Quand on arrive au début du mois de décembre, on se dit qu'il faudrait qu'on y songe, mais qu'on a encore le temps. Les jours passent, et on se dit qu'il faudrait quand même qu'on s'y mette, et pour commencer on essaye d'y réfléchir. A quoi ? Eh bien aux cadeaux de Noël !
Le plus facile, ce sont les enfants quand il y en a dans la famille. Certes, ils croûlent sous les jouets et ne savent plus où donner de la tête après le passage du Père Noël, mais au moins, on a le choix. La seule chose à faire est tout de même de se renseigner sur ce qui est "in" et ce qui ne se fait plus. Mais les enfants savent très bien aiguiller....
Pour les plus grands, ça se corse. A moins de savoir (et donc d'avoir fait une enquête auprès de l'entourage) ce dont la personne aurait particulièrement envie, il faut tâtonner et chercher. Où ? En regardant les vitrines, souvent ça donne des idées, mais ça ne simplifie pas la tâche pour autant. Est-ce qu'elle n'en a pas déjà un ? Est-ce que ça pourrait lui faire plaisir, la surprendre ? Est-ce que ça me plairait à moi ça ? Est-ce que je connais assez ses goûts ? Enfin, après quelques tours et détours dans divers magasins, on finit quand même par trouver quelque chose... Pourquoi j'ai dit "elle" et pas "il" ? Parce que pour les messieurs, c'est encore pire.
Pour peu qu'ils aient dépassé un "certain âge", on doit tirer un trait sur les alcools et les chocolat, pour cause de régime, sur les articles pour fumeurs, ils ne fument plus, sur les objets et autres vêtements, ils en ont plein leurs armoires et n'aiment que leur vieux pantalon et leurs T-shirts démodés.... Là, ça devient franchement compliqué, surtout s'ils n'ont pas de hobby déclaré. En désespoir de cause, on se rabat sur un truc basique et impersonnel, comme de l'eau de toilette ou un livre d'art (qu'il n'ouvrira jamais plus dès le 26 décembre)..
Gaffe aux "cadeaux empoisonnés", comme l'immense vase bien encombrant qui ne servira qu'exceptionnellement, si on vous offre un bouquet de glaieuls ; la nappe ronde alors qu'on vient justement de changer sa table pour une rectangulaire ; la smartbox pour une nuit d'hôtel qui vous oblige à payer un voyage en train et une seconde nuit pour cause d'horaire ou de distance incompatibles ; le dernier prix Goncourt que l'on n'a pas la moindre envie de lire ; le vêtement trop petit qui stigmatise vos rotondités et qui restera au fond de l'armoire... etc...
Parfois on tombe tellement juste que la joie du receveur est perceptible ! Quelque chose dont il avait très envie mais ne s'offrait pas par "raison" ? Quelque chose de tellement inattendu que la surprise et le plaisir sont d'égale intensité ? Quelque chose dont on s'apercevra à l'usage que c'est tout à fait indispensable ?
Alors ? On déposera tous les paquets devant la cheminée, ou sous le sapin, et on se précipitera pour découvrir ceux que l'on aura reçus. Joie ? Déception (qu'il faudra soigneusement cacher) ? Surprise ? Encore quelques jours à attendre pour le savoir...
Le plus facile, ce sont les enfants quand il y en a dans la famille. Certes, ils croûlent sous les jouets et ne savent plus où donner de la tête après le passage du Père Noël, mais au moins, on a le choix. La seule chose à faire est tout de même de se renseigner sur ce qui est "in" et ce qui ne se fait plus. Mais les enfants savent très bien aiguiller....
Pour les plus grands, ça se corse. A moins de savoir (et donc d'avoir fait une enquête auprès de l'entourage) ce dont la personne aurait particulièrement envie, il faut tâtonner et chercher. Où ? En regardant les vitrines, souvent ça donne des idées, mais ça ne simplifie pas la tâche pour autant. Est-ce qu'elle n'en a pas déjà un ? Est-ce que ça pourrait lui faire plaisir, la surprendre ? Est-ce que ça me plairait à moi ça ? Est-ce que je connais assez ses goûts ? Enfin, après quelques tours et détours dans divers magasins, on finit quand même par trouver quelque chose... Pourquoi j'ai dit "elle" et pas "il" ? Parce que pour les messieurs, c'est encore pire.
Pour peu qu'ils aient dépassé un "certain âge", on doit tirer un trait sur les alcools et les chocolat, pour cause de régime, sur les articles pour fumeurs, ils ne fument plus, sur les objets et autres vêtements, ils en ont plein leurs armoires et n'aiment que leur vieux pantalon et leurs T-shirts démodés.... Là, ça devient franchement compliqué, surtout s'ils n'ont pas de hobby déclaré. En désespoir de cause, on se rabat sur un truc basique et impersonnel, comme de l'eau de toilette ou un livre d'art (qu'il n'ouvrira jamais plus dès le 26 décembre)..
Gaffe aux "cadeaux empoisonnés", comme l'immense vase bien encombrant qui ne servira qu'exceptionnellement, si on vous offre un bouquet de glaieuls ; la nappe ronde alors qu'on vient justement de changer sa table pour une rectangulaire ; la smartbox pour une nuit d'hôtel qui vous oblige à payer un voyage en train et une seconde nuit pour cause d'horaire ou de distance incompatibles ; le dernier prix Goncourt que l'on n'a pas la moindre envie de lire ; le vêtement trop petit qui stigmatise vos rotondités et qui restera au fond de l'armoire... etc...
Parfois on tombe tellement juste que la joie du receveur est perceptible ! Quelque chose dont il avait très envie mais ne s'offrait pas par "raison" ? Quelque chose de tellement inattendu que la surprise et le plaisir sont d'égale intensité ? Quelque chose dont on s'apercevra à l'usage que c'est tout à fait indispensable ?
Alors ? On déposera tous les paquets devant la cheminée, ou sous le sapin, et on se précipitera pour découvrir ceux que l'on aura reçus. Joie ? Déception (qu'il faudra soigneusement cacher) ? Surprise ? Encore quelques jours à attendre pour le savoir...
1 commentaire:
Le sempiternel casse tête annuel de Noël.
Reste la solution de demander à l'intéressé ce qui lui ferait plaisir. Solution qui peut être risquée car on risque de se retrouver avec le dernier joujou hight tech ( ou un autre truc) à un prix inabordable.
Vivement que cette période passe.
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