Est-ce une des formes du dérèglement climatique qui nous fait, depuis pas mal d'années déjà, supporter des tempêtes, des rafales de vent à plus de 100km/h dans les terres, et de toutes façons, un vent permanent ?
Que c'est pénible.. Ces bourrasques qui cassent les branches, bousculent les voitures et les gens, soulèvent en envolent les toitures, on se croirait aux îles Kerguelen (où je ne suis jamais allée, mais réputées pour leur vent qui empêche l'herbe de pousser droit). En plus des routes coupées par les troncs abattus, le pire ce sont les coupures de courant. Les branches tombent sur les fils, les fils sortent de leurs logement sur les poteaux, et on n'a plus ni lumière ni chauffage, sans parler de l'ordinateur qui s'éteint brutalement et qui n'aime pas trop ça.
On se souvient de la tempête de décembre 1999, durant laquelle nous étions restés sans courant pendant 5 jours.. Bonjour le congélateur, la maison à 10° maximum, sans eau chaude. C'était un coup à émigrer à l'hôtel dans une ville où il y avait encore de l'électricité.
Plus récemment, on a essuyé une coupure de 23h, vous vous rendez compte, 23 heures sans ordinateur, donc, sans jeux !! Et comme les campagnes sont les premières touchées dans ce domaine, dès que ça souffle un peu fort, on tend le dos. D'autant plus que ce vent permanent, ça énerve, ça fatigue et ça angoisse.
Est-ce ma mémoire défaillante de vieille dame, ou est-ce la vérité, mais je n'ai pas le souvenir que dans notre paisible Normandie (*), nous ayons eu autant de tempêtes que depuis une vingtaine d'années.
Et si, admirer la mer déchaînée depuis le sommet du phare de Barfleur doit être un spectacle aussi impressionnant que magnifique, être à la maison, en hiver, dans le froid et dans le noir, pendant des heures n'a rien de bien amusant.
* Je ne parle évidemment pas des côtes de la Manche, mais là, disons qu'ils ont plus l'habitude que dans les terres.
Que c'est pénible.. Ces bourrasques qui cassent les branches, bousculent les voitures et les gens, soulèvent en envolent les toitures, on se croirait aux îles Kerguelen (où je ne suis jamais allée, mais réputées pour leur vent qui empêche l'herbe de pousser droit). En plus des routes coupées par les troncs abattus, le pire ce sont les coupures de courant. Les branches tombent sur les fils, les fils sortent de leurs logement sur les poteaux, et on n'a plus ni lumière ni chauffage, sans parler de l'ordinateur qui s'éteint brutalement et qui n'aime pas trop ça.
On se souvient de la tempête de décembre 1999, durant laquelle nous étions restés sans courant pendant 5 jours.. Bonjour le congélateur, la maison à 10° maximum, sans eau chaude. C'était un coup à émigrer à l'hôtel dans une ville où il y avait encore de l'électricité.
Plus récemment, on a essuyé une coupure de 23h, vous vous rendez compte, 23 heures sans ordinateur, donc, sans jeux !! Et comme les campagnes sont les premières touchées dans ce domaine, dès que ça souffle un peu fort, on tend le dos. D'autant plus que ce vent permanent, ça énerve, ça fatigue et ça angoisse.
Est-ce ma mémoire défaillante de vieille dame, ou est-ce la vérité, mais je n'ai pas le souvenir que dans notre paisible Normandie (*), nous ayons eu autant de tempêtes que depuis une vingtaine d'années.
Et si, admirer la mer déchaînée depuis le sommet du phare de Barfleur doit être un spectacle aussi impressionnant que magnifique, être à la maison, en hiver, dans le froid et dans le noir, pendant des heures n'a rien de bien amusant.
* Je ne parle évidemment pas des côtes de la Manche, mais là, disons qu'ils ont plus l'habitude que dans les terres.
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