Va-t-on réussir à vivre tranquillement ? Il y a eu les Gilets Jaunes, avec les ronds points plus ou moins bloqués, les exactions en tous genre, des deux bords, suivis d'une interminable période de grèves des transports, de menaces de pénuries d'essence, agrémentées de violences, de drames, d'incendies, de manifestations...
Quand ça commençait à se calmer, voilà un virus qui arrive de Chine et sème la panique partout : événements supprimés, matchs de foot reportés, pharmacies prises d'assaut, gens qui ne se serrent plus la main ni se font la bise, peur, affolement, angoisse... Avec raison ou pas ? Et comme corollaire l'économie mondiale qui se met à boiter et à pencher dangereusement vers la catastrophe.
Et avec tout ça, des tempêtes de vent permanentes, des 100km/h dans les terres, qui font envoler les toitures, cassent les arbres, ébranlent les maisons, tandis que les jours ensoleillés se comptent sur les doigts d'une main depuis trois mois et que l'on vit sous la pluie et dans la gadoue.
Alors, on ne peut pas voyager, bien trop risqué et bien trop compliqué ; le train est tributaire des arbres tombés sur les caténaires et des sautes d'humeur de la CGT ; il est déconseillé de prendre sa voiture par temps de tempête ; il faut éviter de fréquenter les lieux publics où il y a du monde, mais aussi d'embrasser ses amis...
Et avec tout ça il faudrait qu'on soit optimiste ??
Quand ça commençait à se calmer, voilà un virus qui arrive de Chine et sème la panique partout : événements supprimés, matchs de foot reportés, pharmacies prises d'assaut, gens qui ne se serrent plus la main ni se font la bise, peur, affolement, angoisse... Avec raison ou pas ? Et comme corollaire l'économie mondiale qui se met à boiter et à pencher dangereusement vers la catastrophe.
Et avec tout ça, des tempêtes de vent permanentes, des 100km/h dans les terres, qui font envoler les toitures, cassent les arbres, ébranlent les maisons, tandis que les jours ensoleillés se comptent sur les doigts d'une main depuis trois mois et que l'on vit sous la pluie et dans la gadoue.
Alors, on ne peut pas voyager, bien trop risqué et bien trop compliqué ; le train est tributaire des arbres tombés sur les caténaires et des sautes d'humeur de la CGT ; il est déconseillé de prendre sa voiture par temps de tempête ; il faut éviter de fréquenter les lieux publics où il y a du monde, mais aussi d'embrasser ses amis...
Et avec tout ça il faudrait qu'on soit optimiste ??