C'est une excellente idée : permettre de voir ''en vrai'' ce qu'on ne peut habituellement pas voir ou que l'on ne connaît qu'en image, est toujours intéressant ; découvrir les richesses cachées de sa région ou de plus loin comble la curiosité de beaucoup, et ça explique le succès renouvelé d'année en année de cette manifestation.
On peut ainsi entrer dans des églises de campagne habituellement fermées pour d'évidentes raisons, voir fonctionner des ateliers d'artisanat divers, entrer dans des pièces de châteaux qui ne se visitent pas, il y en a pour tous les goûts, pour tout le monde.
Mais en dehors des grands lieux nationaux, Elysée, Matignon, et autres fort de Brégançon, l'ouverture des autres lieux repose sur les épaules de bénévoles qui consacrent deux journées entières à faire visiter divers endroits. Même si c'est toujours un plaisir de parler de ce que l'on aime, ça demande quand même une certaine préparation, et de longues heures de présence. Or, le bénévolat manque souvent de bras et ce sont toujours les mêmes qui sont sur le pont au risque de se lasser et d'abandonner. D'autant plus que quand on est rivé à son poste lors de ces deux journées, on ne peut évidemment pas profiter des ouvertures exceptionnelles d'autres endroits, et c'est frustrant.
Il y a effectivement la solution qui consiste à ouvrir le bâtiment, à allumer les lumières à l'ouverture, et à ne revenir qu'à l'heure de la fermeture, mais c'est une mauvaise solution. D'abord, pour la sécurité, s'il n'y a personne pour surveiller, il peut y avoir vols et dégradations ; mais aussi pour les visiteurs qui n'ont personne à qui demander une explication.
L'idéal serait de pouvoir être plusieurs, de se relayer, quand l'un assure les commentaires de visite, l'autre peut de son côté aller découvrir autre chose, mais ça c'est l'idéal, et comme tout idéal, c'est utopique. Enfin, on peut toujours rêver..
Alors, que doit-on mettre dans son sac quand on assure accueil et permanences dans un monument quelconque pendant ces deux journées ?
- Un casse-croûte !
- Un gros bouquin, ou mieux, une tablette avec des e-books, histoire de passer le temps, parce que les visiteurs n'arrivent pas de façon régulière, à un groupe de gens peut succéder une longue heure sans personne,
- Des anti-sèches histoire de ne pas s'emmêler les pieds dans les siècles et ne pas dire de sottises par manque de mémoire,
- Du scotch (entendez du ruban adhésif...) parce que les petites étiquettes ont tendance à se décoller au fil des heures,
- Une petite laine pour les frileux, parce que rester immobile dans une église du nord de la Loire (par exemple) ne réchauffe pas,
- Un téléphone mobile, ça peut toujours servir si le casse-croûte prévu est insuffisant !
Vous avez un an maintenant pour prévoir tout ça !
On peut ainsi entrer dans des églises de campagne habituellement fermées pour d'évidentes raisons, voir fonctionner des ateliers d'artisanat divers, entrer dans des pièces de châteaux qui ne se visitent pas, il y en a pour tous les goûts, pour tout le monde.
Mais en dehors des grands lieux nationaux, Elysée, Matignon, et autres fort de Brégançon, l'ouverture des autres lieux repose sur les épaules de bénévoles qui consacrent deux journées entières à faire visiter divers endroits. Même si c'est toujours un plaisir de parler de ce que l'on aime, ça demande quand même une certaine préparation, et de longues heures de présence. Or, le bénévolat manque souvent de bras et ce sont toujours les mêmes qui sont sur le pont au risque de se lasser et d'abandonner. D'autant plus que quand on est rivé à son poste lors de ces deux journées, on ne peut évidemment pas profiter des ouvertures exceptionnelles d'autres endroits, et c'est frustrant.
Il y a effectivement la solution qui consiste à ouvrir le bâtiment, à allumer les lumières à l'ouverture, et à ne revenir qu'à l'heure de la fermeture, mais c'est une mauvaise solution. D'abord, pour la sécurité, s'il n'y a personne pour surveiller, il peut y avoir vols et dégradations ; mais aussi pour les visiteurs qui n'ont personne à qui demander une explication.
L'idéal serait de pouvoir être plusieurs, de se relayer, quand l'un assure les commentaires de visite, l'autre peut de son côté aller découvrir autre chose, mais ça c'est l'idéal, et comme tout idéal, c'est utopique. Enfin, on peut toujours rêver..
Alors, que doit-on mettre dans son sac quand on assure accueil et permanences dans un monument quelconque pendant ces deux journées ?
- Un casse-croûte !
- Un gros bouquin, ou mieux, une tablette avec des e-books, histoire de passer le temps, parce que les visiteurs n'arrivent pas de façon régulière, à un groupe de gens peut succéder une longue heure sans personne,
- Des anti-sèches histoire de ne pas s'emmêler les pieds dans les siècles et ne pas dire de sottises par manque de mémoire,
- Du scotch (entendez du ruban adhésif...) parce que les petites étiquettes ont tendance à se décoller au fil des heures,
- Une petite laine pour les frileux, parce que rester immobile dans une église du nord de la Loire (par exemple) ne réchauffe pas,
- Un téléphone mobile, ça peut toujours servir si le casse-croûte prévu est insuffisant !
Vous avez un an maintenant pour prévoir tout ça !
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