Quand on voyage hors de France, on admire les nouveaux paysages, on fait des découvertes, on visite des lieux inhabituels, on se régale de voir des musées inconnus, on fait des études approfondies sur les deux endroits que je ne manque jamais dans une ville étrangère, à savoir le métro et l'aquarium... On goûte aussi à des nourritures inconnues mais... Il manque et manquera toujours quelque chose, le saucisson !
Allez donc trouver de la bonne charcuterie en Amérique du Nord, ou pire, dans le Mahgreb, ou le porc n'est pas consommé ! Quand on pense que ces millions de gens peuvent vivre et s'alimenter sans connaître le goût d'une bonne saucisse d'Auvergne bien sèche, ou celui de la Rosette de Lyon ! Comment font-ils ?
D'accord, les petits déjeuners sud-africains, pantagruéliques, sont remarquables, les huîtres de Colombie-Britannique aussi, ainsi que les fish and chips et l'halibut d'Alaska, mais le saucisson, ça c'est quelque chose qu'ils ne connaissent pas, quel dommage pour eux !
Le pain que font les femmes berbères, les french toasts (que les canadiens appellent du pain doré, et nous du pain perdu) baignant dans le sirop d'érable, la cuisine malaise du Cap, le prosciuto italien, tout ça, c'est pas mal du tout, mais à côté d'un bon saucisson sec....
Du pain correct, on peut en trouver (encore que...), du bon vin, encore plus facilement, du bon fromage aussi (ah le Gorgonzola...) mais.... Du saucisson ?
Donc, ou on reste dans l'hexagone, ou on emporte sa provision ?
Allez donc trouver de la bonne charcuterie en Amérique du Nord, ou pire, dans le Mahgreb, ou le porc n'est pas consommé ! Quand on pense que ces millions de gens peuvent vivre et s'alimenter sans connaître le goût d'une bonne saucisse d'Auvergne bien sèche, ou celui de la Rosette de Lyon ! Comment font-ils ?
D'accord, les petits déjeuners sud-africains, pantagruéliques, sont remarquables, les huîtres de Colombie-Britannique aussi, ainsi que les fish and chips et l'halibut d'Alaska, mais le saucisson, ça c'est quelque chose qu'ils ne connaissent pas, quel dommage pour eux !
Le pain que font les femmes berbères, les french toasts (que les canadiens appellent du pain doré, et nous du pain perdu) baignant dans le sirop d'érable, la cuisine malaise du Cap, le prosciuto italien, tout ça, c'est pas mal du tout, mais à côté d'un bon saucisson sec....
Du pain correct, on peut en trouver (encore que...), du bon vin, encore plus facilement, du bon fromage aussi (ah le Gorgonzola...) mais.... Du saucisson ?
Donc, ou on reste dans l'hexagone, ou on emporte sa provision ?
1 commentaire:
Bah, il faut emporter ses provisions.
Lors de mon périple en Autriche et à Budapest, j'avais la réserve de camembert, chèvre, cidre et autres douceurs au frais dans la glacière :-D
Au saucisson sec, j'ajouterai l'andouille de Vire ou bien de Guéméné.
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