27 déc. 2016

Noël en Provence


Un village pittoresque, comme il y en a tant là-bas, du ciel bleu, des pins, une certaine douceur dans l'air, des sourires indulgents adressés aux enfants excités, des vitrines alléchantes, une petite église qui découpe ses formes simples sur le ciel...

Voilà de quoi passer de belles fêtes de Noël !


20 déc. 2016

Les anges dans nos campa-a-gnes


Non, ce n'étaient pas les anges qu'on allait voir dans nos campagnes, c'est encore trop tôt, mais plutôt nos petites églises dont quelques unes étaient restées ouvertes pour qu'on puisse les visiter et admirer les crèches qui s'y trouvent.

Que de trésors dans ces modestes lieux ! Des fonts baptismaux offerts par Henri IV (*), une poutre de gloire qui est un véritable calvaire, des statues naïves des saints locaux, Taurin et Aquilin, et pour mieux faire apprécier tout ça, des passionnés, amoureux de leur église, qui avaient autant de plaisir à en expliquer les détails que les visiteurs à les contempler.

Ces petits édifices ne sont pas souvent ouverts, il y a peu d'offices, d'autant que la plupart ne sont pas chauffés, il faut donc en profiter quand l'occasion d'y entrer se présente. Une église par village, de quelques centaines d'habitants, chacune avec son histoire, sa statuaire, son mobilier, quel patrimoine ! ... Pour un pays qui, selon certains, n'aurait pas de racines chrétiennes....

Poutre de gloire de l'église de Brétagnolles

Saint Aquilin (évêque d'Evreux)

Saint Taurin (église du Plessis-Hébert)

Vitrail dans l'église de Boisset

(*) Parce que le seigneur du lieu avait indiqué au roi de France comment son ennemi s'était déployé et ainsi, la bataille d'Ivry a été gagnée. 

18 déc. 2016

Un musée que j'ai découvert


La Fondation Louis Vuitton est un endroit extraordinaire. Planté au milieu du bois de Boulogne, au niveau du Jardin d'Acclimatation, ce bâtiment à l'architecture complexe, indescriptible, est magnifique, tout en courbes, en verrières colorées, d'une forme qui pourrait représenter un bateau mystérieux ou des voiles soulevées par le vent. A l'intérieur, on circule très facilement, escaliers roulants et ascenseurs permettent l'accès d'une salle à l'autre sans se creuser la tête pour savoir par où il faut passer, et tout en haut, une série de terrasses débouchent à l'air libre, d'où on a une vue somptueuse sur tout Paris. Une grande réussite !



Quant à la collection Chtchoukine, alors là, quelle richesse ! Picasso, Matisse, Gauguin, Cézanne, Van Gogh, Renoir, Courbet, Pissaro, Monet et j'en passe... 14 salles remplies de chefs d'œuvre (*) que l'on connaît par leurs reproductions dans les livres, mais qu'on a très peu l'occasion de voir en vrai. On regarde, on s'attarde, on se laisse envahir par l'atmosphère d'un tableau, on compare avec le suivant, on revient en arrière, et quand on arrive à la fin des nombreuses salles, on a les yeux qui pétillent de joie, et les jambes fatiguées..





Le seul problème de ce fabuleux musée est qu'il est loin de tout. Le plus proche métro est à un quart d'heure à pieds pour ceux qui marchent bien. Alors, il y a une navette organisée par la Fondation, qui part de l'Etoile (à l'angle de l'avenue Friedland) et qui fait le trajet. Un petit car électrique qui est sensé passer tous les quart d'heure. Oui mais, les visiteurs sont très nombreux, les navettes sont petites, alors on attend, on attend, debout... Avant de s'empiler dans le véhicule dans le plus parfait inconfort !

Dommage, l'idée était bonne, mais il aurait fallu soit des navettes plus grandes, soit une plus grande fréquence, ou alors, les faire partir du métro Sablons, le plus proche, ce qui aurait été plus rapide, et moins tributaire des embouteillages.

Nonobstant cet inconvénient, qui n'a rien à voir avec le musée et ce qui y est présenté, voilà un endroit que j'ai découvert et apprécié, même si ce n'est pas mon style de peinture préféré ! Vivement une nouvelle exposition !

(*) Et de visiteurs aussi, ce qui rend l'approche des tableaux un peu difficile, et les photos encore plus !! 

17 déc. 2016

Un musée que j'aime bien...


Oui, j'aime bien aller au Musée Jacquemart-André. Déjà il est accessible à pieds depuis la gare Saint-Lazare, ce qui, pour une provinciale de ma région, est bien agréable. Ensuite, le bâtiment est beau, le mobilier et les collections permanentes toujours plaisants à regarder. Enfin, les expositions temporaires sont toujours intéressantes.

Là, c'était une exposition Rembrandt, où on pouvait voir non seulement des tableaux fort connus, avec ces extraordinaires clairs-obscurs, mais aussi un certain nombre de gravures, que l'on a moins l'occasion de voir. Un film expliquait aussi très clairement le technique picturale de l'artiste, on y apprenait beaucoup de choses.

Mais hélas, il était interdit de faire des photos de cette exposition.... Alors, pour illustrer ce billet, j'ai repris un Botticelli qui figure dans la collection Jacquemart-André, et une vue de l'entrée du jardin d'hiver, là, c'était autorisé !


10 déc. 2016

Droits d'auteur


Ah les droits d'auteur ! Que d'encre ou d'octets ont-ils pu faire couler depuis leur naissance ! Dogme intangible sous Wikipédia dont l'enfreinte réitérée fait bondir d'horreur le collège unanime des administrateurs, carcan de lois obsolètes à l'ère d'Internet, ou strict respect du droit de propriété intellectuelle ?

Si au départ, l'idée était louable, ne pas s'approprier indûment le bien d'autrui sans contrepartie est évident, l'amoncellement de lois disparates et la cupidité ont rendu cette idée aussi difficile à appliquer que bien souvent injuste. L'excellent article de Stephane Barge dans le numéro 854 de 01.Net donne quelques exemples de déviations :

Sachant que les lois sur les droits d'auteur sont différentes selon les pays, on peut télécharger gratuitement "Le Petit Prince" de Saint-Exupéry partout dans le monde sauf... En France, parce que l'auteur est mort en 1944 au combat, ce qui prolonge la durée de ses droits (de celles de ses héritiers plutôt) jusqu'en 2032. Ou encore, le "Journal d'Anne Frank" (morte en 1945) devait entrer dans le domaine public en 2016, mais le Fonds Anne Frank s'y est opposé, arguant que son père, mort en 1980, avait modifié certains écrits, et que de ce fait, il pouvait continuer à engranger des royalties jusqu'en 2050 !

Parce que c'est quand même bien une question de fric... Profiter au maximum et le plus longtemps possible de la manne facilement gagnée sur le travail de l'aïeul. Question de fric aussi ces musées et autres châteaux qui refusent les photos, sous le fallacieux prétexte que publier des photos des meubles exciterait les cambrioleurs, mais sans se priver de vendre des cartes postales des dits meubles, ou que c'est le musée prêteur du tableau qui l'interdit (vous savez, c'est pas nous madame...), alors que l'œuvre présentée dans le musée auquel elle appartient est là tout à fait librement photographiable.

Et puis ça se complique, un concerto de Mozart est libre de droits par définition, mais pas l'orchestre qui l'interprète... Un tableau de Bellini l'est évidemment aussi, mais pas le photographe qui a pris le cliché. Vous prenez une photo d'une madone de Bellini, vous la publiez, vous avez le droit de le faire, si le musée le veut bien. Vous récupérez une photo prise par un tiers (parce qu'elle est meilleure que la vôtre) et vous la publiez, vous êtes hors la loi. Mais si quelqu'un récupère votre photo, même moyenne, et la publie à son tour, il est lui aussi hors la loi, puisqu'il a violé vos propres droits d'auteur.... Quel imbroglio !

Et c'est sûr qu'entre les smartphones qui prennent des photos, les réseaux sociaux, la facilité d'échange que donne Internet, on a bien du mal à savoir qu'est-ce qui appartient à qui ? La notion du partage de la culture à tous, idée généreuse s'il en fut, se heurte aux intérêts financiers de ceux qui ne semblent pourtant pas les mieux placés pour profiter du pactole, éditeurs, lointains héritier, etc.. Et si en plus on réalise que toutes ces lois diffèrent selon les pays d'origine des auteurs et des ayants droit (*), on en a la migraine...

La photo d'illustration a été prise par moi au musée de Cluny, qui autorise les photos sans flash. Cette Vierge de l'Annonciation a été sculptée il y a 8 siècles, donc, l'artiste est mort depuis bien plus que 70 ans, le sujet, Marie, n'est plus sur Terre depuis presque 2000 ans et j'abandonne officiellement et de grand cœur mes droits d'auteur !!!

(*) Oh le beau piège que le pluriel de ce mot.... La langue française est aussi compliquée que les droits d'auteur ! 




8 déc. 2016

Drive or not drive ?

C'est quand même la corvée d'aller au super marché du coin, pour le ravitaillement de base, surtout quand il faut se coltiner les packs d'eau minérale ou de lait en les soulevant pour les mettre du rayon dans le caddie, puis du caddy sur le tapis de la caisse (même si on peut en laisser dedans certains, mais alors c'est la caissière qui se contorsionne avec sa douchette à code barres), puis dans le coffre de la voiture. On a quand même des moyens plus modernes et moins épuisants de s'approvisionner. Pourquoi ne pas essayer le drive ?

Direction le site internet du magasin, et là, on fait ses courses, assise devant son écran, en ne soulevant guère que ses doigts sur le clavier. Comme il ne s'agit pas de faire des choix compliqués (un pack de 6 bouteilles d'eau de Badoit c'est pareil partout), ça va assez vite. On paye, et on choisit l'heure de mise à disposition le lendemain, ou le jour même selon l'heure à laquelle la commande a été passée.

Peu de temps avant d'y aller, on reçoit un SMS où le numéro de la commande est rappelé au cas où on n'aurait pas noté celui arrivé par mail. En route ! Sur place, un charmant jeune homme musclé va chercher ce qui avait été demandé, et le dépose en un tournemain dans le coffre de l'auto. Terminé !

C'est pratique tout de même, surtout pour des denrées de base pour lesquelles il n'y a pas à voir ni à faire un choix spécial, même si le drive du petit Carrefour Market local est assez sommaire par rapport à d'autres, plus sophistiqués, l'expérience est assez positive pour être renouvelée. Fatigue supprimée, temps gagné, pas d'attente aux caisses ni de conduite aléatoire d'un caddy dans les allées, tout ça est bien intéressant.

Un point quand même à soulever : sur le site d'achat, il n'y a pas la possibilité de prendre en compte la carte de fidélité. Les employés de l'établissement local ont confirmé que ce n'était pas encore implémenté, et qu'ils allaient faire remonter l'information pour y remédier. On n'a pas non plus commandé de denrées périssables, parce qu'on avait quelques doutes quant aux dates de péremption qui pouvaient être trop courtes, mais ce serait à tenter.

Pour le reste, fruits et légumes frais, viande et charcuterie, fromages, etc. on préfère les commerces de proximité, ou le marché, c'est moins anonyme, plus sympa, plus amusant, et pas particulièrement fatigant pour les vieilles articulations, en plus, on y rencontre les copains et copines, et on en profite pour tailler une bavette ! C'est-y pas beau d'être à la retraite ?!?

6 déc. 2016

Isaïe, lions, léopards et Cie

La première lecture de la messe du second dimanche de l'Avent est tirée du livre du prophète Isaïe, chapitre 11. En voilà un extrait qui m'intrigue fort :

"Le loup habitera avec l'agneau, le léopard se couchera près du chevreau, le veau et le lionceau seront nourris ensemble... La vache et l'ours auront même pâture... Le lion, comme le bœuf mangera du fourrage... ".

Isaïe, prophète de l'Ancien Testament, vivait aux environs de l'an 700 avant Jésus Christ, en Palestine (*) dans le royaume de Juda, situé au sud de Jérusalem, à l'ouest du lac de Tibériade. Or, il parle de loup, de léopard, de lion, d'ours... Où avait-il vu ces animaux, que l'on ne rencontre plus actuellement dans cette région ?

Passe pour l'ours et le loup ; des loups, il y en avait partout autrefois, et sans doute qu'il y avait déjà des montreurs d'ours, issus des montagnes. Mais le lion et le léopard, lesquels vivent actuellement bien plus au sud, en Afrique, y en avait-il en Palestine à l'époque ? Peut-être en Egypte ? Il y avait bien des lions dans l'Atlas Marocain (**), jusqu'au XXe siècle (il paraît que le dernier a été vu en 1920). Quant aux léopards, il y en a encore au Moyen-Orient, enfin, plus beaucoup, sans doute étaient-ils plus nombreux il y a 2700 ans !

D'après l'article Lion d'Afrique de Wikipédia : "La répartition du lion aux époques historiques, plus restreinte, a cependant été importante. Elle couvrait de grandes parties de l'Afrique, mais aussi l'Europe du Sud ainsi que le Proche-Orient et l'Inde. Jusqu'à l'Antiquité, des lions vivaient encore dans les Balkans, le sud de l'Europe ainsi qu'en Anatolie ou au Moyen-Orient."

Voilà donc la réponse à ma question : des lions, des léopards, il y en avait du temps d'Isaïe, sans avoir besoin d'aller les chercher bien loin.... Il est vrai qu'il y a aussi le prophète Daniel, dans la fosse aux lions, plus tard, vers -538, du temps de Nabuchodonosor, à Babylone, dans l'actuel Irak.

Quant aux éléphants, on pense bien sûr à Hannibal qui leur a fait traverser les Alpes, mais il y a eu aussi Juda Macchabée, 150 ans avant notre ère, dont "l'armée comptait cent mille fantassins, vingt mille cavaliers et trente-deux éléphants dressés à la guerre". Où avait-il été les chercher ?? Pour Hannibal, on suppose qu'il utilisait une espèce d'éléphant dite "de forêt", aujourd'hui éteinte, qui vivait en Erythrée et en Somalie. Vous parlez d'un voyage !!! Quant à Alexandre, qui en a aussi utilisé, il semble qu'il n'en existait plus au Moyen-Orient, et qu'il fallait aller les cherchez en Asie ou au Kenya. Mais tout ça n'est pas clair, et les historiens se disputent encore vivement à ce sujet, d'où venaient-ils ? Que mangeaient-ils ?

En attendant, la seule chose que l'on sache avec certitude, c'est qu'il n'y a plus de lions (***) au Proche-Orient, je parle des animaux, pour le reste, c'est en dehors du sujet !!


(*) Il s'agit de la Palestine de l'époque, pas de la géographie politique actuelle !
(**) L'équipe nationale du Maroc s'appelle bien "Les lions de l'Atlas". 
(***) Le prénom Oussama signifie lion.....

1 déc. 2016

Musée de Cluny


Plaisir de revoir le Musée de Cluny, même si d'importants travaux de rénovation bousculent un peu la visite. Ce bâtiment, du XIIIe siècle, abrite une magnifique collection d'objets du Moyen-Âge : statues, reliquaires, objets religieux, fragments de vitraux, sans oublier l'incontournable salle des tapisseries de la Dame à la Licorne.

Un musée calme et tranquille, dans lequel on peut facilement s'arrêter pour observer les détails d'un retable en ivoire, ou admirer un vitrail, une visite aussi enrichissante que paisible.

Quant à l'exposition temporaire sur le temps des Mérovingiens, elle fait remonter à une époque bien mal connue de l'Histoire (à part les rois fainéants avachis sur leurs chars tirés par des bœufs, comme tout élève nourri au Mallet-Isaac de mon époque, je n'en aurais pas dit grand chose..) et est surtout remarquable par ses nombreux manuscrits sur parchemin et les claires explications sur l'évolution de l'écriture.

Un beau voyage dans le temps, dans cette Europe dont "les frontières sont celles que délimitent les abbayes cisterciennes, des Balkans jusqu'aux Pays Baltes" comme le disait François Mitterand, à l'époque où elle se "revêtait d'un blanc manteau d'églises" (Raoul Glaber, vers l'an Mil).






Diantre ! Fichtre !

Ma tablette n'est plus toute jeune, elle affiche bon poids ses 5 années d'existence, ce qui, pour ce type de matériel, est un âge canonique. Elle ne me sert qu'en déplacement, parce qu'elle embarque des livres, de la musique, des films documentaires, et divers utilitaires indispensables. Elle m'est aussi bien utile pour les connexions internet quand je suis hors de mes bases, surtout depuis que bon nombre d'hôtels et de lieux publics proposent ce service gratuitement.

Mais jusqu'ici, je n'avais pas pu y pratiquer une de mes occupations favorites, à savoir jouer sur Facebook. Le navigateur d'origine ne voulait pas, Firefox installé ensuite non plus, si la page Facebook s'ouvrait normalement, aucun jeu ne voulait se lancer. J'ai soupçonné Adobe Flash Player de ne pas être à jour, mais n'ai jamais réussi à en installer une nouvelle version, j'ai accusé ensuite le grand âge du matériel dont l'OS devait être obsolète depuis longtemps. Et je ne jouais pas, en me disant que ce n'était sans doute pas plus mal de se désintoxiquer un peu.

J'avais bien vu passer, sur un groupe de joueurs de Coral Isle (parce que c'est surtout de ce jeu qu'il s'agit), un tutorial pour l'installer sur une tablette, mais je n'y croyais pas, la mienne est bien trop vieille que je me disais, c'est sûrement uniquement utilisable sur du matériel récent, et n'avais fait que ranger le .pdf dans mes archives, jusqu'au jour où....

... Je me suis dit que je pouvais toujours tenter de voir si, par hasard, on ne sait jamais... Première chose à faire, aller sur le PlayStore de Google pour télécharger un navigateur du nom de Puffin. Facile ! Depuis ce nouveau navigateur, aller sur Facebook, facile aussi, et là, lancer le jeu, comme on fait depuis l'ordinateur de la maison. Et....

... Ça marche !!! Le jeu tourne parfaitement, exactement comme d'habitude, si ce n'est qu'un écran de 10 pouces, c'est plus petit qu'un de 27 !!! Mais on peut zoomer si on veut agrandir une zone, les îles étant très vastes dans ce jeu. Un raccourci sur l'écran d'accueil, et zou, on peut jouer directement, fantastique, non ? Pour ça, le mieux est d'utiliser un stylet, ou la pointe caoutchouc d'un stylo à bille conçu pour ça, puisque bien entendu, on a un écran tactile, et non une souris.

Eh bien, j'en étais toute bluffée, je n'y croyais vraiment pas et je demande pourquoi je n'ai pas fait ça plus tôt, mais j'étais tellement persuadée que ça ne marcherait pas.. Comme quoi, il y a certaines certitudes inutilement bloquantes !! Surtout pour un sujet aussi fondamental :-D

D'accord, la carte graphique de la tablette, plutôt faiblarde, souffre et le jeu est très ralenti, m'enfin, il tourne, c'est déjà pas mal.