Je crois n'avoir jamais rien lu de cet auteur... Toutefois, par curiosité, j'ai pris un livre à la bibliothèque, écrit par lui, séparé en deux parties, sa biographie, et l'étude de son travail d'écriture. J'y ai relevé pas mal de choses intéressantes, qui ont éveillé certains échos : "Les livres sont des instruments de magie portables qui n'ont pas leur pareil... j'en ai toujours un sur moi où que j'aille". Là il énumère quelques endroits où, sans livre sous la main, l'attente est pénible, chez un médecin, dans un aéroport, dans une administration. Il ajoute : "En de tels moments, avoir un lire est vital. Si je dois passer un certain temps au purgatoire avant d'aller ailleurs, je crois que je m'en sortirai bien pourvu qu'il y ait une bibliothèque de prêt."
Comme je comprends ça ! J'ai déjà dit dans un autre billet, que je faisais partie des lecteurs compulsifs, drogués, qui ne savent pas rester immobiles quelque part sans lire quelque chose...
Parlant plus loin de la longueur de certains livres, de ceux qui dépassent les 1000 pages, des "châteaux de mots" comme il dit : "... nous tombons amoureux de tout le roman, qui nous apporte plus que n'importe quel film ou programme de télé ne pourra jamais espérer nous donner. Même au bout de mille pages, nous n'avons pas envie de quitter l'univers créé pour nous par l'auteur, ni les personnages pourtant inventés qui le peuplent... la trilogie de Tolkien, Le seigneur des anneaux, en est la parfaite illustration."
Je me souviens d'avoir lu ce livre d'une traite, sans sauter la moindre lettre, et d'avoir attendu un mois volontairement pour le relire, afin de ne pas gâcher le plaisir par précipitation et gloutonnerie. Je l'ai relu, bien des années plus tard, avec toujours la même délectation.
La suite de l'ouvrage traite de la façon d'écrire, des sujets à traiter, de la meilleure manière de le faire, et j'ai retrouvé là aussi quelques idées que j'avais découvertes quand j'écrivais aussi (bien plus modestement que lui, évidemment, mes oeuvres ne sont jamais sorties de mon disque dur), en particulier quand j'avais l'impression que je déposais des personnages dans un décor et que je les laissais y vivre, me contentant de décrire ce que je leur voyais faire et dire, dans mon imagination. L'ennui c'est que souvent, eh bien, ils ne faisaient rien... donc, l'histoire et l'écrivain attendaient !
Et avec tout ça, quand je pense que je n'ai toujours rien lu de Stephen King, un comble quand même, faudra y songer, mais, je ne suis pas sûre d'apprécier autant l'oeuvre que j'ai apprécié l'étude de son travail d'écrivain telle qu'il l'a décrite.
Comme je comprends ça ! J'ai déjà dit dans un autre billet, que je faisais partie des lecteurs compulsifs, drogués, qui ne savent pas rester immobiles quelque part sans lire quelque chose...
Parlant plus loin de la longueur de certains livres, de ceux qui dépassent les 1000 pages, des "châteaux de mots" comme il dit : "... nous tombons amoureux de tout le roman, qui nous apporte plus que n'importe quel film ou programme de télé ne pourra jamais espérer nous donner. Même au bout de mille pages, nous n'avons pas envie de quitter l'univers créé pour nous par l'auteur, ni les personnages pourtant inventés qui le peuplent... la trilogie de Tolkien, Le seigneur des anneaux, en est la parfaite illustration."
Je me souviens d'avoir lu ce livre d'une traite, sans sauter la moindre lettre, et d'avoir attendu un mois volontairement pour le relire, afin de ne pas gâcher le plaisir par précipitation et gloutonnerie. Je l'ai relu, bien des années plus tard, avec toujours la même délectation.
La suite de l'ouvrage traite de la façon d'écrire, des sujets à traiter, de la meilleure manière de le faire, et j'ai retrouvé là aussi quelques idées que j'avais découvertes quand j'écrivais aussi (bien plus modestement que lui, évidemment, mes oeuvres ne sont jamais sorties de mon disque dur), en particulier quand j'avais l'impression que je déposais des personnages dans un décor et que je les laissais y vivre, me contentant de décrire ce que je leur voyais faire et dire, dans mon imagination. L'ennui c'est que souvent, eh bien, ils ne faisaient rien... donc, l'histoire et l'écrivain attendaient !
Et avec tout ça, quand je pense que je n'ai toujours rien lu de Stephen King, un comble quand même, faudra y songer, mais, je ne suis pas sûre d'apprécier autant l'oeuvre que j'ai apprécié l'étude de son travail d'écrivain telle qu'il l'a décrite.
4 commentaires:
Moi, je n'aime pas trop Stephen King (en général), en raison d'une certaine tendance à ce que j'appelle l'auto-plagiat. Tolkien n'est pas trop non plus ma tasse de thé (un peu trop XIXe, peut-être, dans son écriture).
Je ne peux que te conseiller de t'aventurer (pour le fantastique/horreur comme King) chez Masterton ou Koontz), et en (heroic) fantasy, chez Moorcock, Lieber voire Zelazny.
Un auteur à donner des frissons
réponse à Grimlock l'anonyme : En fait, je suis plus SF que Fantasy, j'apprécie surtout les "anciens" : Asimov, Farmer, Simmons, et semblables, je n'ai pas aimé Koontz, quant à King, aucune idée (pour l'instant).
Comme première lecture, je te conseille Marche ou crève.
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