns, mais le tri sera difficile... Quoi encore ? La valise n'est pas pleine ! Les récits de voyages et les albums photo qui vont avec, ça, c'est sûr, même si... Non è nessun maggior dolor che ricordarsi del tempo passato nella miseria...
Enfin, il y a quand même un objet dont il est totalement impossible de se passer, où que l'on soit, c'est l'ordinateur ! Le compagnon de tous les instants, l'ami fidèle qui répond toujours présent (oui, sauf en cas de coupure de courant, of course), celui avec lequel on visite le monde entier, on discute avec de lointains amis, on joue, on écrit, on se cultive, on observe tout ce qui se passe sur la Terre, et même sur Mars pour peu que l'on soit abonné aux tweets de la Nasa.
Donc, on peut se détacher relativement facilement de certains biens matériels, sauf d'un seul !
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