En rangeant des vieux papiers, besogne classique en ces périodes calmes où tout le monde est en vacances, j'ai retrouvé d'anciens journaux que nous fabriquions au club d'informatique que j'ai fréquenté si longtemps. Et ce qui faisait notre joie à l'époque, ferait bien rigoler maintenant, je parle du matériel évidemment, l'amitié, elle, est totalement indépendante des progrès technologiques !
Par exemple : en mars 1995, nous étions rudement contents d'avoir une toute nouvelle machine, pensez donc, un 486 DX2/66 avec 8 mega de RAM, j'ai bien dit mega, hein... C'est exactement ce qu'a l'IMAC actuellement, mais en giga par contre !
Quand au disque dur de cette "bête de course", il avait une énorme capacité de 540 Mo (je dis bien toujours megaoctets). Bien entendu on ne parlait pas d'écrans plats, de portables, de tablettes ! Mais les choses allaient vite, dès décembre 1995, on avait un Pentium nanti de Windows 95, et là, ça devenait sérieux, le disque dur avait une capacité de 1,6 Go.
On apprenait encore le DOS (Ah Edlin...), et on pratiquait le traitement de texte (Word bien évidemment), et quelques prémices de retouche photo avec Paint Shop Pro et Imagin (je ne me souviens même plus comment ça s'écrivait), on craignait les virus que transportaient encore les disquettes qu'on s'échangeait et il y avait encore quelques irréductibles Ataristes. Ce n'est qu'en mai 1997 qu'on a envisagé d'avoir une connexion internet (avec kit de connexion sur CD...).
Et depuis.... Eh bien tout ça a bien changé en vingt ans ! Tout le monde (ou presque) a un ordinateur à la maison, et une connexion internet devenue tout à fait indispensable. Les machines sont puissantes et esthétiques, les écrans cathodiques ont disparu, les disques durs parlent de teraoctets, on utilise portable ou tablette partout en wi-fi, on a totalement oublié comment on comptait en binaire ou en hexadécimal, on fait de la vidéo, de l'imagerie, les réseaux sociaux sont omniprésents, et justement, c'est sans doute grâce à cette "culture de base" acquise petit à petit que toute cette évolution est toujours aussi passionnante à suivre pour moi !
Addendum :
C'est en juin 1996, alors qu'on avait déjà des encyclopédies sous forme de CD et que les revues d'informatique commençaient à parler de livres sur ce même support à lire sur l'ordinateur que j'écrivais : "Ne pourrait-on pas concevoir une sorte d'ardoise, de la taille d'un livre courant, en beaucoup plus mince et léger, à l'image d'un cahier qui tiendrait dans un sac, sur laquelle les pages s'afficheraient et tourneraient par simple pression d'un doigt....". On se demande vraiment pourquoi je n'ai jamais été engagée par Steve Jobs !!!
Par exemple : en mars 1995, nous étions rudement contents d'avoir une toute nouvelle machine, pensez donc, un 486 DX2/66 avec 8 mega de RAM, j'ai bien dit mega, hein... C'est exactement ce qu'a l'IMAC actuellement, mais en giga par contre !
Quand au disque dur de cette "bête de course", il avait une énorme capacité de 540 Mo (je dis bien toujours megaoctets). Bien entendu on ne parlait pas d'écrans plats, de portables, de tablettes ! Mais les choses allaient vite, dès décembre 1995, on avait un Pentium nanti de Windows 95, et là, ça devenait sérieux, le disque dur avait une capacité de 1,6 Go.
On apprenait encore le DOS (Ah Edlin...), et on pratiquait le traitement de texte (Word bien évidemment), et quelques prémices de retouche photo avec Paint Shop Pro et Imagin (je ne me souviens même plus comment ça s'écrivait), on craignait les virus que transportaient encore les disquettes qu'on s'échangeait et il y avait encore quelques irréductibles Ataristes. Ce n'est qu'en mai 1997 qu'on a envisagé d'avoir une connexion internet (avec kit de connexion sur CD...).
Et depuis.... Eh bien tout ça a bien changé en vingt ans ! Tout le monde (ou presque) a un ordinateur à la maison, et une connexion internet devenue tout à fait indispensable. Les machines sont puissantes et esthétiques, les écrans cathodiques ont disparu, les disques durs parlent de teraoctets, on utilise portable ou tablette partout en wi-fi, on a totalement oublié comment on comptait en binaire ou en hexadécimal, on fait de la vidéo, de l'imagerie, les réseaux sociaux sont omniprésents, et justement, c'est sans doute grâce à cette "culture de base" acquise petit à petit que toute cette évolution est toujours aussi passionnante à suivre pour moi !
Addendum :
C'est en juin 1996, alors qu'on avait déjà des encyclopédies sous forme de CD et que les revues d'informatique commençaient à parler de livres sur ce même support à lire sur l'ordinateur que j'écrivais : "Ne pourrait-on pas concevoir une sorte d'ardoise, de la taille d'un livre courant, en beaucoup plus mince et léger, à l'image d'un cahier qui tiendrait dans un sac, sur laquelle les pages s'afficheraient et tourneraient par simple pression d'un doigt....". On se demande vraiment pourquoi je n'ai jamais été engagée par Steve Jobs !!!
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