... Ceux qui, dans un lieu public, utilisent leur téléphone portable en haussant le ton (le correspondant est loin sans doute, il faut parler plus fort), sans se préoccuper du voisinage qui est, du coup, au courant des amours, des potins de bureau, de l'emploi du temps du bavard. Et ça peut durer, durer... à tel point qu'on en vient à souhaiter une brutale coupure du réseau.
... Ceux qui, dans un train par exemple, sont assis à côté de vous, et veulent à tous prix engager la conversation en sautant sur la première occasion même la plus futile dans le genre "Pardon" quand on les a effleurés en s'installant. Pour éviter de partir dans l'histoire de la vie de ces intéressants personnages qui vont vous conter en détail pourquoi ils prennent ce train, parce que leur fille les attend mais que son mari, non, je ne veux pas en dire du mal, mais vous savez bien ce que c'est.... La seule solution étant, après un sourire aimable, de visser solidement ses écouteurs sur les oreilles et de se plonger dans un film sur sa tablette.
... Ceux qui, alors qu'on est en contemplation devant un paysage somptueux et sauvage, dans le silence et l'extase, débarquent du car en s'interpellant, en riant fort (on est en vacances, il faut qu'on s'amuse, on a payé pour ça), se plantent devant vous pour se prendre en photo, ne laissant d'autre alternative que de s'écarter rapidement à bonne distance et de ne revenir que quand le car est reparti.
... Ceux qui trouvent tout à fait normal de laisser leurs jeunes enfants courir en poussant des cris de sioux entre les rayonnages de la bibliothèque municipale, bousculant les lecteurs au passage, parce que leur progéniture est le centre du monde et ne saurait en aucun cas être contrariée, d'autant plus qu'ils sont forcément les plus intelligents de tous.
Alors "aimons-nous les uns les autres" ou "l'enfer c'est les autres" ?
... Ceux qui, dans un train par exemple, sont assis à côté de vous, et veulent à tous prix engager la conversation en sautant sur la première occasion même la plus futile dans le genre "Pardon" quand on les a effleurés en s'installant. Pour éviter de partir dans l'histoire de la vie de ces intéressants personnages qui vont vous conter en détail pourquoi ils prennent ce train, parce que leur fille les attend mais que son mari, non, je ne veux pas en dire du mal, mais vous savez bien ce que c'est.... La seule solution étant, après un sourire aimable, de visser solidement ses écouteurs sur les oreilles et de se plonger dans un film sur sa tablette.
... Ceux qui, alors qu'on est en contemplation devant un paysage somptueux et sauvage, dans le silence et l'extase, débarquent du car en s'interpellant, en riant fort (on est en vacances, il faut qu'on s'amuse, on a payé pour ça), se plantent devant vous pour se prendre en photo, ne laissant d'autre alternative que de s'écarter rapidement à bonne distance et de ne revenir que quand le car est reparti.
... Ceux qui trouvent tout à fait normal de laisser leurs jeunes enfants courir en poussant des cris de sioux entre les rayonnages de la bibliothèque municipale, bousculant les lecteurs au passage, parce que leur progéniture est le centre du monde et ne saurait en aucun cas être contrariée, d'autant plus qu'ils sont forcément les plus intelligents de tous.
Alors "aimons-nous les uns les autres" ou "l'enfer c'est les autres" ?
3 commentaires:
Pas très chrétien tout ça :-D
Pas très chrétien tout ça !
... ceux qui tentent d'engager la conversation dans une salle d'attente (médecin ou hôpital) alors que l'on a la tête plongée dans son livre ou sa revue favorite. GRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
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