Il paraît que dans les chambres d'hôtel, tout se vole, y compris un matelas ! Là, je me demande comment ils ont fait, parce que déménager un matelas, et le caser dans sa voiture, n'est ni aisé ni discret. Donc, les serviettes, peignoirs, coussins, cosmétiques, jusqu'aux cafetières et autres téléviseurs, disparaissent dans les bagages des voyageurs indélicats.
Un quart des français reconnaissent avoir "volé" un savon ou un stylo. J'en fais partie, mais ces objets sont "volables" parce que faisant partie des produits d'accueil, ils sont considérés par l'hôtelier comme non durables, et non réutilisables. J'avoue humblement avoir ainsi récupéré quelques petits savons en souvenir.... Et n'ai pas eu l'impression de faire du tort à l'établissement. Mais qui sait ? Les hôtels Ibis ont du être victimes de voleurs dans mon genre pour mettre, non pas des savons emballés sur le lavabo et dans la douche, mais des distributeurs de savon. Et j'ai le souvenir d'un hôtel à Buenos Aires, tenu par des français d'ailleurs, qui octroyait un seul petit savon par chambre, qui devait servir pour les mains, et les pieds de deux personnes. Je le leur avais fait remarquer, en leur disant que c'était mesquin (c'est quand même plus facile d'argumenter en français...), ils m'avaient répondu que les gens les emportaient s'ils en mettaient plus... Quand même, quelques centimes de plus sur le prix de la chambre aurait été plus élégant !
Certains Best Western mettent pantoufles et peignoirs à disposition. Je n'en ai jamais emporté, les peignoirs étaient bien trop lourds, et c'est réutilisable, mais les pantoufles ? On doit pouvoir les laver et les réemballer sans doute... De toutes façons, pour que ça aille à tout le monde, c'est toujours en grandes tailles. En fait, si vraiment on veut rapporter chez soi le lourd peignoir en coton blanc, pour peu qu'il porte la griffe d'un hôtel de prestige, il est plus honnête de l'acheter à la boutique que de le voler.
Un autre souvenir fort lointain, à l'époque où on pouvait fumer dans un restaurant, le Train Bleu, à la gare de Lyon, avait de ravissants cendriers avec un petit train bleu dessiné. Comme ils nous plaisaient, on a demandé si on pouvait en acheter un. Le serveur a été interloqué, a demandé à son supérieur, et est revenu en nous disant que nous n'avions qu'à l'emporter, qu'ils nous l'offraient avec plaisir, tant de gens les prennent sans rien demander, eux...
Allez, promis, dorénavant, à l'hôtel, je ne piquerai plus les petits savons ! Même si, ça peut constituer une collection que l'on peut négocier sur e-bay !
Un quart des français reconnaissent avoir "volé" un savon ou un stylo. J'en fais partie, mais ces objets sont "volables" parce que faisant partie des produits d'accueil, ils sont considérés par l'hôtelier comme non durables, et non réutilisables. J'avoue humblement avoir ainsi récupéré quelques petits savons en souvenir.... Et n'ai pas eu l'impression de faire du tort à l'établissement. Mais qui sait ? Les hôtels Ibis ont du être victimes de voleurs dans mon genre pour mettre, non pas des savons emballés sur le lavabo et dans la douche, mais des distributeurs de savon. Et j'ai le souvenir d'un hôtel à Buenos Aires, tenu par des français d'ailleurs, qui octroyait un seul petit savon par chambre, qui devait servir pour les mains, et les pieds de deux personnes. Je le leur avais fait remarquer, en leur disant que c'était mesquin (c'est quand même plus facile d'argumenter en français...), ils m'avaient répondu que les gens les emportaient s'ils en mettaient plus... Quand même, quelques centimes de plus sur le prix de la chambre aurait été plus élégant !
Certains Best Western mettent pantoufles et peignoirs à disposition. Je n'en ai jamais emporté, les peignoirs étaient bien trop lourds, et c'est réutilisable, mais les pantoufles ? On doit pouvoir les laver et les réemballer sans doute... De toutes façons, pour que ça aille à tout le monde, c'est toujours en grandes tailles. En fait, si vraiment on veut rapporter chez soi le lourd peignoir en coton blanc, pour peu qu'il porte la griffe d'un hôtel de prestige, il est plus honnête de l'acheter à la boutique que de le voler.
Un autre souvenir fort lointain, à l'époque où on pouvait fumer dans un restaurant, le Train Bleu, à la gare de Lyon, avait de ravissants cendriers avec un petit train bleu dessiné. Comme ils nous plaisaient, on a demandé si on pouvait en acheter un. Le serveur a été interloqué, a demandé à son supérieur, et est revenu en nous disant que nous n'avions qu'à l'emporter, qu'ils nous l'offraient avec plaisir, tant de gens les prennent sans rien demander, eux...
Allez, promis, dorénavant, à l'hôtel, je ne piquerai plus les petits savons ! Même si, ça peut constituer une collection que l'on peut négocier sur e-bay !
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