29 févr. 2016

Après le jeu, la cuisine

A lire le post ci-dessous, on pourrait penser que la communauté des joueuses facebookiennes ne fait justement "que" jouer, eh bien pas du tout, elles font aussi de la cuisine. Il y a celles qui postent des photos de ce qu'elles ont cuisiné, ou de ce qu'elles sont en train de déguster chez elles ou au restaurant, et il y a aussi celles qui partagent des vidéos de recettes de cuisine faciles et rapides. Il ne manque pas de sites qui en montrent, et c'est toujours très bien expliqué.

En plus, si on regarde ça vers 18h le soir..... Ça donne rudement faim, et aussi envie de faire la même chose.

J'avais particulièrement repéré une recette aussi facile que spectaculaire , partagée par une de mes copines de jeux et me promettais de l'essayer quand.... J'ai eu l'occasion de la goûter en famille, la cuisinière l'ayant aussi découverte au même endroit que moi, comme quoi, le monde virtuel est un bien petit monde ! Au passage, c'était très bon, et ça peut aussi se faire en version sucrée, avec du Nutella par exemple.


Les sites de cuisine font recette (sans jeu de mot) sur Internet, ils sont nombreux, variés, présentent des recettes comme dans les livres, mais aussi des vidéos explicatives, réalisées en "montage dynamique" et, comme le dit un article du Figaro Economie : "elles paraissent tellement faciles que n'importe quel internaute se sent capable de les réaliser avec brio". Et c'est vrai. Tiens, par exemple, ces pommes de terre au four : on regarde et on fait dans la foulée, c'est facile, il y a peu d'ingrédients (pommes de terre, fromage coupé en lamelles, une cuillère d'huile d'olive et quelques herbes), ça cuit tout seul (40 minutes au four thermostat 200°) et c'est délicieux.


Mais... Si on se lève de devant son écran, après quelques heures de jeu, pour aller faire ses pommes de terre au fromage et son feuilleté au Nutella, qu'on les déguste avant de vite retourner à son écran, les kilos vont s'accumuler inexorablement.... Encore un des effets pervers d'Internet !

28 févr. 2016

Sacrés billets !

Un beau matin, dans le jeu SuperCity, on a vu apparaître un objet sur la droite de l'écran. En cliquant dessus, on avait le choix entre deux coffres à ouvrir : l'un avec des billets, l'autre en utilisant les boules de Noël qui sortent de certains bâtiments et qui ne servaient jusqu'ici qu'à acheter des décorations pour la ville. Tout le monde se précipite et les exclamations fusent : Des billets, le coffre donne des billets, et pas qu'un peu, jusqu'à 200 (pour un clic, soit 40 boules de Noël), mais il donne aussi des bâtiments chers, de ceux que l'on hésite toujours à acheter pour ne pas trop se démunir, et aussi quelques décorations.

Seulement, cette manne est tout à fait aléatoire, ce qui fait que la réaction des joueurs dépend de la chance qu'ils ont.

Il y a ceux qui n'en reviennent pas : 200 billets, et puis 24, et puis 50.... On n'en a jamais tant eu, déjà quand on en a une petite quarantaine en réserve on s'estime plutôt riche, et cette confiserie que je ne pouvais pas acheter, et ces fermes qui coûtent si cher et qui arrivent presque en rafale...

Mais il y a aussi ceux qui, malgré leur clics et l'épuisement de leurs réserves de boules de Noël, ne reçoivent que des petites fleurs ou autres trucs sans grand intérêt et qui regardent d'un œil torve les publications enthousiastes des joueurs heureux. A croire que ceux qui ont déjà eu les choses les plus intéressantes au départ continuent à engranger des bonus et que ceux qui n'ont eu que des petites décorations ont beau cliquer et n'ont toujours rien.

C'est vrai que ce système de distribution n'est pas équitable, les riches sont encore plus riches, les pauvres encore plus pauvres. ! Du coup, ceux qui ont été comblés en viennent à avoir des doutes et se demandent où est le piège, et s'il n'y aurait pas anguille sous roche (ou baleine sous gravier comme le disait un de mes amis), parce que ces fameux billets après lesquels tout le monde court, c'est leur achat (par carte bancaire) qui fait vivre l'éditeur, alors s'il les distribue par liasses de 100, les cartes bancaires n'auront plus besoin de sortir de leur étui !! Quant aux déçus, les réflexions désabusées fleurissent : c'est de l'arnaque, du pipo, je n'ai eu que des merdes, etc...

En attendant, la communauté des joueurs (qui sont en majorité des joueuses d'ailleurs) est bien vivante et fort réactive, celle de "L'île de Corail" aussi, mais c'est un autre sujet. D'ailleurs, à propos de ce jeu, j'y retourne, j'ai des léopards à nourrir !!!


Voilà ce que j'ai récupéré, pas mal, il m'en restait 43, et sur ceux que j'ai gagnés, j'ai du en dépenser 40 pour acheter du terrain, afin d'installer tous les nouveaux bâtiments gagnés aussi. 

23 févr. 2016

Un petit oiseau pas pressé

C'est l'histoire d'un quidam qui voulait à tous prix avoir un compte Twitter. Je commence donc, pédagogiquement, par lui montrer l'interface du truc, sous mon propre compte, et, quand j'arrive aux abonnements, je m'aperçois qu'il y figurait, donc, qu'il avait déjà un compte, créé il y a quelques temps, jamais utilisé depuis dont il avait totalement oublié l'existence. Je lui dis donc qu'il suffit de s'y connecter. Oui mais, fallait un mot de passe, lequel avait été évidemment oublié depuis longtemps.

Qu'à cela ne tienne, on en redemande un autre, et le logiciel indique qu'il sera envoyé par mail. On guette la boîte mail, rien... Encore rien... Toujours rien. Qu'est-ce à dire, pourtant les mails arrivent bien, je fais un essai concluant depuis une autre adresse pour le vérifier. Peut-être est-il passé dans les spams. Mais où sont les spams sur ce client mail ? L'utilisateur n'en savait fichtrement rien ! Je passe par le webmail du fournisseur d'accès, mais là, catastrophe, le password de messagerie n'est plus reconnu. Comme il est automatiquement mémorisé dans le logiciel habituel, on ne le tape plus et on l'oublie.

Qu'à cela ne tienne, on en redemande un autre au fournisseur d'accès, qui envoie illico un sms sur le mobile, on change le mot de passe et.... L'utilisateur se rappelle, à ce moment là seulement, qu'il l'avait effectivement déjà changé il y a quelques mois et qu'il ne s'en souvenait plus !

Et c'est quand toutes ces manœuvres ont été achevées, que, presque deux heures après, monsieur Twitter a envoyé un mail pour réinitialiser le mot de passe ! Deux heures pour envoyer un mail automatique, lequel, dans ce genre de cas, demande habituellement quelques secondes...

Le compte Twitter a été laborieusement réactivé et j'ai gagné l'apéro pour mon aide... Qui aurait pu être plus rapide et plus efficace si Twitter avait été plus véloce.

19 févr. 2016

Téléphone fixe, c'est la fin ?

Orange, ex France-Télécom, va supprimer d'ici quelques années les lignes fixes de ses abonnés. Certes, dit ainsi, ça fait très raccourci journalistique, mais il n'en demeure pas moins que la vieille ligne fixe, branchée directement sur la prise téléphonique, vit ses dernières années. Et ça concerne plus d'1/3 des lignes téléphoniques françaises.

Orange argue que le réseau téléphonique communé (RTC) est obsolète, qu'ils n'ont plus les techniciens formés pour le maintenir, et qu'en cas de panne ils ne pourraient rien faire, et que ce n'est pas rentable de conserver un tel réseau.

Ceux qui voudront quand même avoir une ligne fixe chez eux devront acquérir une box qui se placera entre le combiné et la prise murale. C'est déjà le cas de bon nombre de gens utilisant une box pour leur connexion internet, ceux-là ne devraient donc pas être particulièrement perturbés. C'est moins évident pour divers professionnels (ascenseurs, télé-alarme (*), terminaux de paiement) qui devront adapter leurs installations en temps et heure sous peine de ne plus pouvoir assurer leur service.

Pour le simple particulier, il n'y a rien de bien grave à redouter. Si, pourtant, en cas de panne de courant, la box ne fonctionne plus, et le bon vieux combiné à touche pouvait être branché directement sur la prise téléphonique pour, par exemple, téléphoner à EDF afin de savoir quand le courant va revenir (**). C'est vrai aussi que, simplement pour téléphoner, tout le monde ou presque a un appareil mobile, mais la couverture du territoire est bien trop souvent aléatoire, et l'absence de réseau, en cas d'urgence, peut être grave.

N'empêche, c'est une grande page qui se tourne, on pense au 22 à Asnières , on a une pensée émue pour les "demoiselles du téléphone" d'avant le téléphone automatique, on pense aussi au temps qu'il fallait pour avoir le téléphone à la maison il y a un peu moins de 50 ans, tout ça va vite, très vite...

(*) Les télé-alarmes modernes ne dépendent plus d'une ligne fixe, mais d'une puce de téléphone mobile qui leur est dédiée. 
(**) Non, ce n'est pas si rare que ça, même en dehors de cataclysmes météorologiques, on en a eu 3 depuis janvier, allant de 3h de coupure à... 11h ! La France profonde.... 

18 févr. 2016

Des GIFs pas FIGés


Né en 1987, le format GIF (Graphics Interchange Format) conçu par un ingénieur américain, à l'instar du format Jpg qui ne permet que des images fixes, il avait comme particularité de pouvoir s'animer.

Il y a 20 ans (oui, pendant la préhistoire), agrémenter un site web de gifs animés était du plus grand chic, tous les webmestres amateurs l'ont fait (oui, moi aussi..), et puis, comme la mode change, c'est devenu parfaitement ringard, et on regardait d'un air hautain et méprisant celui qui laissait ce genre d'image qui bouge sur sa page d'accueil.

Vingt ans plus tard, ne voilà-t-il pas que ça revient à la mode, pas tant sur les pages web que dans les mails, les réseaux sociaux voire les messages publicitaires. Il y a même un site internet intitulé Giphy, qui se prétend le Google des gifs animés, et affirme qu'on trouve tout chez lui, du chat qui bouge au bébé qui pleure en passant par des parodies des séries télévisées en vogue.

Alors non seulement on peut récupérer des images animées qui tournent en boucle (et que, contrairement à une vidéo, on ne peut pas arrêter...), mais on peut aussi en créer facilement soi-même (plusieurs sites proposent de les fabriquer à partir de ses propres images) et s'en servir comme des smileys dans toute communication sur Internet.

Bonjour la migraine ! D'autant plus qu'il va être bien difficile d'y échapper, Facebook, Twitter, Tinder, et plein d'autres ouvrent tout grand leurs lignes de code pour que l'internaute puisse transmettre coup de cœur et émotions diverses à tous ses contacts, tant pis pour eux s'ils ont une connexion poussive, parce que ces multiples images qui bougent, c'est plutôt lourd.

Quel progrès ! Qu'est-ce qu'on va être content quand on va aller consulter une page ou un mail ou encore une notification qui va clignoter de partout ou défiler comme autrefois avec la balise blink ou marquee , les ophtalmos ne seront jamais au chômage ni les pharmaciens qui vendront de l'aspirine.


13 févr. 2016

Le nénufar, l'ognon et l'accent circonflexe

Ah l'accent circonflexe ! Il fait couler beaucoup d'encre en ce moment, enfin, disons beaucoup de pixels plutôt, avec la soi-disant mise en pratique de la réforme de 1990. Déjà, comme tout le monde sait -- tout du moins ceux qui ont plus de 30 ans --  il est tombé de la cime pour atterrir dans l'abîme, et là, il serait définitivement enterré, sauf très rares exceptions, concernant le subjonctif imparfait, temps que plus personne n'utilise.

Il est vrai que dans certains cas, on peut s'en passer sans risque, sur le verbe paraître, sur le maître, sur l'abîme justement, mais dans d'autres, ça peut prêter à confusion. Tiens, sur prêter par exemple, il faudrait le remplacer par un accent aigu ou le prononcer preuter.  Quant au jeûne, ça peut même être marrant : par exemple, si on dit qu'après un repas trop copieux, on va se faire un petit jeune... En plus sérieux, il faut faire le distinguo, en langage écrit tout du moins, entre un homme mûr adossé à un mur, ou à l'enfant qui compte sur ses doigts pour être sûr de ne pas se tromper. Une préposition ou un nom commun ne sont pas des adjectifs.

En fait, c'est beaucoup de bruit pour pas grand chose. L'accent circonflexe serait omis là où ça ne compromet pas le sens du mot, par exemple, on pourra ne pas l'écrire sur le mot coût, mais on le conservera pour distinguer le verbe croire du verbe croître : je crois que cet arbre croît trop vite. Et de toutes façons, les deux orthographes sont toujours valables.

Il y a quand même un certain nombre de pièges dans la langue française dont la plupart ne sont pas justifiés par l'étymologie. Par exemple, pourquoi écrit-on chariot avec un seul r et charrette avec 2 ? Combatif et combattant ? Événement alors qu'on prononce évainement ?  Amoncelle et pèle ? Oignons alors qu'en dehors de certaines région de France on prononce ognons ? Quant au règlement, il est, d'après monsieur Larousse, l'action de régler.....

Ah l'exception française ! On comprend pourquoi l'anglais (qui n'a déjà pas d'accents et dont la grammaire est beaucoup plus simple) est langue universelle à la place du français qui a perdu depuis longtemps son leadership (on dit comment en français ?).

Alors, allons voir si le nénufar parait et si les ognons du picnic sont bons !


Et puis, si on n'avait plus d'accent circonflexe sur nos claviers, comment pourra-t-on faire ce smiley sur IRC hein ? ^_^ 

11 févr. 2016

La belle ville de Tours

Le poète a dit, il y a bien longtemps :

Plus mon Loire gaulois, que le Tibre latin, 
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, 
Et plus que l'air marin la doulceur angevine.


Même si la région par lui décrite est plus près de Nantes que de Tours, c'est aux abords de cette dernière que j'ai pu goûter de la douceur angevine et admirer la Loire.

Quelques photos d'une bien jolie ville, avec ses ruelles pittoresques, sa cathédrale et sa basilique Saint Martin, son animation du centre ville, ses belles maisons renaissance, ses environs paisibles. A une heure de Paris en TGV, voilà une ville où il doit faire bon vivre, en tous cas il fait bon s'y promener, tranquillement, au rythme de l'Histoire, y boire du bon vin local, et en sortir juste pour visiter quelques châteaux ou quelques vignobles (pour les deux dernières propositions, il vaut d'ailleurs mieux faire l'inverse !)






8 févr. 2016

Le château de Chenonceau


Magnifique ! C'est le premier mot que l'on a à la bouche quand on a remonté la majestueuse allée de platanes et qu'on se trouve près du château. Au milieu de somptueux jardins à la française, les arches enjambant le Cher, sa façade blanche se reflétant sur l'eau, on se retrouve tout à coup quelques siècles en arrière, et on s'attend à voir Diane de Poitiers ou Catherine de Médicis se promener dans les allées.

L'intérieur n'est pas en reste, minutieusement entretenu et fort bien meublé, il héberge sur trois niveaux de superbes tapisseries, et pas mal de peintures dont certaines sont très célèbres. Les cuisines aussi sont remarquablement conservées. Installées dans une des piles du pont, on y trouve la boucherie, la rôtisserie, la salle à manger des serviteurs, et des cuivres rutilants partout.


En plus, il y a du feu dans les cheminées, du vrai feu avec des grosses bûches, ce qui est plutôt rare, et une décoration florale, faite de fleurs fraîches, différentes selon les pièces, le tout donnant une impression de vie, d'habité, comme si on était revenu à la Renaissance, et qu'on était invité pour le bal.

Une visite magique !


5 févr. 2016

Un prénom pour la vie

Quand un enfant est attendu, le choix du prénom est difficile. Il faut qu'il plaise aux deux parents, et accessoirement aux grands parents et aux frères et sœurs ; qu'il soit facile à dire et à écrire (pauvres petits bretons dont les parents étaient obligés d'épeler le prénom pour que leur interlocuteur les comprenne) ; qu'il ne fasse pas allusion aux stars de l'année sinon, il sera inutile de demander au bambin plus tard en quelle année il est né (ah les Sébastien suite à Belle et Sébastien..) ; qu'il ne soit pas le prénom le plus donné de l'année, ça manque d'originalité ; qu'il ne soit pas trop démodé non plus, encore que, les prénoms anciens reviennent en force, à la suite d'Arthur et d'Adeline (tous deux me faisant bien rire quand j'étais petite et que la mode était aux Patricia et autres Brigitte), et que tout ça évolue très vite.

Voilà quelques prénoms qui n'ont pas été donnés depuis longtemps, ou si peu en 2015 :

Filles 

Monique : une grande sainte pourtant, la mère de Saint Augustin. Personne n'a donné ce prénom à sa fille l'année derniere !

Véronique : 12 petites filles nées en 2015 le portent.

Germaine, Jeannine, Yvette..... Personne !

Josette, Colette, Georgette, Odette, Paulette, Huguette, Bernadette, Louisette, Pierrette, Antoinette, à peine 50..

Annick : Une seule petite fille a adopté ce prénom en 2015

Brigitte : 5 seulement, alors qu'à la fin des années 50 elles étaient légion !

Martine : 9 attributions.

Parmi les prénoms encore utilisés l'année dernière pour quelques rares enfants, prénoms que portent actuellement les grands mères, et certains parents qui ont eu leurs enfants sur le tard on peut citer :

Chantal, Jacqueline, Michèle, Martine (il y en a quand même eu 9), Micheline, Pascaline, Albertine, Alphonsine, Régine, Thérèse, Nicole, Gisèle, Simone, Adrienne, Bérengère, Andrée qui a tout de même été le 25è prénom le plus attribué... au siècle dernier.


Garçons 

Roger : 10 tout de même, on aurait pas cru...

René : 5 petits prénommés Renés sont arrivés en 2015

Gérard : seulement 4 en 2015

Autres prénoms de garçons qui ne se donnent plus ou presque :

Didier, Désiré, Norbert, Hervé, Guy, Gervais, Patrick, Serge, Jean-Pierre, Yves, Valery...



Et le top 10 des prénoms donnés en 2015


Pour les filles : Emma, Chloé, Louise, Manon, Camille, Alice, Léa, Jade, Lola, Lucie. Alice et à Lucie, c'est revenu à la mode, parce que les aïeules de ces enfants s'appelaient souvent ainsi mais pas leur mère ou leur grand mère.

Pour les garçons : Raphaël, Gabriel, Jules, Léo, Louis, Arthur, Ethan, Nathan, Lucas, Paul. Que de prénoms bibliques !! Encore un coup des racines chrétiennes qui ressortent de partout, parce que Raphaël, Gabriel, Nathan et Paul, ils sont déjà dans la Bible !! Donc, ils ne datent pas d'hier...


Tout ça n'est pas simple, donner un prénom à un enfant, c'est, selon le choix, le valoriser ou le ridiculiser, et ceci en toute bonne foi. Une vieille amie, très foncée de peau et de cheveux, avait été prénommée Blanche, ce qui l'amusait beaucoup... Mais j'ai connu aussi un monsieur Rousseau que ses parents, en toute innocence (ou inculture ?) avaient appelé Jean-Jacques !