Qui a encore un porte-monnaie avec des pièces d'un côté et des billets de l'autre ? Parce que maintenant, on paye sa baguette de pain en déposant sa carte bancaire sur l'appareil, un bip et c'est réglé ; on fait ses provisions au supermarché, en payant évidemment avec sa carte : chez le boucher, c'est pareil, d'autant plus que la carte de fidélité se fie au numéro de carte bancaire utilisé. Ne parlons pas des achats plus conséquents, chaussures, vêtements, et autres, on ne sort plus le moindre billet de sa poche, sans doute parce qu'il en faudrait trop ! Il n'est pas jusqu'à la quête à la Messe le dimanche où l'on peut remettre son obole via une application sur le smartphone...
Avantage, plus d'argent à aller chercher au distributeur, plus de monnaie à compter, paiements plus rapides et sans erreur. Mais un gros inconvénient tout de même, on perd la notion de dépense quand on ne voit plus se vider petit à petit le porte-monnaie, on manipule de l'argent virtuel en quelque sorte, et si l'on n'épluche pas son relevé de compte bancaire, on a plus de mal à savoir où on en est.
Mais c'est le progrès, et le commerçant qui refuse la carte bancaire (oui, il y en a encore, ou qui indique un montant minimum trop élevé), risque de voir fuir ses clients vers la concurrence. On a vu ainsi le chèque agoniser, n'étant plus utilisé que pour les envois postaux, même si de plus en plus, pour les règlements par courrier il est proposé un prélèvement sur carte bancaire.
Verra-t-on un jour disparaître les pièces et les billets, remplacés par des applications sur smartphone et des cartes bancaires ? Encore ne faudra-t-il pas perdre cette dernière (un petit rectangle de plastique c'est vite égaré), ni oublier de recharger son mobile !
Avantage, plus d'argent à aller chercher au distributeur, plus de monnaie à compter, paiements plus rapides et sans erreur. Mais un gros inconvénient tout de même, on perd la notion de dépense quand on ne voit plus se vider petit à petit le porte-monnaie, on manipule de l'argent virtuel en quelque sorte, et si l'on n'épluche pas son relevé de compte bancaire, on a plus de mal à savoir où on en est.
Mais c'est le progrès, et le commerçant qui refuse la carte bancaire (oui, il y en a encore, ou qui indique un montant minimum trop élevé), risque de voir fuir ses clients vers la concurrence. On a vu ainsi le chèque agoniser, n'étant plus utilisé que pour les envois postaux, même si de plus en plus, pour les règlements par courrier il est proposé un prélèvement sur carte bancaire.
Verra-t-on un jour disparaître les pièces et les billets, remplacés par des applications sur smartphone et des cartes bancaires ? Encore ne faudra-t-il pas perdre cette dernière (un petit rectangle de plastique c'est vite égaré), ni oublier de recharger son mobile !
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