Un chan (ou canal, ou salon de discussion) est un espace virtuel dans lequel se retrouvent des gens qui discutent d'un sujet commun. Il y en a de multiples, sur de nombreux sujets différents, qui dépendent aussi de protocoles variés, IRC, hangout, etc..
C'est un peu comme une salle de bistrot où des copains se réunissent devant une bière ou un café pour refaire le match, commenter l'actualité, ou papoter de tout et de rien, sauf que la bière (ou la tasse de thé) est hélas virtuelle elle aussi !
On se salue ou on s'embrasse, on discute, on s'engueule ou on se taquine, on rigole, on se fâche, certains y passent de longues heures, d'autres ne font qu'entrer et sortir, d'autres enfin sont là mais se taisent ou roupillent.
Comme il s'agit de conversations par écrit, les smileys remplacent les intonations pour indiquer que l'on plaisante ou que l'on est mécontent, il y a même un vocabulaire spécifique connu des habitués, comme tout groupe humain dans la vraie vie !
Mais tout comme dans la vraie vie les choses évoluent avec le temps. Les fervents discutailleurs ont d'autres sources d'intérêt, s'amusent autrement, des nouveaux arrivent, restent ou pas, la fréquentation varie, et il arrive parfois que le groupe de dissolve petit à petit, laissant le salon vide, avec deux ou trois présents muets, le chan agonise et ne tardera pas à mourir si personne ne vient le réveiller.
Et c'est ainsi que les chans meurent, quand le sujet n'intéresse plus, quand les meilleurs copains n'y viennent plus, quand on a autre chose à faire. C'est exactement comme quand le café où l'on se réunissait ferme et que tout le monde est dispersé.
Il faut même faire des efforts pour se souvenir du pseudo d'untel, qui était si marrant, d'une telle qui émaillait ses messages de fautes d'orthographe, de celui là qui énervait, de celle-là qu'on aimerait bien "revoir".
Depuis tant d'années que je pratique IRC, j'en ai connu des chans qui étaient animés, pléthoriques, remuants, et qui petit à petit, à cause du départ des plus actifs, et du désintérêt des autres, se sont assoupis au point de devenir des chans fantômes, à l'instar des villes éponymes ! Non, je ne donnerai pas de noms.... Mais, comme une page qui se tourne, ça reste quelque part un peu triste.
C'est un peu comme une salle de bistrot où des copains se réunissent devant une bière ou un café pour refaire le match, commenter l'actualité, ou papoter de tout et de rien, sauf que la bière (ou la tasse de thé) est hélas virtuelle elle aussi !
On se salue ou on s'embrasse, on discute, on s'engueule ou on se taquine, on rigole, on se fâche, certains y passent de longues heures, d'autres ne font qu'entrer et sortir, d'autres enfin sont là mais se taisent ou roupillent.
Comme il s'agit de conversations par écrit, les smileys remplacent les intonations pour indiquer que l'on plaisante ou que l'on est mécontent, il y a même un vocabulaire spécifique connu des habitués, comme tout groupe humain dans la vraie vie !
Mais tout comme dans la vraie vie les choses évoluent avec le temps. Les fervents discutailleurs ont d'autres sources d'intérêt, s'amusent autrement, des nouveaux arrivent, restent ou pas, la fréquentation varie, et il arrive parfois que le groupe de dissolve petit à petit, laissant le salon vide, avec deux ou trois présents muets, le chan agonise et ne tardera pas à mourir si personne ne vient le réveiller.
Et c'est ainsi que les chans meurent, quand le sujet n'intéresse plus, quand les meilleurs copains n'y viennent plus, quand on a autre chose à faire. C'est exactement comme quand le café où l'on se réunissait ferme et que tout le monde est dispersé.
Il faut même faire des efforts pour se souvenir du pseudo d'untel, qui était si marrant, d'une telle qui émaillait ses messages de fautes d'orthographe, de celui là qui énervait, de celle-là qu'on aimerait bien "revoir".
Depuis tant d'années que je pratique IRC, j'en ai connu des chans qui étaient animés, pléthoriques, remuants, et qui petit à petit, à cause du départ des plus actifs, et du désintérêt des autres, se sont assoupis au point de devenir des chans fantômes, à l'instar des villes éponymes ! Non, je ne donnerai pas de noms.... Mais, comme une page qui se tourne, ça reste quelque part un peu triste.
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