J'ai été atterrée de lire dans les news le suicide de cette adolescente britannique suite à un harcèlement sur un réseau social dont le nom m'a échappé, mais qui ne mérite pas de toutes façons que l'on s'en souvienne. Il paraît en plus que ce n'est pas la seule, et que d'autres gamins ont eu cette dramatique réaction à la suite de la fréquentation de ces pages.
Comment peut-on en arriver là, et qui sont ces gens, assez lâches pour agir ainsi ? Faut-il qu'il n'y ait plus la moindre once de morale dans les esprits pour ainsi martyriser virtuellement (mais hélas trop efficacement) quelqu'un ? Quel plaisir peut-on y trouver ? Comment peut-on ensuite se regarder dans la glace quand on apprend que celle ou celui que l'on harcelait sadiquement est réellement passé à l'acte ?
Un adolescent c'est fragile, ça a tendance à tout prendre au premier degré, et ça n'a pas encore le recul et l'expérience nécessaires pour relativiser. De plus, on ne parle pas de ces choses là avec les parents, les croûlants comme on disait de mon temps, qui ne comprennent jamais rien, c'est bien connu. Et on s'enferme dans son silence et dans sa souffrance, sans penser une minute à .... ne plus mettre les pieds sur ce site !
Je n'ai pas une grande pratique des réseaux sociaux, même si j'apprécie Twitter pour les nouvelles en direct live sur les sujets qui m'intéressent, et si je fréquente beaucoup Facebook, mais exclusivement pour jouer, donc, forcément, les forums d'ados et autres réseaux qu'ils affectionnent, je n'y connais rien, j'en suis encore à IRC, un très très vieux protocole, bien antérieur à tout ça. Mais justement, l'intérêt sur Internet, par rapport à la vraie vie (professionnelle, amicale ou familiale), c'est qu'on n'est pas obligé d'aller là où on ne se plaît pas, là où on ne se sent pas bien, mais pour ça, il faut peut-être avoir quelques années de plus et/ou avoir d'autres sources d'intérêt dans la vie...
Et qui sont ces gens qui prennent plaisir à faire du mal aux autres ? Le feraient-ils dans la vraie vie, devant leur victime ? Certainement pas, parce que pour ça il faut des **** et qu'ils en manquent (pardon, je m'égare). C'est tellement plus facile de balancer des horreurs sous couvert de l'anonymat, bien tranquille devant son écran, on se défoule ainsi sans risque. L'anonymat est le courage des lâches...
Je ne sais pas ce que va devenir ce site, ni quels sont les moyens des pouvoirs publics, ni si le battage médiatique va faire fuir les adhérents de ce réseau social, de toutes façons, rien ne pourra ressusciter cette jeune fille...
Les administrateurs de Wikipédia, surtout ceux qui font de la "patrouille" (surveillance), ont l'habitude de se faire insulter et menacer par des contributeurs mécontents. Ça se passe habituellement en "interne", sur les pages de discussions, lesquelles sont publiques et peuvent être vues par tout le monde, mais il y a des "encore plus lâches" qui n'hésitent pas à envoyer des mails privés ou, comme j'y ai eu droit, des commentaires orduriers sur ce blog. Mais, quand on est une vieille dame, on a le cuir solide, plus qu'une jeune fille de 14 ans, et on en a vu d'autres ! Les chiens aboyent et la caravane passe, n'est-ce pas ?
Comment peut-on en arriver là, et qui sont ces gens, assez lâches pour agir ainsi ? Faut-il qu'il n'y ait plus la moindre once de morale dans les esprits pour ainsi martyriser virtuellement (mais hélas trop efficacement) quelqu'un ? Quel plaisir peut-on y trouver ? Comment peut-on ensuite se regarder dans la glace quand on apprend que celle ou celui que l'on harcelait sadiquement est réellement passé à l'acte ?
Un adolescent c'est fragile, ça a tendance à tout prendre au premier degré, et ça n'a pas encore le recul et l'expérience nécessaires pour relativiser. De plus, on ne parle pas de ces choses là avec les parents, les croûlants comme on disait de mon temps, qui ne comprennent jamais rien, c'est bien connu. Et on s'enferme dans son silence et dans sa souffrance, sans penser une minute à .... ne plus mettre les pieds sur ce site !
Je n'ai pas une grande pratique des réseaux sociaux, même si j'apprécie Twitter pour les nouvelles en direct live sur les sujets qui m'intéressent, et si je fréquente beaucoup Facebook, mais exclusivement pour jouer, donc, forcément, les forums d'ados et autres réseaux qu'ils affectionnent, je n'y connais rien, j'en suis encore à IRC, un très très vieux protocole, bien antérieur à tout ça. Mais justement, l'intérêt sur Internet, par rapport à la vraie vie (professionnelle, amicale ou familiale), c'est qu'on n'est pas obligé d'aller là où on ne se plaît pas, là où on ne se sent pas bien, mais pour ça, il faut peut-être avoir quelques années de plus et/ou avoir d'autres sources d'intérêt dans la vie...
Et qui sont ces gens qui prennent plaisir à faire du mal aux autres ? Le feraient-ils dans la vraie vie, devant leur victime ? Certainement pas, parce que pour ça il faut des **** et qu'ils en manquent (pardon, je m'égare). C'est tellement plus facile de balancer des horreurs sous couvert de l'anonymat, bien tranquille devant son écran, on se défoule ainsi sans risque. L'anonymat est le courage des lâches...
Je ne sais pas ce que va devenir ce site, ni quels sont les moyens des pouvoirs publics, ni si le battage médiatique va faire fuir les adhérents de ce réseau social, de toutes façons, rien ne pourra ressusciter cette jeune fille...
Les administrateurs de Wikipédia, surtout ceux qui font de la "patrouille" (surveillance), ont l'habitude de se faire insulter et menacer par des contributeurs mécontents. Ça se passe habituellement en "interne", sur les pages de discussions, lesquelles sont publiques et peuvent être vues par tout le monde, mais il y a des "encore plus lâches" qui n'hésitent pas à envoyer des mails privés ou, comme j'y ai eu droit, des commentaires orduriers sur ce blog. Mais, quand on est une vieille dame, on a le cuir solide, plus qu'une jeune fille de 14 ans, et on en a vu d'autres ! Les chiens aboyent et la caravane passe, n'est-ce pas ?
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